lundi 28 décembre 2009

Après lui avoir donné la fessée, faut-il envoyer la jeune fille au coin ?

"Pourquoi pas...très troublant de se sentir observée"
Marinella

"Pour que le rouge de mes joues se mêlent aux rouges de mes fesses"
mariloudelanuy

"Je ne sais pas s'il le faut, mais ca ajoute quelque chose à ma fessée, et puis ca permet de pouvoir recommencer assez vite, de faire des pauses..."
Sweety

"Quelle extrême confusion que de sentir des regards moqueurs loucher sur des fesses bien rouges ... Alors oui, mais seulement de temps en temps..."
Praline

"Oui car le panorama est parait il le plus beau qu'il est donne d'offrir à un fesseur en plus cela permet de réfléchir et de revivre en kaléidoscope ce merveilleux moment"
Melusine


"Ben oui, si elle a été vilaine... Agenouillée si elle a été très vilaine... Se sentir comme une vilaine fille pas sage qui doit être sévèrement punie, ça c'est vraiment bon..... Ce désir profond d'être punie et de laisser l'homme prendre le contrôle..." 
Alice



dimanche 27 décembre 2009

Préférez-vous les fessées prévues à l'avance, ou les fessées improvisées ?


"L’attente de la fessée est un puissant aphrodisiaque, je suis bien placée pour le savoir depuis le temps que j’attends ma première fessée, mais c’est une improvisation que j’accepterais volontiers"
F.



"Je dirais que la surprise que provoque 1 fessée improvisée me plait beaucoup, mais que le fait d’être prévenu est délicieusement angoissant."
Cheyenne




"Les deux !!! C'est très excitant d'avoir été menacée à l'avance, d'avoir le temps d'y penser, d'appréhender un peu... (surtout si le partenaire sait bien annoncer les choses...). Mais c'est également très excitant de voir le partenaire réagir sur le vif et de se retrouver en facheuse posture sans avoir le temps de comprendre ce qui se passe ! "
Alice


Avez-vous déjà reçu une fessée en public ?


"Non, pas envie, manque d'intimité....quoique peut-être une fois....mais je garde ma culotte, hein ??"
Karine




"Euh non, mais bientot en tout cas. Je fantasme grave depuis que j'y pense, je fonds littérallement." Melusine



Conclusion idéale d'une bonne fessée ?


"Une main qui glisse délicatement dans l'entrejambe ou s'insinue dans les replis sacrés... (néanmoins) la fessée pour moi doit etre obligatoirement distinguée de la relation amoureuse, meme si apres chaque fessée je supplie mon fesseur de s'occuper de mon puit d'amour. Mais à chaque fois je le remercie après aussi de ne pas m'avoir écoutée, et de ne pas avoir profité de la situation."
Melusine

"Un tendre calin dans les bras ou sur les genoux mais à l'endroit cette fois."
Sweety

"Je flotte sur mon petit nuage rose, apaisée, bien au chaud dans les bras du monsieur… "
Karine

"Calin sur les genoux, et plus si affinitées"
Aquarelle83

"Passer un long moment de détente dans les bras de celui que j’aime, à être dorlotée, cajolée, et bien plus encore…"
Cheyenne

"Un énooooorme calin"
Sophiep06


"D'autres jeux encore plus intimes ..."
Laura coquine



Quelle place occupe la fessée dans votre vie ?


"Je dirais qu'elle est le ciment de mon couple. Je me repose entièrement sur mon ami pour prendre les décisions, pour s'assurer de notre bonheur commun (et c'est parfois une lourde tache !), et lui en échange a le droit de me donner la fessée dés qu'il estime que je ne me conduis pas bien (ce qui m'arrive, je dois l'admettre, assez souvent)"
Laura coquine




"C’est important, je crois que ça me fait du bien et que ça me rend encore plus amoureuse de lui"
emilly

Tenue idéale de la jeune fille ?


"Jupe et culotte blanche"
Sandrine




"Jupe courte et culotte blanche, parce que le blanc, c'est l'innocence."
Sweety



"Chemisier transparent, petite jupe plissée, culotte blanche et seyante. Et pourquoi pas bas et porte jaretelle, mais la c'est un peu abuser !"
Melusine


Qu'est-ce qui vous attire le moins dans la fessée ?


"Ma conscience qui carillonne en me tarabustant, me disant que je suis une petite dévergondée"
Melusine

Taming of the Shrew

Extrait du grand classique de William Shakespeare : LA MÉGÈRE APPRIVOISÉE


Thy husband is thy Lord, thy life, thy keeper,
Thy head, thy sovereign:
One that cares for thee,
And for thy maintenance.
Commits his body
To painful labour, both by sea and land:
To watch the night in storms, the day in cold,
Whilst thou liest warm at home, secure and safe,
And craves no other tribute at thy hands,
But love, faire looks, and true obedience;
Too little payment for so great a debt.


Such duty as the subject owes the Prince,
Even such a woman oweth to her husband:
And when she is forward, peevish, sullen, sour,
And not obedient to his honest will,
What is she but a foul contending Rebel,
And graceless Traitor to her loving Lord?
I am ashamed that women are so simple,
To offer war, where they should kneel for peace:
Or seek for rule, supremacy, and sway,
When they are bound to serve, love, and obey.



Why are our bodies soft, and weak, and smooth,
Unapt to toil and trouble in the world,
But that our soft conditions, and our hearts,
Should well agree with our external parts?
Come, come, you forward and unable worms,
My mind hath bin as big as one of yours,
My heart as great, my reason happily more,
To bandy word for word, and frown for frown;
But now I see our Lances are but straws:
Our strength as weak, our weakness past compare,
That seeming to be most, which we indeed least are.


Then vale your stomachs, for it is no boot,
And place your hands below your husband's foot:
In token of which duty, if he please,
My hand is ready, may it do him ease.


William Shakespeare





Mais, qu'en dit l'Eglise ?

L'ENSEIGNEMENT DE NOTRE TRES SAINTE MERE L'EGLISE

Vénérables frères et sœurs,



Concernant le sujet qui nous intéresse, un grand principe se retrouve tout au long de l'enseignement de notre sainte mère l'Eglise : la soumission de l'épouse à son mari.
Hélas, pour des raisons de marketing bien compréhensibles, le magistère a aujourd'hui tendance à passer pudiquement ce point sous silence.


Pour les couples désireux de faire de leur union un vrai mariage chrétien, voici donc ici réunis pour la première fois les grands classiques indispensables.





Première épître de Pierre 3.1-6


Vous, femmes soyez de même soumises chacune à votre mari, afin que si quelques uns n'obéissent pas à la Parole, ils soient conquis sans discours, par la conduite de leurs épouses, en voyant votre manière de vivre chaste et respectueuse.


Ne privilégiez pas la parure extérieure ; cheveux, bijoux et toilettes ; mais la parure intérieure et cachée du cœur, la pureté incorruptible d'un esprit doux et paisible. Voilà ce qui est précieux au regard de Dieu.


Ainsi se rendaient belles autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, soumises à leurs maris, telle Sara qui obéissait à Abraham et l'appelait son Seigneur. C'est d'elles que vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien, sans vous laisser troubler par aucune crainte.





Epître de Paul aux Ephésiens 5.22-33


Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur ; Car le mari est le chef de la femme, comme le Christ est le chef de l'Eglise, qui est son corps, et dont il est le sauveur. Or, de même que l'Eglise est soumise au Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses.


Maris, aimez vos femmes, comme le Christ a aimé l'Eglise, et s'est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, afin de faire paraître devant lui cette Eglise glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irréprochable.


C'est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leur propre corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. Car jamais personne n'a haï sa propre chair ; mais il la nourrit et en prend soin, comme le Christ le fait pour l'Eglise, parce que nous sommes membres de son corps. C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. Ce mystère est grand ; je dis cela par rapport au Christ et à l'Eglise.


Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari.





Encyclique "Castii conubi" sur le mariage chrétien,
de Sa Sainteté le Pape Pie XI, 31/12/1930 (extraits)

…/..


I - Les biens du mariage véritable d'après saint Augustin…/..
§2 - La foi conjugale…/..


L'"ordre de l'amour"


Enfin, la société domestique ayant été bien affermie par le lien de cette charité, il est nécessaire d’y faire fleurir ce que saint Augustin appelle l’ordre de l’amour.


Cet ordre implique et la primauté du mari sur sa femme et ses enfants, et la soumission empressée de la femme ainsi que son obéissance spontanée, ce que l’Apôtre recommande en ces termes : “Que les femmes soient soumises à leurs maris comme au Seigneur ; parce que l’homme est le chef de la femme comme le Christ est le chef de l'Eglise.”






Cette soumission, d’ailleurs, ne nie pas, elle n’abolie pas la liberté qui revient de plein droit à la femme, tant à raison de ses prérogatives comme personne humaine, qu’à raison de ses fonctions si nobles d’épouse, de mère et de compagne ; elle ne lui commande pas de se plier à tous les désirs de son mari, quels qu’ils soient, même à ceux qui pourraient être peu conformes à la raison ou bien à la dignité de l’épouse ; elle n’enseigne pas que la femme doive être assimilée aux personnes que dans le langage du droit on appelle des “mineurs”, et auxquelles, à cause de leur jugement insuffisamment formé, ou de leur impéritie dans les choses humaines, on refuse d’ordinaire le libre exercice de leurs droits, mais elle interdit cette licence exagérée qui néglige le bien de la famille ; elle ne veut pas que, dans le corps moral qu’est la famille, le coeur soit séparé de la tête, au très grand détriment du corps entier et au péril - péril très proche - de la ruine. Si, en effet, le mari est la tête, la femme est le coeur, et, comme le premier possède la primauté du gouvernement, celle-ci peut et doit revendiquer comme sienne cette primauté de l’amour.

Au surplus, la soumission de la femme à son mari peut varier de degré, elle peut varier dans ses modalités, suivant les conditions diverses des personnes, des lieux et des temps ; bien plus, si le mari manque à son devoir, il appartient à la femme de le suppléer dans la direction de la famille. Mais, pour ce qui regarde la structure même de la famille et sa loi fondamentale, établie et fixée par Dieu, il n’est jamais ni nulle part permis de les bouleverser ou d’y porter atteinte.


Sur cet ordre qui doit être observé entre la femme et son mari, Notre prédécesseur d’heureuse mémoire, Léon XIII, donne, dans l’Encyclique sur le mariage chrétien, que Nous avons rappelé, ces très sages enseignements : “L’homme est le prince de la famille et le chef de la femme ; celle-ci, toutefois, parce qu’elle est, par rapport à lui, la chair de sa chair et l’os de ses os, sera soumise, elle obéira à son mari, non point à la façon d’une servante, mais comme une associée ; et ainsi, son obéissance ne manquera ni de beauté ni de dignité. Dans celui qui commande et dans celle qui obéit - parce que le premier reproduit l’image du Christ, et la seconde l’image de l’Eglise, - la charité divine ne devra jamais cesser d’être la régulatrice de leur devoir respectif.”


Le bien de la fidélité conjugale comprend donc : l’unité, la chasteté, une digne et noble obéissance ; autant de vocables qui formulent les bienfaits de l’union conjugale, qui ont pour effet de garantir et de promouvoir la paix, la dignité et le bonheur du mariage. Aussi n’est-il pas étonnant que cette fidélitéait toujours été rangée parmi les biens excellents et propres du mariage.
…/..




Et la fessée dans tout ça ?


Concernant les épouses rétives à ces sains principes, ou simplement prises en faute, l'Eglise n'a officiellement jamais conseillé d'user de chatiments corporels. Elle n'a recommandé que la "réprimande affectueuse".


Cependant, ne pourait-on pas considérer comme telle un fessée, donnée avec amour, et librement acceptée dans son principe ?


Combien d'hommes alors ne trouveraient pas délicieux de réprimander ainsi leur tendre moitié, si pure ou si polissonne ? Combien de femmes, sages ou coquines, ne seraient pas troublées d'être si tendrement et fermement reprises en main par leur époux, et de sentir ainsi jusque dans leur chair la chaleur de l'autorité maritale ?




PS : le Bienheureux Abbé MOYE, dans son INSTRUCTION POUR LES HOMMES (partie : Devoirs des maris envers leurs femmes), recommande sagement :
"Les maris doivent sans doute, comme chefs, corriger leurs femmes si elles tombent dans le désordre, mais ils doivent aussi écouter et recevoir avec reconnaissance les sages remontrances que leurs femmes leur donnent..."
(ainsi le couple est-il une association librement décidée entre deux personnes d'égale dignité. Chacun donne et reçoit, y enseigne et apprend de l'autre. Mais toujours en veillant bien à respecter scrupuleusement les droits et devoirs de son sexe et de son état, sans tomber dans les errements de l'anarchie ou de l'indifférenciation)

Conduite indécente

Sophie, 30 ans, s'estimant négligée par son mari trop occupé, va entreprendre de le reconquérir en titillant sa jalousie.


Ce troisième jour de vacances, Alain et Sophie s'installèrent à la terrasse du Café de la Plage. Comme d'habitude, Alain se plonge dans son journal. Sophie, en jupe courte, silencieuse et souriante, croise, décroise et écarte légèrement les jambes, attirant le regard des passants.



Monsieur, intrigué par le silence de sa femme, finit par s'en apercevoir. Surpris, il lui demande de faire attention : "Des hommes peuvent te regarder."
Elle ne répond pas , mais continue son manège.
Alain se fait plus insistant : "Qu'est ce qui te prend ma chérie ? Ca ne va pas !?"
Elle le regarde un instant, puis recommence de plus belle, se découvrant même plus ostensiblement.


Le mari est maintenant franchement gêné. Il lui lance en chuchotant : "Sophie, veux-tu cesser immédiatement ce manège !". Pour toute réponse, un regard de défi…et une nouvelle provocation.
Toujours aussi gêné, Alain est maintenant visiblement irrité : "Sophie, je t'ordonne d'arrêter immédiatement !".
Long sourire de défi, et cuisses se dévoilant de nouveau. "Sophie, on s'en va !"
"Pourquoi mon chéri ? On est bien ici. Il y a plein de monde, c'est agréable." Et de continuer de plus belle ses jeux de jambes.


Les consommateurs des tables voisines les regardent maintenant. Certains passants semblent bizarement chercher leur chemin.


Comble de malchance, Alain n'a aucune monnaie, et le serveur ne vient pas. Bouillant de colère rentrée, il laisse royalement son billet de 20 euros, saisit sa femme par la main et bat en retraite d'un pas pressé vers leur voiture garée non loin. Durant le trajet de retour aucun mot n'est échangé. Alain ronge son frein, s'efforçant de garder son calme. Sophie, à peine confuse, le titille en silence.







Arrivés à la maison, Alain, la tenant par le bras, l'entraine vers la chambre en la sermonnant vertement :


"Tu devrais avoir honte. T'amuser, devant moi ! à attirer le regard des hommes. Risquer de montrer ta culotte en public !!! Tu vas le regretter amèrement !"

"Excuse-moi mon chéri ! Je me suis conduite comme une sotte. Mais j’ai quand même fais attention, je te promet que personne n'a vu ma culotte ! "


"En fait je voulais juste que tu me regardes, que tu t'occupes de moi." Lui ajouta-t-elle, timidement.
"Pour ça je vais m'occuper de toi ! Et de tes fesses en particulier ! Fais moi confiance tu vas les sentir !"


Sophie, se rendant soudain compte de ce qui l'attend, tente alors désespérément de négocier un répit de quelques minutes avant sa fessée :


"Mon chéri tu me fais peur, tu es trop en colère ! Je t'en prie, assis-toi cinq minutes sur le canapé et prend-toi en verre. Après je viendrai moi-même m'allonger sur tes genoux et tu me puniras comme tu l'entends. Je t'en supplie !"


Mais Alain, les nerfs à fleurs de peau, ne veut rien entendre, s'assoit sur le lit, couche sa jeune femme sur ses genoux, la trousse prestement, et ...


!!!


“Pardon mon chéri ! ...”


... découvre avec horreur ...


!!!!!



“Je ne recommencerai plus ! ...”


... qu’elle ne portait pas de culotte.


!!!!!!!



“Je te le promet ! Pardon ! Pardon !”

Et la pauvre Sophie passa alors ...


... un très, très mauvais quart d'heure.




Le corset invisible


En avant première du prochain ouvrage de Pierre Bourdieu (La domination masculine, Seuil), travaux pratiques avec le sociologue. En partant chaque semaine d'un objet, d'un personnage, d'une situation très ordinaire, pour comprendre la subtilité sociale des rapports entre les hommes et les femmes.

Aujourd'hui, troisième épisode : la jupe. Ou comment un rectangle de tissu que personne n'aurait l'idée de remettre en question induit l'entrave des corps et le souci du paraître, d'autant plus puissants qu'ils se transmettent, comme tous les codes de bonnes conduite, de mère en fille.
Autant de contraintes intégrées dont on ne se libère pas si facilement. Et l’on continue de tirer sur nos jupes et de marcher à petites enjambées, même en jean et en souliers plats...



Télérama : A quoi sert la jupe ?

Pierre Bourdieu : C’est très difficile de se comporter correctement quand on a une jupe. Si vous êtes un homme, imaginez-vous en jupe, plutôt courte, et essayez donc de vous accroupir, de ramasser un objet tombé par terre, sans bouger de votre chaise ni écarter les jambes...



La jupe, c’est un corset invisible, qui impose une tenue et une retenue, une manière de s’asseoir, de marcher. Elle a finalement la même fonction que la soutane. Revêtir une soutane, cela change vraiment la vie, et pas seulement parce que vous devenez prêtre au regard des autres. Votre statut vous est rappelé en permanence par ce bout de tissu qui vous entrave les jambes, de surcroît une entrave d’allure féminine. Vous ne pouvez pas courrir...



La jupe, c’est une sorte de pense-bête. La plupart des injonctions culturelles sont ainsi destinées à rappeler le système d’opposition (masculin/féminin, droite/gauche, haut/bas, dur/mou...) qui fonde l’ordre social. Des oppositions arbitraires qui finissent par se passer de justification et être enregistrées comme des différences de nature.

TRA : La jupe, c’est aussi un cache-sexe ?

PB : Oui, mais c’est secondaire. Le contrôle est beaucoup plus profond et plus subtil. La jupe, ça montre plus qu’un pantalon, et c’est difficile à porter justement parce que cela risque de montrer. Voilà toute la contradiction de l’attente sociale envers les femmes : elles doivent être séduisantes et retenues, visibles et invisibles (ou, dans un autre registre, efficaces et discrètes).



On a déjà glosé sur ce sujet, sur les jeux de la séduction, de l’érotisme, toute l’ambiguïté du montré-caché. La jupe incarne très bien cela. Un short, c’est beaucoup plus simple : ça cache ce que ça cache et ça montre ce que ça montre. La jupe risque toujours de montrer plus qu’elle ne doit montrer.



TRA : Vous évoquez une femme disant “Ma mère ne m’a jamais dit de ne pas me tenir jambes écartées” ; et pourtant elle savait bien que ce n’est pas convenable “pour une fille”. Comment se reproduisent les dispositions corporelles ?



PB : Les injonctions en matière de bonne conduite sont particulièrement puissantes parce qu’elles s’adressent d’abord au corps et qu’elles ne passent pas nécesairement par le langage et par la conscience. Les femmes savent sans le savoir que, en adoptant telle ou telle tenue, tel ou tel vêtement, elles s’exposent à être perçues de telle ou telle façon. Le gros problème des rapports entre les sexes aujourd’hui, c’est qu’il y a des contresens, de la part des hommes en particulier, sur ce que veut dire le vêtement des femmes. Beaucoup d’études consacrées aux affaires de viol ont montré que les hommes voient comme des provocations des attitudes qui sont en fait en conformité avec une mode vestimentaire. .../...

extraits d’un article de Catherine Portevin - TELERAMA du 5 aout 1998


Couple et fessée

NE VOUS PRIVEZ PAS DE LA FESSÉE


De nombreuses femmes attendent de leur mari qu'ils les prennent en main. Cependant, au moment de recevoir une vraie fessée, elles ne s'y soumettront peut-être qu'à contrecoeur et avec crainte. Néanmoins il ne s'agira pas d'un véritable refus et d'une vraie peur, comme les ressentirait une femme ne souhaitant pas être prise en main. Au contraire, il lui est érotique de savoir qu'elle peut être fessée par son mari, et dans un certain sens elle le souhaite, même si elle semble alors ne s'y soumettre qu'à contrecoeur.

Mais si elle trouve cette idée érotique, désirable, comment cela pourrait-il modifier sa conduite ? Les choses ne sont pas si simple. Prendre en main une femme, ce n'est pas seulement la punir pour la dissuader de fauter. Le véritable but de la fessée est de créer ou de maintenir une bonne relation, qui évolue et s'améliore, une relation intime où les problèmes sont résolus, et où les deux partenaires gardent du désir sexuel l'un pour l'autre.


Il ne s'agit donc pas de battre une femme en faute. Combien d'homme d'ailleurs se sentent assez parfait pour pouvoir ainsi juger leur femme ? Bien souvent au contraire elle est bien plus sensible, raisonnable, capable et responsable que lui ! Ce serait donc à elle de le battre. Malgré ses imperfections et ses fautes évidentes, c'est lui qui domine. C'est ce qu'ils veulent tous les deux. Et c'est parfois ce qui fait la différence entre une relation terne et déprimante ; et une relation ardente, sexuellement et émotionnellement gratifiante, favorisant l'épanouissement des deux partenaires.


L'amitié, comme les relations parents-enfants, peut être intime en un certain sens, et très bénéfique. Mais ce qui distingue l'amitié d'une relation intime c'est l'élément sexuel. De fortes différences entre l'homme et la femme excitent le désir. Au contraire plus ils sont identiques, moins ils se désirent l'un et l'autre.


Quand l'homme est dominant, et pas seulement au lit, quand la femme sent son autorité, tout le temps, quand elle sait qu'il n'hésitera pas à la prendre en main s'il estime que c'est nécessaire - le désir de la femme pour son mari est incroyablement intense. Elle a conscience de son altérité, de sa virilité, de son autorité. Cela l'empêche de se sentir comme sa mère, sa patronne ou sa professeur, et ainsi de perdre le désir qu'il lui inspire. L'homme aussi en ressent plus de désir pour sa femme. Au lieu de le rabaisser en le contrôlant, sa femme reste une femme pour lui. Leur relation ne s'en porte que mieux, dans tous les domaines.


Mais ce n'est pas tout. L'un des problèmes d'une relation conventionnelle est que les petites erreurs ou malentendus dégénèrent en disputes, mésententes, et amènent chacun à se fermer à l'autre. Un problème minuscule peut engendrer une guerre totale, par une chaîne d'évènements et de perte de contrôle.


Vous croyez qu'il est inamical (alors qu'il a simplement des soucis), et vous devenez moins affectueuse. Il remarque que vous réagissez négativement, et y répond plus vivement que d'habitude. Vous le trouvez désagréable et lui rendez la pareille. Etc. Vous arrivez ainsi rapidement à une ambiance détestable, tout cela à cause d'une petite erreur d'interprétation au départ.


Malheureusement beaucoup de couples conventionnels n'ont aucun moyen d'arrêter ce cercle vicieux. L'un des bénéfices les plus important du type de relation sur lesquel nous discutons dans Taken In Hand, est de permettre de traiter et de corriger ces erreurs.

Au lieu de permettre que les petits problèmes dégénérent en tristesse, disputes, cris ou au contraire silence glacé - l'homme exprime son autorité, notamment par la discipline conjugale, pour rappeler l'importance de leur relation. Au lieu de se mettre en retrait ou de briser la communication, en prenant ou en reprenant le contrôle il réaffirme son implication dans la relation. Prendre sa femme en main est pour lui moyen de rappeler l'importance de leur relation à ses yeux, sans perdre la face ni perdre de sa virilité. Il signale à sa femme qu'il est prêt à oublier leurs troubles plutôt que de les ressasser et les laisser dégénérer, ce qui les minimise sinon les élimine.


Il rappelle aussi à sa femme qu'il l'aime et a confiance en elle. En affirmant son autorité et en exigeant qu'elle se soumette à la fessée, il lui témoigne sa confiance, sachant qu'elle ne se rebellera pas. D'une certaine façon, plus la discipline qu'il lui impose est sévère, plus en fait il lui tend la main et se dévoile.


Pareillement, en se soumettant à une fessée exemplaire et peut-être cuisante, elle réaffirme son acceptation de l'autorité de son mari. C'est une preuve éclatante de l'amour qu'elle lui porte et, même si elle ne l'admet pas, de sa soumission à lui en tant que mari. En consentant à la discipline qu'il veut qu'elle accepte (même si elle proteste), elle signale qu'elle veut elle aussi oublier les troubles plutôt que les laisser polluer leur avenir.


Comme son mari a fait appel à elle, sa soumission est sa réponse positive. Elle indique à son tour que leur relation lui est très précieuse. En s'abandonnant entre ses mains, elle lui montre qu'elle lui appartient et lui fait totalement confiance. Elle rappelle que son implication dans la relation lui importe plus que les désagréments ponctuels. Elle agite un drapeau blanc pour arrêter les hostilités sans conditions. En se soumettant à l'autorité de son mari, même si cela implique qu'elle reçoive une fessée exemplaire, elle lui exprime son amour.







La communication dans une fessée est tacite, non explicite, mais n'est pas moins importante. Et rétrospectivement (si ce n'est sur le moment) c'est beaucoup plus agréable que des querelles qui n'en finissent pas. Une vraie fessée est une manière, courte âpre et intense, de régler un problème. Cela assainit l'atmosphère. Les tensions et ressentiments sont évacués du couple, et cela conduit souvent à des relations sexuelles passionnées. Après la fessée, les deux partenaires se sentent bien l'un avec l'autre et peuvent parlez, calmement et bénéfiquement, de ce qui s'est passé.


Une vraie fessée disciplinaire n'agit pas comme une arme de dissuasion, mais de manière plus indirecte, plus positivement que négativement. Elle réaffirme l'amour entre les deux partenaires, leur engagement et leur confiance l'un envers l'autre, et répare la communication. Elle représente l'autorité de l'homme et aide à maintenir un fort désir sexuel. La femme en retire un incroyable sentiment de paix, de bonheur et d'amour passionné, et en ressort prête à tout pour faire plaisir à son mari. Et quand sa femme aime lui faire plaisir, est paisible, joyeuse, et sexuellement disponible, l'homme est heureux et relaxé.


Le but véritable de la fessée n'est donc pas réellement la punition, mais la connexion sexuelle et affective. Donner une bonne fessée peut résoudre un problème rapidement et efficacement. Ne vous en privez surtout pas.


Source (en anglais) :http://www.takeninhand.com/node/104





Porter la culotte ?

"Porter la culotte", ou la jupe ?


L'expression "porter la culotte" signifie : commander dans le couple ; la culotte symbolisant l'homme (l'autorité et la virilité) et la jupe la femme (la soumission et la féminité).






Elle s'emploit généralement pour décrire des situations anormales où la hiérarchie naturelle du couple n'est plus respectée :
"Dans le ménage, c'était le mari qui portait les jupes et la femme les culottes" (Proust).
Il convient que les conjoints s'attachent à éviter une telle abomination dans leur foyer et y fasse au contraire fleurir “l'ordre conjugal”. Les symboles et rituels étant souvent de bon secours, il conviendra que l'épouse, au moins devant son mari, porte la jupe, dans tous les sens du terme.






Tout peut d'ailleurs être symbole en ce domaine.


Ainsi, dans le mariage, la femme n'est pas dépourvue de droits et de dignité : elle assure, conjointement avec son mari, la direction matérielle et morale de la famille. Elle portera donc elle aussi une culotte... sous sa jupe bien sûr : la "petite culotte" (blanche, bien sûr). Culotte que la décence lui interdit bien sûr d'exhiber en public.





Ceci dit, même dans l'intimité, une certaine pudeur, qui n'exclut en rien la sensualité (bien au contraire), et une certaine retenue, seront généralement des qualités appréciées par l'homme.




Cependant, "sur l'oreiller", et bien sûr en restant féminine, même si elle est en colère (et en évitant à tout prix de sombrer dans la vulgarité), elle pourra lui adresser des remontrances.

A l'inverse, quand un homme doit donner une fessée à sa compagne, il la trousse et la déculotte, dans un geste autant pratique que symbolique.





Ainsi le port de la jupe par la femme n'est pas un détail sans importance, mais une attitude riche de significations.


Que les femmes sachent que leur amour et leur vertu s'expriment aussi par là.


Que leurs maris ou compagnons sachent apprécier cet emblème à sa juste valeur ! Qu'ils sachent le cas échéant, toujours avec tendresse, faire preuve de persuasion.



En puissance de mari

Dieu que j'aime mon mari,
Même à l'heure de la punition.



Sa main d'amour et de justice
Qui protège, caresse et punit,
Son visage rassurant et solide,
Ses yeux tour à tour joyeux,
Ou paisibles ou déçus,
Mais toujours adorant sa princesse.
Son corps puissant et rude,
Comme je suis douce et lisse,
Sa verge qui me pénètre,
Me féconde et m'envole.



Mais aujourd'hui, c'est la fessée,
Injuste ou méritée qu'importe,
Poussé à bout ou amoureux,
C'est un homme, il doit agir.
Dans la chambre de nos amours,
Sur le lit de nos ébats,
Couchée serrée bien contre lui,
Un terrible quart d'heure m'attend.



La crainte du feu qui s'annonce,
La paix d'être aimée malgré tout,
La rage d'être ainsi contrainte,
La joie d'être ainsi à lui,
La honte du déculottage,
Le désir d'être dénudée,
Le regret de l'avoir offensé,
Le bonheur de lui appartenir.



Heureuse et honteuse à la fois
D'être ainsi prise de force et battue,
Je savoure le délice d'être offerte,
D'être sa femme, quoi que j'ai fait.



Je m'abandonnerai tout à l'heure,
Affolée sous le feu de mes fesses,
Impuissante, vérouillée sous son bras.
Je m'oublierai totalement
Et éplorée je balbutierai,
Des regrets des pardons des promesses,
Que jamais je n'aurais osé dire,
Que peut-être je ne tiendrai pas.


Mais qu'importe car il a su ainsi
Transformer une faute en bonheur,
Nous enflammer de désir et d'amour,
Nous rapprocher comme aux meilleurs jours.
Dieu que j'aime mon mari,
Toujours à l'heure de notre amour.


Camille




Moment de grâce

LE PLUS JOLI MYSTERE DE L'ANNEE


Le temps qu’il fera dimanche, les tendances de cet automne et le montant de nos retraites, ils veulent tout nous annoncer. Tout prévoir. Tout formater. Des courbes, des chiffres, des statistiques et des bilans. Il faut tout ranger, tout caser. Que rien ne dépasse. Les étiquettes et les tiroirs ont remplacé le hasard et la providence. On réfléchit avant d’aimer. On calcule avant de faire un enfant et on s’offre une étude de marché avnt de réaliser son rêve. Il y a des gens qui sont payés pourça, qui fabriquent des satellites et qui font des audits. On nous a recensés et on nous disséquera. Est-ce que l’Insee, l’Ifri, le CAC et toutes ces initiales qui nous gouvernent savent vraiment tout de nous ? De nos vies ? De nos espérances ?


Numéro de carte de Sécu, de téléphone, classe socioprofessionnelle, place de parking et montant à déclarer... Ca nous colle à la peau tout ça. Ca nous plombe. Il faudrait pouvoir s’ébrouer. Il faudrait pouvoir avancer en pensant à ces vers de Rimbaud : “Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées...” On en est loin pas vrai ? On en est loin. Tout à l’heure encore, on consultera nos messageries de portable et on jettera un coup d’oeil distrait à la carte du ciel.


Pourtant, il y a une chose qu’il ne prévoiront jamais. Jamais. Un truc qui résiste. Un truc têtu. Un truc magnifique.



C’est le plus joli mystère de l’année : un jour, à Paris, les filles sont en jupe. Vous vous levez un matin. Un matin comme les autres. Vous descendez dans la rue, vous ne le remarquez pas tout de suite et pourtant c’est dans l’air. Quelque chose a changé. Ce jour là, même les chauffeurs de taxi et les garçons de café sont aimables. Ce jour-là, les filles sont en jupe. Ce jour-là, il fait beau. Hier, elles étaient en pantalon, demain, elles les remettront, mais, aujourd’hui, elles sont en jupe. Pourquoi ? Comment ? Quant ont-elles eu le temps de s’épiler ? Comment pouvaient-elles le savoir ? Pourquoi aujourd’hui ? Pourquoi toutes les filles ? Pourquoi ce cadeau ? C’est le plus joli mystère de l’année.


Anna Gavalda (Télérama, Annachronique du 03/05/2000)




Une épouse indocile

Evelyne est une jeune femme dépensière, très portée sur la toilette. Aussi, son mari a-t-il fini par être obligé de lui fixer un double plafond pour ses dépenses d'habillement :
- plafond global mensuel de 1000 F,
- plafond par pièce d'habillement (400 F pour une jupe, 300 F pour un polo ou chemiser,…).



Bien évidemment , il arrivait souvent à Evelyne de dépasser plus ou moins son plafond autorisé. C'était notamment le cas de ces 3 derniers mois. Son mari la grondait, mais elle était très habille à se faire pardonner ces désobéissances.

Le 10 de ce beau mois de Mai, il ne restait déjà plus à Evelyne que 200 francs sur son enveloppe mensuelle. Pourtant ce jour ci, passant devant la boutique Cacharel près de son bureau, Evelyne craqua encore pour un joli polo couleur corail à 380 francs… et une adorable petite jupe rouge à 500.

En attendant Julien ce soir là, Evelyne était tout de même un peu inquiète. Le mois dernier elle avait déjà dépensé plus de 1400 francs. Son mari l'avait longuement sermonnée, et elle avait l'impression de n'avoir échappé que de justesse à la fessée.

"Faute avouée est à moitié pardonnée" se dit-elle pour tenter de se rassurer."Je vais tout lui dire dès son retour du bureau, et essayer de lui faire, encore une fois, avaler la pillule". Elle revêtit les objets de sa faute, se recoiffa et retoucha son maquillage. Bientôt, Julien rentra.

Evelyne : "Bonsoir mon chéri !" dit-elle se jetant à son cou.

Julien : "Bonsoir mon amour. Comme tu es belle ce soir !"

Evelyne : "Oui..J'ai deux nouvelles à t'annoncer ce soir : une bonne et une auvaise. Je commence par la bonne ?"

Julien : "Comme tu veux ma chérie."

Evelyne : "Tu l'as déjà vue mon amour" lui dit-elle alors, tournant d'un tour complet sur elle même, "Joli non ?"

Julien : "Ravissant ! Absolument ravissant" dit-il en l'admirant longuement. "Et quel est la mauvaise nouvelle ?

Evelyne : "Et bien…c'est que ça a couté un peu cher…"



Julien : "Combien ?"

Evelyne : "A vrai dire, ça m'a couté la peau des fesses ! Heu, je veux dire que j'ai un peu dépassé les limites que tu m'avais fixées…"

"Combien ma chérie ?" répéta Julien l'air sérieux.






" 380 francs le polo, et 500 francs la jupe. … Tu connais le proverbe : en Mai fait ce qu'il te plait ! Enfin je plaisante mon chéri…excuse-moi… c'était tellement mignon…et j'étais sûre que cela te plairait !"

"Une jupe à 500 francs et polo à près de 400 ! Et cela te mène à combien depuis le début du mois ?"

"1680" murmura Evelyne en baissant la tête.

"Ce qui me plairait aussi, c'est d'être obéi de ma femme !"

"Je te demande pardon. Je ne recommencerai plus."

"J'y compte bien ! Et je vais faire ce qu'il faut pour ! Je vais faire ce que j'aurai du faire depuis longtemps : je vais t'administrer une bonne fessée, une correction dont tu te rappelera quand tu feras à nouveau les magasins. En attendant tu vas avoir les fesses de la couleur de ta jupe !"

"Oh non ! Je t'en supplie mon chéri ! c'est promis, je ne recommencerai plus !"

"Je le pense en effet" répondit Julien inflexible. "Allez viens !"

"Non ! Pas la fessée !"

"Inutile de discuter, Evelyne. Ma décision est prise." Lui répondit son mari en la prenant par le bras.





"Pas trop fort s'il te plait, je ne recommencerai plus, je te le promet !" supplia Evelyne, quand Julien  l'installa sur ses genoux. "Je te demande pardon" implorait-t-elle encore comme son mari lui retroussait la jupe et la déculottait.

 ...Et Evelyne reçut sa fessée...





Après s'être rajustée, elle demanda à nouveau pardon à son mari, et lui promis d'être plus obéissante à l'avenir. Ils terminèrent la soirée en amoureux.



Sophie Marceau

Interviewée par France-Soir, le 16 février 1993 :






Entre filles

Seize heures ; Marion, allongée sur son lit, est en pleine conversation téléphonique avec Julie, une amie d'enfance qu'elle n'avait pas vue depuis deux ans. Elle en viennent à parler de leurs maris.






Marion : "J'ai hâte que Jacques rentre. Tu sais que c'est aujourd'hui notre premier anniversaire de mariage. Jacques doit m'emmener au restaurant. D'habitude il n'est quasiment jamais là avant 20h, mais ce matin il m'a promis d'être d'être à la maison pour 19h au plus tard. On va bien voir. Et ton mari ça donne quoi ?"



Julie : "Oh tu sais il est fonctionnaire ! Il rentre généralement vers 18h, mais parfois beaucoup plus tôt, dès 16 heures certains jours."

Marion : "Ah ! Je t'envie !"


Julie : "Tu sais...aujourd'hui.. je ne suis pas très pressée qu'il rentre. Il m'a disputé hier, et ce matin il m'a annoncé que je recevrai une bonne fessée ce soir. Alors tu comprend…"








Marion : "Oui, bien sûr. … Mais raconte, ça m'intéresse, comment ça se passe une fessée ?"

"Eh non ! J'ai la chance de ne pas connaître cet aspect du mariage !"


……………………….


"Le fameux déculottage ! Ca doit être terriblement gênant ! Allongée sur les genoux de son mari, être troussée ! déculottée ! …Rien que d'y penser j'en ai des frissons !"
"Oui, tu as certainement raison. Cela fait partie du don de soi, auquel doit consentir toute femme... Mais quand même ! Et alors, après ?"


"Se faire longuement claquer les fesses... se faire rougir le derrière ! Mais ce doit être très désagréable ! N'est-ce pas ma petite Julie ? Ah Ah !"


"Mais console toi, c'est pour ton bonheur et ta vertu ! Ah Ah !


"Oh non, ne t'inquiète pas pour moi. Je n'ai pas reçu une seule fessée en un an de mariage… Comment! Une fois par semaine en moyenne ! Avec Jacques ce n'est pas prêt de m'arriver ! Il n'oserait jamais, il aurait trop peur de passer pour un macho ringard. Une fois pourtant, il a bien failli. Je l'avais poussé à bout et je l'aurais méritée 100 fois. Mais j'ai encore réussi à l'embobiner, à le culpabiliser. Si bien qu'à la fin il était tout confus et c'est lui qui s'est excusé. Le délire ! "


" D'ailleurs tu sais, je l'appelle Nounours."


"Mais non, je l'aime. C'est vrai que je ne l'honore peut-être pas toujours comme je le devrais. Mais je l'adore, il est tellement gentil ! ... C'est mon gros Nounours !"


"Comment ça je mériterais une fessée magistrale ! Mais qu'est-ce que c'est que cette réflexion ma petite Julie ? Pour la peine je vais demander à ton mari de t'administrer une bonne fessée ! Dès ce soir ! Ca t'apprendra !"

...



"OK on se rappelle bientôt pour fixer une date. En attendant je te souhaite une bonne soirée ... et une bonne fessée bien sûr ! Bises !"

Ayant raccrochée, Marion, toute troublée par les révélations de son amie, resta allongée quelques minutes sur le lit, se caressant et se tapotant les fesses sur sa jupe. Puis elle jeta un œil sur le réveil, 16h30, et se leva.



Elle aperçu alors son mari, debout les bras croisés à l'entrée de la chambre, un léger sourire aux lèvres.

***


"Tu viens d'arriver mon chéri ?" demanda timidement Marion


"Non. Je t'observe et je t'écoute depuis une demi-heure." Lui répondit Jacques, l'air narquois.


Marion se senti très mal.


"Allez, viens t'allonger sur mes genoux" lui ordonna son mari en s'asseyant sur le bord du lit.


Marion courut s'asseoir sur ses genoux et l'enlaça en implorant pardon.


"Tu me demanderas pardon dans un quart d'heure, quand j'en aurai terminé avec tes fesses."


"Jacques, mon chéri, cela doit faire 15 ans que je n'ai pas été fessée. S'il te plait, permet moi de garder ma jupe pour cette première fessée !"


"Mais je n'ai pas l'intention de t'enlever la jupe, ma chéri."


"Ah." Fit timidement Marion, incrédule.


"Non, je vais juste te la retrousser. Et aussi te baisser la culotte bien sûr."


"Non ! Je t'en prie ! Ou pas trop fort alors !" supplia Marion.


"Marion, quelle est la définition d'une fessée ?"


"Une correction appliquée sur les fesses." Répondit-elle doucement en baissant les yeux.


"Tu l'as dit ! Une fessée doit être appliquée sur les fesses. Ni sur la jupe, ni même sur la culotte. Ensuite, le terme de correction implique une certaine sévérité, donc à mon avis que les fesses soit bien rouges. Et pour le contrôle de cette rougeur, il faut bien que les fesses soit nues. Tu es d'accord avec moi?"


"Oui, mon mari." Répondit-elle humblement.


Tendrement, Jacques lui ordonna alors à nouveau de se coucher sur ses genoux.
Elle obéit docilement, implora encore qu'il lui laisse sa culotte. En vain. La faute était exemplaire ; la punition devait l'être aussi.


***


Et sur ses fesses nues, Marion,
Eplorée, suppliante,
Les fesses en feu et bondissantes,
Implorant en vain son pardon,
Reçu jusqu'au bout sa fessée,
Qu'elle avait si bien méritée.