jeudi 21 février 2013

Soumise, pourquoi ?

"On ne nait pas femme, on le devient"


La justification morale de la soumission de la femme envers son mari ne doit pas être recherchée du côté d'une quelconque, et bien hypothétique, supériorité masculine.


A l'inverse paradoxalement, si l'on admet le postulat d'une certaine supériorité morale féminine, le principe de l'autorité maritale se justifie alors.


En effet, si la bienséance ne le réprouvait pas, la femme, par hypothèse moralement supérieure à son mari, pourrait être amenée à le dominer. Beaucoup d'hommes le vivraient mal. Et les femmes elles-même le souhaitent-elles ?


Plus fondamentalement, de nombreuses qualités sont généralement considérées comme typiquement féminines : délicatesse, attention aux autres, dévouement, grâce, pudeur, etc. Ces qualités, ces vertus, sont perçues comme trop rares, et pourtant nécessaires à l'épanouissement de l'humanité. Pourquoi sont-elles plus souvent féminines que masculines ?


Sauf à croire qu'il s'agit de données exclusivement biologiques, on peut raisonnablement supposer que la plus forte propension des femmes à développer ces qualités est également le résultat de siècles d'éducation différenciée.


Outre leur injustice fondamentale ces contraintes exercées sur les femmes étaient souvent excessives. Néanmoins, elles ont eu pour effet positif de conduire les femmes à porter un certain regard sur les êtres et la vie.

Aujourd'hui que l'égalité juridique est assurée entre les hommes et les femmes, sachons ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain.


Alors s'il vous plait d'être soumise, à un certain point, n'en ayez pas honte. Bien au contraire, soyez en fière.




"He considers you special and special girls give of their best, pay attention to the detail, and are obedient. Special girls are not dishonest and special girls pay attention to the needs of their dominant. Special girls can fly high, just like Dumbo. They are lovable, loving, loved.
Special girls walk proud, and are happy, confident that they are the lucky ones. Their containment is their piece of paradise, and they don’t think to leave the confines of paradise, for why should they? There is no better place to be."
Vesta


d'autres analyses intéressantes de Vesta :
The sun and the moon
Force



lundi 11 février 2013

Recherche demoiselle à prendre en main

Toutes ces jolies photos, ces témoignages craquants, et personne sous la main. La vie est trop cruelle !

Y aurait-il une "demoiselle" qui aimerait découvrir la fessée sous ma main ? Coquine désirant vivre cette expérience troublante ; jeune femme souhaitant purger un sentiment de culpabilité en recevant une bonne fessée ; ou une demoiselle romantique, nostalgique d'une époque révolue où les rôles masculin et féminin étaient simples et clairs...


Me contacter :
olivier_meudon@yahoo.fr

vendredi 8 février 2013

Jeu de jupes



C'est une nouvelle qui met le petit monde du handball féminin en émoi. Les présidents des clubs réfléchissent à imposer aux joueuses le port de la jupe sur les terrains. "C'est seulement une piste de réflexion. Nous devons réfléchir aux moyens d'améliorer la visibilité du handball féminin. S'il est prouvé que le port de la jupe peut être bénéfique, je pense qu'une majorité peut se dégager pour cela",explique Jean-Marie Sifre, qui dirige l'Union des présidents de club de la Ligue féminine. Le projet, sitôt connu, a trouvé ses contempteurs. La joueuse de Dijon Lea Terzi juge que cette idée "rabaisse les joueuses à leur physique". Dans un post publié sur le site nouvelobs.com, la journaliste Fabienne Broucaret et la sociologue Béatrice Barbusse, ex-dirigeante du club de handball (masculin) de l'US Ivry, appellent à ne "pas céder aux sirènes du marketing" et "aux arguments sexistes d'un autre temps".

L'idée, de fait, n'est pas neuve. Le Metz HB, actuellement en tête du championnat de France, a franchi le pas voici deux ans. D'autres sports s'y sont déjà essayés. La Fédération internationale de badminton a rendu la jupe obligatoire en 2011 avant de devoir reculer face aux protestations. Une décision qui s'appuyait sur une étude du cabinet de marketing Octagon, qui concluait à l'importance, dans l'équation commerciale gagnante du tennis féminin, de la fameuse jupette. Les patrons du badminton avaient cependant oublié que le port de la jupe sur les courts est coutumier, mais pas obligatoire. En 2007, la Française Tatiana Golovin avait fait scandale en portant un short rouge, sous sa jupette, à Wimbledon. Mais l'année suivante, la Russe Maria Sharapova n'avait pas hésité à enfoncer le clou en venant sur le Central avec un simple short blanc. Les dirigeants du handball féminin ont-ils retenu la leçon ? "Il n'est pas question de rendre la jupe obligatoire. C'est impossible juridiquement. Mais si tous les présidents de clubs équipent leurs joueuses de jupes, il peut y avoir un championnat en jupe", précise benoîtement Jean-Marie Sifre. Il n'est pas question, pour l'heure, d'imposer le kilt aux garçons.


Par Pierre Jaxel-Truer - M le magazine du Monde |