vendredi 19 mai 2017

Sanction disciplinaires - Fin : la fessée d'Isabelle

Ayant ainsi épuisé tous les recours, sans succès et même à son détriment ainsi que nous l'avons vu, la jeune Isabelle se résolu à contacter la DRH, Mme DUBARDIER, afin de prendre RV pour sa fessée. L'emploi du temps de cette dernière étant chargée cette semaine, il fut convenu d'un rendez-vous le vendredi suivant à 10h.

Au jour et à l'heure dite Isabelle se présenta devant le bureau directorial et frappa doucement à la porte. Mme DUBARDIER vint lui ouvrir.

"Ah ! Bonjour Isabelle, comment allez-vous ?

"Heu... bien" répondit-elle timidement

"C'est aujourd'hui le grand jour. Vous êtes prête ?"

"Oui Madame" répondit Isabelle en baissant la tête.

 "Asseyez-vous Isabelle. La brosse est sur mon bureau. Il ne manque plus que vos collègues féminines du service comptabilité. Je vais téléphoner pour les prévenir."

"Bonjour Mme Parmentier, je cherchais à joindre la cheffe comptable Mme Calendra...
Ah ! Elle est en vacances... vous assurez donc l'intérim... J'ai la jeune Isabelle dans mon bureau... oui, pour sa fessée... Pourriez-vous venir avec l'ensemble des collaboratrices féminines du service pour assister à sa punition ? Je vous remercie."

"Ne vous inquiétez pas Isabelle, elles ne vont pas tardez. Voulez-vous un verre d'eau ?"

"Oui, s'il vous plaît. Merci"

... /...

"Entrez donc je vous en prie. Oh ! mais vous êtes bien peu nombreuses !"

"Oui, cette punition tombe en pleines vacances scolaires, les mamans sont absentes."

"C'est bien dommage, mais tant pis. Isabelle, venez s'il vous plaît vous allonger sur mes genoux."

"Oui Madame" répondit-elle résignée et obéissant aussitôt.

"Mme Marquez ! Veuillez s'il vous plaît éteindre et ranger ce téléphone portable."

"Mais, Mme Dubardier ! C'est pour les absentes !"

"Je regrette Mme Marquez, mais les absents ont toujours tord. Je plaisante. En fait la loi ne permet pas l'enregistrement de vidéogrammes des sanctions appliquées. Personnellement je le regrette. Mais de par mes fonctions je dois faire respecter le droit. Je suis désolée."

"Bien Madame" répondit Mme Marquez en obtempérant.

"Vous êtes prête Isabelle ?"

"Oui Madame" répondit celle-ci d'une voix à peine audible

Sur ce la directrice abattit la brosse sur la jupe d'Isabelle. Elle procéda ainsi une trentaine de fois, alternant droite et gauche, sous l'oeil intéressé et légèrement moqueur de ses collègues de travail.

Mme Dubardier marqua alors une pause, puis saisit l'ourlet de la jupe d'Isabelle et la troussa soigneusement, dévoilant un délicieux petit slip violet ourlé de dentelle. La brosse repris son ouvrage, alternant toujours gauche et droite, pour une bonne soixantaine de claques. Isabelle était visiblement à la peine, serrant les dents et ne parvenant plus à éviter de gémir et se tortiller.

La DRH marqua une nouvelle pause, puis expliqua à Isabelle qu'après ce petit échauffement les choses sérieuses allaient commencer. Isabelle poussa un petit cri de terreur quand Mme Dubardier lui abaissa la culotte jusqu'aux genoux.

Et la danse commença. Isabelle criant, pleurait, s'agitait mais, fermement tenue à la taille par la main d'acier de Mme Dubardier, ne parvenait pas à échapper aux assauts de la brosse. Pendant de très longues minutes, la brosse s'abattit sans pitié sur ses fesses maintenant sans défense, peinant d'un rouge toujours plus vif son pauvre derrière martyrisé. Les regards des collègues étaient maintenant plein de pitié et de sollicitude, certaines écrasant même quelques larmes.



EPILOGUE : Par une application proactive de ces réformes novatrices, l'entreprise ITIXYS - anciennement Les Etablissements Jules BERNARD et fils - prouva une nouvelle fois sa modernité, favorisant au passage l'initiative, l'esprit d'équipe et le bien-être au travail de ses collaboratrices.


samedi 13 mai 2017

Sanction disciplinaires - Isabelle : l'explication avec Maman

Après cette explication cuisante pour son amour propre, Isabelle se doutait en effet que l'explication avec Maman le serait tout autant, et pas seulement pour son amour propre.

Maman fut en effet fort marrie en apprenant le comportement de sa fille. Comme Papa l'avait bien deviné, elle décida qu'une fessée parentale s'imposait, même si une autre attendait la jeune fille à son travail.

Arrivée dans la chambre d'Isabelle elle commença par la sermonner vertement. Isabelle était toute penaude et au bord des larmes. Elle ne fut pas surprise quand Maman lui annonça la fessée.


Maman sait sa fille par le bras et l'allongea sur ses genoux. Même si Maman n'avait pas précisé, Sophie se doutait bien de ce qui l'attendait : une bonne fessée déculottée !


En effet la jupe fut rapidement retroussée, dévoilant une fine culotte de coton blanc, qu'Isabelle implorât le Ciel de pouvoir garder.


Mais tel n'était pas l'avis maternel, seule juge en matière de fessées. Maman débuta néanmoins la fessée sur la culotte, avec vigueur et rapidité, s'interrompant de temps à autre pour sermonner à nouveau sa fille.


C'est au cours d'une de ces pauses qu'elle annonça à Isabelle, toute mortifiée, qu'elle allait maintenant la déculotter et passer aux choses sérieuses.


Isabelle reçut alors, pendant de longues minutes qui lui parurent une éternité, une magistrale fessée déculottée qui la laissa toute pantelante  et les fesses écarlates.