lundi 19 février 2018

ACJF (12) - Une préparation au mariage (1)


Aurélie leva alors la main, et expliqua son cas :

"Je comprend tout à fait Catherine. Mon fiancé m'a fait découvrir la fessée érotique, à une époque où je n'étais pas prête à passer... aux choses plus sérieuses.



Nous l'avons intégrée dans nos moments et pratiques intimes, avant même que je me donne pleinement à lui."



"En même temps, il lui est arrivé, par deux fois, de me fesser à titre de punition. Et je peux vous assurer que les ai alors reçues comme telle !



"Bon, je vous mentirais en niant avoir ressenti un peu d'excitation. Mais nous savions et sentions tous les deux, qu'à ces moments j'étais punie."



"Il y avait eu fautes, et la fessée en était l'expiation attendue, par lui comme par moi. Il a su faire preuve d'autorité, et c'est aussi ce que j'attend de mon futur mari. Notre projet est sérieux et nous devons intégrer nos places respectives."



Virginie ne put se retenir : "Mais c'est complètement macho tout ça ! Hou les filles ! Me dites pas que vous êtes d'accord avec ça !"



Aurélie répliqua fermement : "Non ! J'adhère pleinement à l'égalité de droits et de dignité entre l'homme et la femme. Mais dans un couple marié, il faut maintenir une certaine différence d'autorité entre l'homme et la femme. Rappelle toi que la Bible nous recommande d'être soumises à nos maris, et ceci en toutes choses..."



"... L'homme doit certes choyer et respecter sa femme. Mais il doit aussi parfois savoir la cadrer, et ne pas craindre d'exercer toutes ses responsabilités de chef de famille."



mercredi 14 février 2018

ACJF (11) - Et si nous trouvons la fessée... érotique ?

Catherine lève alors la main et intervient :

"Cette discussion m'intéresse beaucoup. Mais pour ma part j'ai un problème. Ou plutôt, à vrai dire, je n'ai pas de problème avec la fessée. J'espère que je ne vous choquerai pas, et que vous ne me jugerez pas mal. Voilà, en fait, l'idée de recevoir la fessée m'excite terriblement."


De nombreux yeux brillent, et quelques jeunes filles rougissent dans la salle

"J'aime imaginer que je la reçois. Quand je suis seule à la maison, je me met parfois en position, comme si je recevais une fessée. Je trouve cela infiniment troublant."





"Et parfois, il m'arrive de me fesser moi-même. Avec ma brosse à cheveux pour plus de réalisme."



"Dans ces conditions, comment imaginer que la fessée puisse, pour moi, être une punition ? Qui me permettrait d'expier mes fautes et de m'améliorer ? "



Ségolène : "Effectivement, je n'avais pas pensé à cela !"

Le silence régnant, Valentine tenta de relancer le débat :

"Je te remercie Catherine, pour ce témoignage et cette question extrêmement intéressante et que je n'avais pas anticipée.
Est-ce que d'autres personnes ici ressentent la même ambivalence au sujet de la fessée ? "



Quelques doigt se lèvent timidement. Mais aucune jeune fille n'ose prendre la parole.

Valentine reprend :

"Même si nous pensons qu'elle doit être canalisée et régulée, la sexualité est une chose naturelle et saine. Après tout, c'est ainsi que Dieu nous a créés, hommes comme femmes.


Est-ce que certaines parmi vous seraient parvenues à concilier cette ambivalence au sujet de la fessée. ? Entre d'un côté une pratique ou une pensée érotique, ce que nous pouvons tout à fait concevoir ;



et d'autre part ce qu'elle doit également rester, un outil d'autorité et une punition effective et efficace ? "










dimanche 4 février 2018

ACJF (10) - Tomber la culotte ?

Prenant son courage à deux mains, Susène se lance, légèrement rougissante :

" J'avoue être assez troublée par ces échanges. J'éprouve parfois un sentiment de culpabilité devant certains de mes actes. A vous entendre, la fessée parentale pourrait être un excellent moyen de purger cette culpabilité, et pourquoi pas d'être reprises en main et mieux encadrée.



L'idée me séduit tout à fait, mais je ne suis toutefois pas certaine d'être prête, aujourd'hui, à franchir le pas. Je suis très pudique et il est donc hors de question que ce soit mon père qui me fesse. Même avec ma mère je crois que je serais extrêmement gênée de devoir lui montrer ma culotte. Alors l'idée d'être déculottée m'effraye totalement ! Est-ce vraiment obligatoire ? "



" Rien n'est obligatoire, Susène" lui répondit doucement Alix, "mais tout est bénéfique",

" Si déjà tu respectes l'autorité de tes parents, sans recevoir la fessée, c'est très bien et cela t'apportera beaucoup."



"Si tu acceptes seulement de recevoir la fessée sur ta jupe, mais sans être troussée, c'est encore un plus, dont tu bénéficieras."



"Si tu acceptes d'être troussée et fessée sur ta culotte, tu fais encore un magnifique pas en avant, qui t'apportera énormément."



Mais à mon sens, bien sûr, une fessée doit normalement être déculottée. Même si je n'en suis pas à ma première fessée, le déculottage reste toujours pour moi un instant magique.



"A chacun de ces stades, Susène, tu éprouveras bien sûr une gêne supplémentaire. Mais la fessée te seras aussi plus bénéfique. Rien n'est obligatoire et c'est à toi de faire le choix. Et d'évoluer dans ce choix si tu t'y sens prête. Est-ce que je t'ai rassurée ? "

"Oui" fit doucement Susène, souriant timidement.

A son tour Kim s'adressa à Susène :

"Susène, moi aussi j'ai eu du mal à sauter le pas. La peur de la gêne, et de la douleur, est à juste titre très forte. Mais si tu t'abandonnes entièrement entre les mains de la personne à qui tu auras donné autorité, les bénéfices peuvent être magnifiques.



Comme je commençais à l'expliquer tout à l'heure, la fessée peut t'apporter un extraordinaire sentiment d'humilité et de vulnérabilité ; qui une fois terminée se transformera en un délicieux sentiment de paix et de docilité.

Déjà tu te sentiras vulnérable lorsque ta mère te sermonnera. Ton adrénaline fera un bond lorsqu'elle t'annoncera que tu va être fessée et t'enverra dans la chambre.



Tu te sentira encore plus vulnérable au moment de basculer sur ses genoux, puis lorsqu'elle commencera à te fesser sur la jupe.



Tu seras peut-être désespérée lorsque ta mère saisira l'ourlet de ta jupe pour la retrousser.



Enfin tu seras peut-être terrifiée quand ta mère glissera ses doigts sous l'élastique de ta culotte, afin de te l'abaisser sur les cuisses, te laissant entièrement à sa merci pour la suite de ta punition.



Donc tu reste libre de décider ce pour quoi tu es prête. Dans tous les cas tu en tireras de grands bénéfices. Mais je t'invite à être forte, courageuse, et audacieuse ! "

"Oui. D'accord. Je vais y réfléchir. Et j'essaierai." fit Susène, qui paraissait rassérénée par ces bonnes paroles.