dimanche 17 avril 2016

Sanction disciplinaires - La punition d'Aïcha

Après avoir quitté l'entreprise Aïcha rentra directement chez elle. En sortant de la gare elle tomba sur son amie Fatiha et lui raconta tout, notamment sa honte et son anxiété au sujet de la punition qui l'attendait. Son amie, très versée dans la religion, tenta de la rassurer.


"Ne t'inquiète pas Aïcha, ta punition ne me semble pas haram. Comme tu me l'as expliqué tu vas certes être déculottée, mais seulement devant une femme, qui agit à titre purement professionnel. En somme, c'est comme quand nous allons voir notre gynécologue. Tout cela me semble parfaitement halal. Même pour cette Isabelle, qui sera fessée devant ses collègues féminines."

"Quand même, une fessée !"

"Oui, effectivement je ne doute pas que tu vas passer un mauvais quart d'heure. Mais reconnait que tu l'as mérité. C'est une épreuve qu'Allah t'envoie afin de te laver de ta faute. Prend là comme une bénédiction.Tu connait le hadîth "Douce est la verge pour celui qui se repend ?

"Oui. Bien sûr. Un de ceux que l'on serine aux femmes !"

"Aïcha ! Ne fais pas ta féministe. On dirait une française. Rires !"

"Mais nous sommes françaises toutes les deux ! D'ailleurs tu es aussi féministe à ta façon. Tu travailles, et avec ton mari vous formez un couple équilibré. Il te respecte et s'occupe lui aussi de votre bébé et des tâches ménagères."


"Oui, mais il reste mon chef et je le respecte. Y compris en m'inclinant et en lui obéissant lorsque, après en avoir discuté avec moi, il prend une décision avec laquelle je ne suis pas entièrement d'accord. L'autorité maritale est une des bases d'un mariage harmonieux. Ne l'oublie pas quand tu te marieras."

"Inch'Allah !"

"Aïcha, nous avons aussi notre culture particulière, arabe-musulmane. Nous devons en être fière et la respecter, ne serait-ce que pour faire honneur à nos parents et notre famille. C'est important. Cela ne nous empêche pas de la moderniser, nous ne voulons pas vivre exactement comme nos mères ou nos grands-mères. Mais nous devons le faire en douceur, et sans perdre de vue l'essentiel. C'est aussi notre façon de contribuer à construire notre pays, que nous aimons, en l'enrichissant de notre différence."

"Tu as raison Fatiha. Tu es une bonne amie et as toujours été de bon conseil. Tu m'as rassurée et je te remercie."

.../...

Le lendemain le réveil d'Aiche sonna comme d'habitude à 7h. Elle se leva d'un bon afin d'aller aider sa mère, qui devait préparer ses petits frères et soeurs pour l'école. Sa mère lui demanda de vider le lave-vaisselle.



Au moment de s'habilla elle hésita un peu. Elle opta finalement pour une tenue courte et féminine qui la laisserai libre de ses mouvements. Il s'agissait aussi de tenter d'attendrir Mme Dubardier,  et également de lui faciliter la tâche afin de ne surtout pas risquer de la mettre de mauvaise humeur !

.../...

Arrivée à l'étage directorial Aïcha se présenta à l'assistante. Cette dernière la fit s'asseoir et prévint Mme Dubardier. Après quelques minutes, qui parurent bien longues à Aïcha qui s'imaginait examinée sous toute les coutures par l'assistante, la DRH vint la chercher et la conduisit dans son bureau. Elle s'assit sur la petite table basse du coin bureau et installa Aïcha sur ses genoux.

"Cela ne va pas être agréable Mademoiselle, mais c'est pour votre bien. Je suis heureuse que vous ayez choisi de rester dans l'entreprise. Les gens vous aiment bien ici."

"Merci Madame, c'est gentil."

"Mais maintenant je vais être obligée d'être moins gentille !"

Sur ces mots, Mme Dubardier entrepris de trousser et déculotter Aïcha, puis de lui administrer une retentissante fessée.


Cette fessée fut une sensation totalement nouvelle pour Aïcha. Certes, enfant ou adolescente, elle avait reçu deux ou trois fois la ceinture de son père, mais elle était alors toute habillée. Maintenant ses fesses étaient nues et sans défense, et la main puissante de Mme Dubardier s'abattait sans relâche avec une régularité de métronome.


Ses fesses rougirent rapidement et Aïcha ne put longtemps retenir plaintes et mouvements incontrôlés.

"Ne gigotez pas trop Aïcha, s'il vous plaît. Vous ne me facilitez pas la tâche, et cela risque alors de durer plus longtemps."

"Excusez-moi Madame ! Mais ça fait tellement mal !"

"C'est le principe d'une bonne fessée Aïcha. Vous êtes punie et cela doit faire mal."


Effectivement cela faisait mal et la jeune fille, s'efforçant de garder une dignité, serrait fort les dents pour ne pas crier telle une gamine.

La fessée terminée, Mme Dubardier consola la jeune femme et lui offrit un chocolat chaud et quelques mignardises. Puis elle la raccompagna au service comptabilité, jusqu'au bureau de Mme Jessica OLIVERT.

"Bonjour Aïcha. Je suis heureuse de vous revoir parmi nous. Cela va bien ?"

"Oui Madame. Merci. Ca va mieux maintenant." répondit Aïcha toute rougissante

"Venez. Je vous raccompagne à votre poste de travail.
Je vous ai ajouté un coussin sur votre siège." ajouta-t-elle avec un clin d'oeil

"Merci, c'est gentil" répondit Aïcha, retrouvant le sourire

Ses collègue la saluèrent toutes gentiment et la jeune fille se mit aussitôt au travail, heureuse et soulagée que tout se soit bien terminé.


THE END 

mardi 12 avril 2016

Conseil de discipline - Le verdict

20 minutes plus tard, la directrice des ressources humaines alla rechercher Isabelle et Aïcha.
"Vous pouvez revenir Mesdemoiselles"

Les deux jeunes filles suivirent docilement Mme DUBARDIER et se rassirent à leur place, devant le conseil de discipline.



Monsieur le Directeur prit alors la parole :

"Mesdemoiselles, le conseil a décidé l'application à votre égard des peines alternatives suivantes.

Mademoiselle B., pour les vols commis au détriment de l'entreprise, vous recevrez de la main de Mme DUBARDIER, seule avec vous et dans son bureau, une bonne fessée déculottée. J'espère que cela vous servira de leçon."

Mle Aïcha B. :
"Oui Monsieur. Je mérite parfaitement cette sanction, et je remercie le conseil de me laisser cette chance. Je vous promet de m'efforcer dorénavant de mériter à nouveau la confiance de l'entreprise."

Le directeur repris la parole :

"Votre réaction est tout à votre honneur Mle B. Votre égarement sera puni, mais oui avons confiance en vous."

"Merci Monsieur le directeur" répondit Aïcha, des larmes aux coins des yeux.

Puis le directeur, se tournant vers Isabelle :

"Quand à vous Mademoiselle T., je vous avoue que le conseil a longuement hésité sur votre cas. Des voix se sont élevées pour que vous soit refusé le bénéfice d'une peine corporelle alternative et que vous soyez licenciée. Néanmoins une coute majorité s'est dégagé en votre faveur.
Le conseil a ensuite délibéré sur la peine à vous appliquer. Pour avoir initié un système de vol au détriment de l'entreprise, et de surcroit corrompu et entrainé dans votre système délictueux votre collègue Aïcha B. ici présente, le conseil a décidé que vous recevrez de Mme DUBARDIER, devant l'ensemble du personnel féminin du service comptabilité, une sévère fessée déculottée à la brosse à cheveux."

Isabelle : "La brosse ! Et devant mes collègues ! Oh non !"

Le directeur poursuivit :

"Mesdemoiselles, ainsi que le prévoit la loi vous disposez d'un délai de deux jours francs pour faire appel. Passé ce délai vous devrez vous rapprocher de Mme DUBARDIER afin qu'elle fixe avec vous, et les service comptabilité pour Mle T, les modalités pratiques de votre punition. Une fois celle-ci administrée votre mise à pied cessera et vous pourrez reprendre le travail, et donc percevoir à nouveau vos émoluments. Avez-vous des questions ?"

Aicha :
"Je renonce à faire appel. Je suis prête, Mme DUBARDIER, à recevoir ma fessée. Tout de suite si vous voulez."

Mme DUBARDIER :
"Dans ce cas Mademoiselle, présentez vous demain à 9h dans mon bureau afin que je m'occupe de vous. Vous pourrez ensuite rejoindre votre poste de travail."

Aïcha :
"Oui Madame. Demain 9h, j'y serai."

Le directeur, s'adressant à Isabelle T. :
"Et vous Mademoiselle T. ?"

Isabelle : "Je... je ne sais pas. Je vais réfléchir."

Mle RAMIREZ :
"N'hésitez pas à me demander conseil si vous le souhaitez. Nous pouvons discuter en toute discrétion dans le bureau syndical."

Isabelle : "Merci, c'est gentil. Je ne sais pas ce que je vais faire."