Sophie, 30 ans, s'estimant négligée par son mari trop occupé, va entreprendre de le reconquérir en titillant sa jalousie.
Ce troisième jour de vacances, Alain et Sophie s'installèrent à la terrasse du Café de la Plage. Comme d'habitude, Alain se plonge dans son journal. Sophie, en jupe courte, silencieuse et souriante, croise, décroise et écarte légèrement les jambes, attirant le regard des passants.
Monsieur, intrigué par le silence de sa femme, finit par s'en apercevoir. Surpris, il lui demande de faire attention : "Des hommes peuvent te regarder."
Elle ne répond pas , mais continue son manège.
Alain se fait plus insistant : "Qu'est ce qui te prend ma chérie ? Ca ne va pas !?"
Elle le regarde un instant, puis recommence de plus belle, se découvrant même plus ostensiblement.
Le mari est maintenant franchement gêné. Il lui lance en chuchotant : "Sophie, veux-tu cesser immédiatement ce manège !". Pour toute réponse, un regard de défi…et une nouvelle provocation.
Toujours aussi gêné, Alain est maintenant visiblement irrité : "Sophie, je t'ordonne d'arrêter immédiatement !".
Long sourire de défi, et cuisses se dévoilant de nouveau. "Sophie, on s'en va !"
"Pourquoi mon chéri ? On est bien ici. Il y a plein de monde, c'est agréable." Et de continuer de plus belle ses jeux de jambes.
Les consommateurs des tables voisines les regardent maintenant. Certains passants semblent bizarement chercher leur chemin.
Comble de malchance, Alain n'a aucune monnaie, et le serveur ne vient pas. Bouillant de colère rentrée, il laisse royalement son billet de 20 euros, saisit sa femme par la main et bat en retraite d'un pas pressé vers leur voiture garée non loin. Durant le trajet de retour aucun mot n'est échangé. Alain ronge son frein, s'efforçant de garder son calme. Sophie, à peine confuse, le titille en silence.
Arrivés à la maison, Alain, la tenant par le bras, l'entraine vers la chambre en la sermonnant vertement :
"Tu devrais avoir honte. T'amuser, devant moi ! à attirer le regard des hommes. Risquer de montrer ta culotte en public !!! Tu vas le regretter amèrement !"
"Excuse-moi mon chéri ! Je me suis conduite comme une sotte. Mais j’ai quand même fais attention, je te promet que personne n'a vu ma culotte ! "
"En fait je voulais juste que tu me regardes, que tu t'occupes de moi." Lui ajouta-t-elle, timidement.
"Pour ça je vais m'occuper de toi ! Et de tes fesses en particulier ! Fais moi confiance tu vas les sentir !"
Sophie, se rendant soudain compte de ce qui l'attend, tente alors désespérément de négocier un répit de quelques minutes avant sa fessée :
"Mon chéri tu me fais peur, tu es trop en colère ! Je t'en prie, assis-toi cinq minutes sur le canapé et prend-toi en verre. Après je viendrai moi-même m'allonger sur tes genoux et tu me puniras comme tu l'entends. Je t'en supplie !"
Mais Alain, les nerfs à fleurs de peau, ne veut rien entendre, s'assoit sur le lit, couche sa jeune femme sur ses genoux, la trousse prestement, et ...
!!!
“Pardon mon chéri ! ...”
... découvre avec horreur ...
!!!!!
“Je ne recommencerai plus ! ...”
... qu’elle ne portait pas de culotte.
!!!!!!!
“Je te le promet ! Pardon ! Pardon !”
Et la pauvre Sophie passa alors ...
... un très, très mauvais quart d'heure.
J'aime beaucoup cette histoire, je comprends ce besoin d'être comblée d'attentions. Bravo et merci.
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RépondreSupprimerMerci.
RépondreSupprimerNous avons en effet tous besoin d’attention (et d’attention). Derrière le discours disciplinaire/moralisateur, qui peut avoir sa validité, la fessée, idéalement, est là pour combler certains besoins de celui qui la donne comme de celle qui la reçoit.
Ceci que l’on soit dans une relation globale de type conjugale, ou dans une relation plus partielle, dominant/soumise ou parrain/filleule, telle qu’évoquée dans votre blog (fort bien écrit et mignon !).
Ce besoin de soumission, de punition, d’expiation et de rédemption, voire de sanctification, que ressentent certaines femmes (et certains hommes par procuration), est à la base de l’ensemble de mes petites histoires !