dimanche 27 décembre 2009

Entre filles

Seize heures ; Marion, allongée sur son lit, est en pleine conversation téléphonique avec Julie, une amie d'enfance qu'elle n'avait pas vue depuis deux ans. Elle en viennent à parler de leurs maris.






Marion : "J'ai hâte que Jacques rentre. Tu sais que c'est aujourd'hui notre premier anniversaire de mariage. Jacques doit m'emmener au restaurant. D'habitude il n'est quasiment jamais là avant 20h, mais ce matin il m'a promis d'être d'être à la maison pour 19h au plus tard. On va bien voir. Et ton mari ça donne quoi ?"



Julie : "Oh tu sais il est fonctionnaire ! Il rentre généralement vers 18h, mais parfois beaucoup plus tôt, dès 16 heures certains jours."

Marion : "Ah ! Je t'envie !"


Julie : "Tu sais...aujourd'hui.. je ne suis pas très pressée qu'il rentre. Il m'a disputé hier, et ce matin il m'a annoncé que je recevrai une bonne fessée ce soir. Alors tu comprend…"








Marion : "Oui, bien sûr. … Mais raconte, ça m'intéresse, comment ça se passe une fessée ?"

"Eh non ! J'ai la chance de ne pas connaître cet aspect du mariage !"


……………………….


"Le fameux déculottage ! Ca doit être terriblement gênant ! Allongée sur les genoux de son mari, être troussée ! déculottée ! …Rien que d'y penser j'en ai des frissons !"
"Oui, tu as certainement raison. Cela fait partie du don de soi, auquel doit consentir toute femme... Mais quand même ! Et alors, après ?"


"Se faire longuement claquer les fesses... se faire rougir le derrière ! Mais ce doit être très désagréable ! N'est-ce pas ma petite Julie ? Ah Ah !"


"Mais console toi, c'est pour ton bonheur et ta vertu ! Ah Ah !


"Oh non, ne t'inquiète pas pour moi. Je n'ai pas reçu une seule fessée en un an de mariage… Comment! Une fois par semaine en moyenne ! Avec Jacques ce n'est pas prêt de m'arriver ! Il n'oserait jamais, il aurait trop peur de passer pour un macho ringard. Une fois pourtant, il a bien failli. Je l'avais poussé à bout et je l'aurais méritée 100 fois. Mais j'ai encore réussi à l'embobiner, à le culpabiliser. Si bien qu'à la fin il était tout confus et c'est lui qui s'est excusé. Le délire ! "


" D'ailleurs tu sais, je l'appelle Nounours."


"Mais non, je l'aime. C'est vrai que je ne l'honore peut-être pas toujours comme je le devrais. Mais je l'adore, il est tellement gentil ! ... C'est mon gros Nounours !"


"Comment ça je mériterais une fessée magistrale ! Mais qu'est-ce que c'est que cette réflexion ma petite Julie ? Pour la peine je vais demander à ton mari de t'administrer une bonne fessée ! Dès ce soir ! Ca t'apprendra !"

...



"OK on se rappelle bientôt pour fixer une date. En attendant je te souhaite une bonne soirée ... et une bonne fessée bien sûr ! Bises !"

Ayant raccrochée, Marion, toute troublée par les révélations de son amie, resta allongée quelques minutes sur le lit, se caressant et se tapotant les fesses sur sa jupe. Puis elle jeta un œil sur le réveil, 16h30, et se leva.



Elle aperçu alors son mari, debout les bras croisés à l'entrée de la chambre, un léger sourire aux lèvres.

***


"Tu viens d'arriver mon chéri ?" demanda timidement Marion


"Non. Je t'observe et je t'écoute depuis une demi-heure." Lui répondit Jacques, l'air narquois.


Marion se senti très mal.


"Allez, viens t'allonger sur mes genoux" lui ordonna son mari en s'asseyant sur le bord du lit.


Marion courut s'asseoir sur ses genoux et l'enlaça en implorant pardon.


"Tu me demanderas pardon dans un quart d'heure, quand j'en aurai terminé avec tes fesses."


"Jacques, mon chéri, cela doit faire 15 ans que je n'ai pas été fessée. S'il te plait, permet moi de garder ma jupe pour cette première fessée !"


"Mais je n'ai pas l'intention de t'enlever la jupe, ma chéri."


"Ah." Fit timidement Marion, incrédule.


"Non, je vais juste te la retrousser. Et aussi te baisser la culotte bien sûr."


"Non ! Je t'en prie ! Ou pas trop fort alors !" supplia Marion.


"Marion, quelle est la définition d'une fessée ?"


"Une correction appliquée sur les fesses." Répondit-elle doucement en baissant les yeux.


"Tu l'as dit ! Une fessée doit être appliquée sur les fesses. Ni sur la jupe, ni même sur la culotte. Ensuite, le terme de correction implique une certaine sévérité, donc à mon avis que les fesses soit bien rouges. Et pour le contrôle de cette rougeur, il faut bien que les fesses soit nues. Tu es d'accord avec moi?"


"Oui, mon mari." Répondit-elle humblement.


Tendrement, Jacques lui ordonna alors à nouveau de se coucher sur ses genoux.
Elle obéit docilement, implora encore qu'il lui laisse sa culotte. En vain. La faute était exemplaire ; la punition devait l'être aussi.


***


Et sur ses fesses nues, Marion,
Eplorée, suppliante,
Les fesses en feu et bondissantes,
Implorant en vain son pardon,
Reçu jusqu'au bout sa fessée,
Qu'elle avait si bien méritée.






1 commentaire: