mercredi 15 août 2018

Une fessée sur la jupe, en guise d'avertissement

Un peu anxieuse et gênée, Camille obéit néanmoins et se leva et contourna son père, afin de revenir par sa droite s'allonger sur ses genoux.

Elle marqua alors un temps d'hésitation, restant debout à deux pas. Pour l'aider son père se leva et lui saisit le bras .



"Allons Camille, n'ai pas peur. Ce que tu vas recevoir ce soir n'est pas grand chose, par rapport à ce qui t'attend peut-être plus tard, si apprend que tu t'es mal conduite."

La jeune fille avança, mais restait debout, hésitante.

Lui tenant maintenant le bras de sa main gauche, son père accentua l'invitation d'une légère pression sur l'épaule. Camille céda et plia, se laissant entraîner sur les genoux paternels.



Verrouillant fermement sa fille par la taille, Papa lui demanda si elle était prête. 


"Oui Papa, je le suis"

Immédiatement la première claque tomba, d'une intensité qui surprit la jeune fille.


Les fesses inviolées depuis cinq ans, elle avait oublié combien une vraie fessée, administrée avec sévérité, faite pour punir et dissuader, pouvait faire mal.



Papa lui administrait une vigoureuse fessée, et à un rythme soutenu. Il n'avait visiblement pas perdu la main. Il est vrai que les petites soeurs de Camille, habitant encore en permanence sous le toit paternel, devaient vraisemblablement y être soumises à l'occasion.



Rapidement Camille ne pu s'empêcher de se trémousser et de grimacer, sentant ses fesses chauffer de plus en plus.  


"Oh ! Papa ! Pas si fort ! Ca fait mal !"

"Mais oui ma chérie. C'est une fessée que tu reçois là. Une fessée doit faire mal, c'est ainsi qu'elle fonctionne et produit ses effets bénéfiques. Il faut souffrir pour être belle. Et encore ne te plains pas : tu as gardé ta jupe. Si, à Dieu ne plaise, tu devais revenir sur mes genoux, je te promet qu'elle ne restera pas en place. Et là pour le coup, tu sentiras vraiment tes fesses. Tu peux me croire Camille. Tu a intérêt à être une jeune fille exemplaire."



La jeune fille comprit alors pour de bon, combien elle avait intérêt, à l'avenir, à avoir un comportement et une conduite irréprochable.



Et elle s'interrogeait : oserait-elle avouer à Papa ce qui lui pesait tant sur la conscience depuis quelques mois ?

C'était bien cela qui l'avait motivée à prendre cet engagement...

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