vendredi 8 janvier 2016

Sanctions disciplinaires - La séance est ouverte

Mesdames et Messieurs, 

Le comité d'entreprise est aujourd'hui réuni en formation disciplinaire, afin de statuer sur le cas de Mesdemoiselles Aïcha B et Isabelle T.

Mesdemoiselles B. et T., ici présentes , à l'extrémité de la table, ont été convaincues de vol commis au détriment de l'entreprise et ont pleinement reconnus les faits. Elles ont fait l'objet d'une procédure disciplinaire qui a abouti le 5 du mois dernier à une décision de licenciement.

Avec l'assistance de Mademoiselle Maria RAMIREZ ici présente, notre déléguée syndicale CGT, toujours combative mais également très appréciée, et que je salue bien, Mesdemoiselles B. et T. ont fait appel de cette décision. 


Vous disposez d'une copie de leurs requêtes dans le dossier qui vous a été adressé il y a 10 jours, conformément à l'article 58 du règlement intérieur.

Dans leurs requêtes Mesdemoiselles B. et T. renouvellent leurs profonds regrets et remords, déjà exprimés lors de leur entretien préalable au licenciement, et mettent en avant les graves conséquences qu'aurait ce licenciement sur leur insertion professionnelle et sociale. Elles concluent en sollicitant de notre bienveillance de pouvoir bénéficier, en lieu et place de leur licenciement, des peines corporelles alternatives introduites récemment par la loi dite Taubira-Macron, et codifiées à l'article L.4325-13 du Code du travail rénové.

Madame DUBARDIER, notre directrice des ressources humaines unanimement appréciée, a émis un avis favorable aux requêtes de Mesdemoiselles B. et T.  Si vous en décidez ainsi elle se chargera donc, en vertu des pouvoirs disciplinaires que je lui ai délégués, d'exécuter les peines sollicitées par les requérantes. 

A titre personnel et en ma qualité de chef d'entreprise, après avoir pris l'attache de Madame DUBARDIER, et reçu à sa demande Mademoiselle RAMIREZ, qui a tenu à m'exposer personnellement ces deux cas difficiles, je vous informe d'ors et déjà de mon avis favorable. La contrition de Mesdemoiselles B. et T. semble sincère. Elles reconnaissent leurs fautes, et se déclarent prêtes à en assumer pleinement les conséquences. En dehors des faits qui leur sont reprochés, elles se sont révélées des collaboratrices efficaces, appréciées de leur hiérarchie comme de leur collègues. Je suis donc d'avis qu'il convient de leur laisser une seconde chance au sein de notre entreprise et, une fois la sanction appliquée et suivie d'une mise à pied de deux jours, de leur renouveler notre confiance.

Je déclare donc la séance ouverte. Nous allons débattre du cas de Mesdemoiselles B. et T, que chacun de vous pourra interroger s'il le souhaite.

Oui, Mademoiselle RAMIREZ, vous souhaitez intervenir ?


samedi 14 novembre 2015

Sévérité et humanité - La fessée à la brosse


Rien ne vaut la brosse pour une vraie punition ou une fessée disciplinaire.

Choisissez-la de  préférence en bois, moins sonore mais plus cuisante. Même avec une fautive habituée à de solides fessées, même entre les mains d'une fesseuse peu vigoureuse, la brosse en bois est un instrument redoutable qui inspirera toujours crainte et respect à ja jeune fautive dont vous avez la charge.

Grace à la brosse elle aura le bonheur de se sentir réellement punie et à votre entière merci. Elle sentira pleinement votre pouvoir, ce qui favorisera sa contrition et son humilité.

Je pense néanmoins qu'une fessée, en particulier à la brosse, ne doit jamais être excessivement sévère, même pour les fautes les plus graves. La fermeté est nécessaire, parfois même la sévérité, mais il faut toujours faire preuve de bonté et d'humanité en matière de châtiment corporels, comme pour le reste.


Ainsi, grâce à la peine infligée par la brosse à cheveux méthodiquement appliquée sur son derrière dénudé, la jeune fautive se sentira parfaitement punie. En même temps, consciente de votre clémence et de votre retenue dans la punition, elle débordera de reconnaissance. Sa contrition sincère et l'expression de ses regrets en sera facilitée.

Pour cela, n'hésitez pas non plus à faire des pauses dans la fessée, en particulier lorsque vous sentez qu'elle a vraiment du mal. Vous la sermonnerez alors avec douceur, lui rappelant que vous l'aimez mais que sa faute doit être punie.



Pour être bénéfique il convient également que la fessée soit au moins acceptée, voire réclamée. Je pense d'ailleurs qu'une attirance, de type sexuelle, pour la fessée n'est nullement préjudiciable à l'efficacité d'une fessée disciplinaire. Ayant conscience de sa faute et du sérieux de la punition, la jeune fille fera parfaitement la différence avec une fessée plus sensuelle ou ludique. La correction soulagera sa culpabilité et l'aidera à repartir sur de meilleures bases dans la vie. Même si c'est un moment difficile, n'ayez pas peur de lui faire du bien. C'est votre rôle et votre devoir.


Bonnes fessées à tous et à toutes



mercredi 4 novembre 2015

Besoin de confession et d'expiation ? Candidate ?

Bonjour Mademoiselle,

Vous sentez parfois qu'une fessée vous soulagerait, et vous aiderait à repartir, plus légère, dans la vie.

Je vous propose, après avoir lu puis entendu votre confession, de vous administrer la fessée disciplinaire ou punitive dont vous avez besoin.

La jeune cinquantaine, sain et discret, respectueux et n'aimant pas la vulgarité, je vous reçois ou me déplace en région parisienne.

Je suis humain, mais sais être sévère. J'administre de vraies fessées, cuisantes, mais respecterai vos limites, y compris en matière de pudeur.

Osez vivre cette belle expérience. La balle est maintenant entre vos mains.
A vous lire. Bien cordialement

Olivier











vendredi 5 juillet 2013

Recalée au baccalauréat !

Maman... je n'ai pas mon bac.

En effet, je l'ai appris.

C'est entièrement de ma faute, je n'ai quasiment rien fichu de l'année.

Cela aussi je le sais. Ce n'est pourtant pas faute de t'avoir prévenue et avertie maint et maint fois.

Oui Maman... je te demande pardon.

C'est bien de reconnaître sa faute, de demander pardon. Mais tu te doutes bien que tu ne vas pas t'en tirer seulement comme cela. Il est absolument hors de question que cela se reproduise l'année prochaine. Je vais donc te marquer à la culotte et employer la manière forte, que tu m'avais convaincue d'abandonner il y a trois ans en me promettant de devenir sérieuse et responsable. Ce qui n'a pas été tout à fait le cas. 

Je vais bien travailler l'année prochaine, je te le promet Maman.

Oh ça oui, fais moi confiance ! Nous allons dès ce soir remettre à  l'honneur les méthodes éducatives traditionnelles, qui marchaient auparavant très bien avec toi. Tu ne me laisses pas le choix Christine.

Oh Maman, non !

Oh si Christine ! Pour l'instant j'ai un conseil d'administration à préparer, qui devrait se terminer vers 20h. Mais après le dîner, avant de te coucher, nous aurons à notre tour notre petite réunion de crise. Je te promet une fessée déculottée magistrale que tu n'est pas prête d'oublier. Prépare bien tes fesses, car cela va chauffer.

Maman je t'en supplie, pas la fessée !

Oh si ma fille ! Tu en as vraiment besoin d'une bonne fessée, et tu l'as amplement méritée. Tu sais que mes promesses sont toujours tenues.  Malgré ton échec, et bien que tu te sois largement moqué de moi cette année,  je te pardonne et je t'aime. Tu es ma fille. C'est pour cela que  t'administrer ce soir une fessée exemplaire. Et pour l'année qui vient je te suivrai très attentivement, et je te promet de belles déculottées et des fesses toutes rouges si le travail et les résultats ne sont pas à la hauteur de mes attentes, qui seront élevées. Allez va maintenant, repose-toi, prend-toi un bain et essaye de te détendre un peu. Je t'aime ma fille.

Moi aussi Maman. D'accord, à tout à l'heure.

A tout à l'heure ma chérie.







mardi 18 juin 2013

"Génie féminin" et tradition raisonnée

"Aussi loin qu'ait été portée la défense des droits de la femme en Tunisie, elle s'est toujours accommodée, par l'intelligence des valeurs domestiques, d'un conservatisme qui paradoxalement consolidait le socle sur lequel les piliers de l'émancipation s'érigeaient. En Tunisie, les femmes ont tourné, et non brisé, les traditions, de telle sorte que celles-ci se sont maintenues dans le paysage moral, comme une galerie de vieux portraits dans les manoirs anglais, pour rappeler à leurs descendants la noblesse d'un passé sans lequel l'esprit anglais aurait perdu son charme. Ainsi en est-il des femmes tunisiennes qui, jusqu'à la vague islamiste, avaient conservé, dans leurs libertés avancées, sur le plan sexuel et professionnel, l'humour voluptueux de ne pas rompre avec l'imaginaire de leurs aïeules, et de l'accommoder à leurs désirs nouveaux avec tout ce qu'il faut de science ludique pour transgresser la tradition, sans jamais avoir l'air de la trahir.



Mais voilà qu'un phénomène a surgi qui a introduit un arrêt brutal dans ce subtil équilibre entre transmission et liberté, c'est l'islamisme. Tout à coup, des femmes, en ballots industriels, enseignées par des doctrines sectaires en rupture avec la Tradition, ont commencé ce terrible travail de déracinement du trésor artistique, musical, poétique du passé. Elles ont appliqué sur les fresques enluminées de notre mémoire, sur les merveilleux corsages charnels de nos parentes, sur les chevelures gonflées de grâces accomplies, une ombre épaisse de messe noire. Elles ont tiré un rideau de fer froid sur les formes et les couleurs, elles ont fermé les visages et les corps sous des cuirasses forgées dans la laideur d'un cachot médiéval.



Peu à peu, elles ont ruiné les récits du passé, les contes d'amour, le métier patient de l'histoire que d'inventives artisanes ont brodé pour leurs descendantes, et elles ont brisé le vase délicat du souvenir et du rêve. Elles ont enseveli la femme traditionnelle, cet être plein de fantaisie et de verve, d'intelligence et de bonté, de séduction et de vivacité, sous le masque éteint d'une Gorgone qui dispute aux hommes un faciès de barbon et de grisaille virile, pour la promotion d'un troisième sexe improbable travesti d'étouffoirs.


Cette aberrante trahison du génie féminin transmis par l'islam lui-même, ce supplice contre-nature qui tue la sensation avant qu'elle ne naisse, durcit le cœur avant qu'il ne batte, ferme l'intelligence avant qu'elle ne s'éveille, pourquoi voulez-vous qu'une jeune fille sensible, généreuse, intelligente les supporte ? Quelle femme libre les supporte ? Ce verrou d'oubli et d'ignorance, comment une créature éclatante de vie et d'énergie, ayant bu à la sève de la révolution le philtre puissant de sa chrysalide en bouton, ne le ferait-elle pas craquer, et de ces murailles cousues ne ferait-elle pas jaillir le galbe nu de sa peau incarnée ? Quel dieu en serait offensé ?"

Hélé Beji, "Amina, l'histoire en marche" (extrait),  Le Monde du 16/06/2013



mardi 12 mars 2013

Sensuelle humilité

LE SYNDROME DE L'ECOLE DES FEMMES


Nombre de personnes sont rêtives à la fessée, perçue comme une activité humiliante et dégradante, voire infantilisante.


Il est certain que quand l'on reçoit une fessée, on recherche une certaine honte, on prend plaisir à être vulnérable, soumise, à la merci de son partenaire (en qui l'on a confiance). Je ne crois pas, même si l'on joue à la petite ou à la jeune fille, qu'il s'agisse vraiment de retrouver les émotions de l'enfance. Mais il s'agit assurément d'un plaisir régressif (et transgressif : on ne s'en vante pas en société à visage découvert, car l'on risquerait alors, pour le coup, l'humiliation, la vraie).


Les hommes normaux n'aiment pas faire souffrir les femmes, physiquement ou moralement. Même si l'on souhaite bien sûr avoir un petit ascendant sur elles (on ne se refait pas !), on les souhaite adultes, intelligentes, responsables.






Mais il y a, au moins pour certains d'entre nous, ce que j'appelle le "syndrome de L'École des femmes". On aime aussi (ou l'on voudrait) que notre lionne sache à l'occasion se transformer en une petite Agnès, se montrer douce et fragile, mignonne et docile, sage et innocente (tout en la souhaitant, au fond, un peu coquine en même temps !)... reconnaissant humblement (nous y revoilà) sa "faute", acceptant pour cela d'être "punie" par une "autorité masculine" (mari, ou autre "protecteur"). Même en présence d'un motif plus ou moins réel ou fallacieux, la fessée est une jeu où l'on cherche à vivre cela (l'homme comme la femme dans le cas idéal).






Pourquoi ? Rassurant sans doute, à l'heure où l'homme est largement descendu de son piédestal passé. Emouvant, correspondant à l'instinct de protection que nous ressentons parfois envers les femmes aimées. Et tout simplement puissamment érotique.


Il ne s'agit pas réellement de domination, de soumission, d'humiliation. La faiblesse de la femme n'en est pas une. L'autorité, le "droit de correction", n'existent que si la femme les donnent. C'est un art de vivre, une complicité, une "étiquette" conjugale et amoureuse, utilisée le temps d'un jeu ou de manière plus permanente, pour le bonheur des deux partenaires.

Ce type d'harmonie et de complicité peut d'autant se développer (sans que la femme se sente humiliée et l'homme coupable ou lâche) que notre société valorise maintenant, et à juste titre, les valeurs dites féminines (qui ont pu être autrefois dévalorisées, cf. Bourdieu).


Il est si agréable de vous voir rougir de confusion, et de vous rougir les fesses (l'un étant le rappel ou l'anticipation de l'autre, et vice-versa !).






Et il y aurait encore à redire sur le symbolisme des couleurs. Le blanc (de vos sous-vêtement) symbole de vertu (émouvante, rassurante, nécessaire). Le rouge, symbole de la faute : prises "en faute" vous rougissez, puis la faute est effacée par la fessée, vous en ressortez purifiées (le blanc de votre culotte revient alors couvrir votre fessier rougi). Et avec qui accepte-t-on le mieux de reconnaitre nos fautes, de dévoiler nos faiblesses, d'abandonner notre carapace, d'être nu(e) (au figuré) : soit avec des inconnus (rencontrés via ou sur internet), soit avec la personne aimée. 






Besoin sinon regressif, au moins désir d'être aimé(e) ou apprécié(e) pour ou malgré ce que l'on est, pas seulement pour l'image que l'on s'efforce de donner en public.



jeudi 7 mars 2013

Punies... mais heureuses !


"Je hais l'humiliation, (mais) je veux bien avoir honte...
Même s'il s'agit d'une "punition", j'aime que la menace puis la promesse soit l'occasion d'un dialogue"
Le Rouge aux Joues



"La fessée est un jeu dans notre couple, elle fait partie de notre intimité. Et comme le dit si bien Le rouge aux joues, même si c'est une punition elle est toujours précédée d'un échange, de moments particuliers qui nous amusent tous les deux. Elle reste pour moi un acte de complicité énorme, de tendresse, d'amour..."
Cérès



"Même si une fessée fait mal, elle répond à un fantasme, donc elle est une source de plaisir. Pour ce qui concerne la gestion de conflits, je partage l'idée que la fessée peut avoir des vertus thérapeutiques dans certains cas. Une bonne manière de transformer par la notion de punition un souci en plaisir, justement, de faire table rase et de repartir sur un bon pied. Ce type de rapport, légèrement enfantin soit, ne me choque pas, même au quotidien."
Tessa


vendredi 1 mars 2013

Les bienfaits de la fessée

Une cérémonie de réconciliation


Tout d'abord, la fessée ne doit pas être un moyen de rétorsion ( se venger) ni même de pression (obtenir quelque chose par la contrainte). Entre adultes libres, chaque partenaire doit pouvoir à tout moment dire "non", "stop" ou "pouce"; sans que l'autre se sente trahi ou bafoué. Ceci est valable même au sein d'un couple stable admettant un certain "ordre" ( c'est à dire différenciation sexuelle des rôles, droits et devoirs).

Cela étant dit, la fessée sera généralement donnée, au moins officiellement, en punition ou correction d'une faute.





La punition en elle même peut être très bénéfique : rachat de la coupable, caractère rédempteur de la souffrance (légère, sans danger ni séquelle) et de la soumission. Le fait d'avoir subi la punition, codifiée et ritualisée, sera un soulagement moral pour la fautive, atténuant son sentiment de culpabilité.



La notion de correction est également intéressante. Il ne s'agit pas de dressage, mais d'aider la femme à prendre conscience de sa faute (ou de son manquement à la règle), à la regretter, et à s'amender (s'améliorer). Elle est donc bénéfique pour sa vertu, son bonheur, et l'harmonie du couple.



Mais le fessée sera en fait surtout une sorte de réparation ; réparation offerte au partenaire déçu, trahi, blessé ; un moyen de se faire pleinement pardonner. Non qu'il ne puisse y avoir de pardon sans punition préalable - ce qui serait triste et inquiétant pour le couple - mais un moyen d'agiter le drapeau blanc pour faciliter la réconciliation.



Néanmoins l'acceptation de la punition promise et donnée, la soumission à cette fessée reçue, est un gage, sinon du regret de la faute et de sincérité de la demande de pardon, au moins de la volonté de rassurer et de réconforter le partenaire offensé.



Qu’importe au fonds qui a tord ou qui a raison.

En entreprenant de fesser sa partenaire, l’homme lui signale que les bornes ont été franchies, qu’il est blessé, que la relation ne doit pas se dégrader plus.

En se soumettant, en acceptant ainsi de baisser les armes et de s’abandonner, la femme lui répond que, quels que soient les tords (des deux côtés), les mots prononcés ou les actes commis, elle tient à la relation, elle aime et respecte son compagnon.



Donnée ou reçue, la fessée devient alors un acte et une preuve d’amour, signalant que l'on aime, que l'on ne souhaite pas faire mal. La fessée devient alors un moyen de communication et de réconciliation.



Dépassant la punition, la correction et la réparation, la fessée vient alors sceller la confiance et l'amour retrouvés, devenant en fait une cérémonie de réconciliation.

jeudi 21 février 2013

Soumise, pourquoi ?

"On ne nait pas femme, on le devient"


La justification morale de la soumission de la femme envers son mari ne doit pas être recherchée du côté d'une quelconque, et bien hypothétique, supériorité masculine.


A l'inverse paradoxalement, si l'on admet le postulat d'une certaine supériorité morale féminine, le principe de l'autorité maritale se justifie alors.


En effet, si la bienséance ne le réprouvait pas, la femme, par hypothèse moralement supérieure à son mari, pourrait être amenée à le dominer. Beaucoup d'hommes le vivraient mal. Et les femmes elles-même le souhaitent-elles ?


Plus fondamentalement, de nombreuses qualités sont généralement considérées comme typiquement féminines : délicatesse, attention aux autres, dévouement, grâce, pudeur, etc. Ces qualités, ces vertus, sont perçues comme trop rares, et pourtant nécessaires à l'épanouissement de l'humanité. Pourquoi sont-elles plus souvent féminines que masculines ?


Sauf à croire qu'il s'agit de données exclusivement biologiques, on peut raisonnablement supposer que la plus forte propension des femmes à développer ces qualités est également le résultat de siècles d'éducation différenciée.


Outre leur injustice fondamentale ces contraintes exercées sur les femmes étaient souvent excessives. Néanmoins, elles ont eu pour effet positif de conduire les femmes à porter un certain regard sur les êtres et la vie.

Aujourd'hui que l'égalité juridique est assurée entre les hommes et les femmes, sachons ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain.


Alors s'il vous plait d'être soumise, à un certain point, n'en ayez pas honte. Bien au contraire, soyez en fière.




"He considers you special and special girls give of their best, pay attention to the detail, and are obedient. Special girls are not dishonest and special girls pay attention to the needs of their dominant. Special girls can fly high, just like Dumbo. They are lovable, loving, loved.
Special girls walk proud, and are happy, confident that they are the lucky ones. Their containment is their piece of paradise, and they don’t think to leave the confines of paradise, for why should they? There is no better place to be."
Vesta


d'autres analyses intéressantes de Vesta :
The sun and the moon
Force



lundi 11 février 2013

Recherche demoiselle à prendre en main

Toutes ces jolies photos, ces témoignages craquants, et personne sous la main. La vie est trop cruelle !

Y aurait-il une "demoiselle" qui aimerait découvrir la fessée sous ma main ? Coquine désirant vivre cette expérience troublante ; jeune femme souhaitant purger un sentiment de culpabilité en recevant une bonne fessée ; ou une demoiselle romantique, nostalgique d'une époque révolue où les rôles masculin et féminin étaient simples et clairs...


Me contacter :
olivier_meudon@yahoo.fr

vendredi 8 février 2013

Jeu de jupes



C'est une nouvelle qui met le petit monde du handball féminin en émoi. Les présidents des clubs réfléchissent à imposer aux joueuses le port de la jupe sur les terrains. "C'est seulement une piste de réflexion. Nous devons réfléchir aux moyens d'améliorer la visibilité du handball féminin. S'il est prouvé que le port de la jupe peut être bénéfique, je pense qu'une majorité peut se dégager pour cela",explique Jean-Marie Sifre, qui dirige l'Union des présidents de club de la Ligue féminine. Le projet, sitôt connu, a trouvé ses contempteurs. La joueuse de Dijon Lea Terzi juge que cette idée "rabaisse les joueuses à leur physique". Dans un post publié sur le site nouvelobs.com, la journaliste Fabienne Broucaret et la sociologue Béatrice Barbusse, ex-dirigeante du club de handball (masculin) de l'US Ivry, appellent à ne "pas céder aux sirènes du marketing" et "aux arguments sexistes d'un autre temps".

L'idée, de fait, n'est pas neuve. Le Metz HB, actuellement en tête du championnat de France, a franchi le pas voici deux ans. D'autres sports s'y sont déjà essayés. La Fédération internationale de badminton a rendu la jupe obligatoire en 2011 avant de devoir reculer face aux protestations. Une décision qui s'appuyait sur une étude du cabinet de marketing Octagon, qui concluait à l'importance, dans l'équation commerciale gagnante du tennis féminin, de la fameuse jupette. Les patrons du badminton avaient cependant oublié que le port de la jupe sur les courts est coutumier, mais pas obligatoire. En 2007, la Française Tatiana Golovin avait fait scandale en portant un short rouge, sous sa jupette, à Wimbledon. Mais l'année suivante, la Russe Maria Sharapova n'avait pas hésité à enfoncer le clou en venant sur le Central avec un simple short blanc. Les dirigeants du handball féminin ont-ils retenu la leçon ? "Il n'est pas question de rendre la jupe obligatoire. C'est impossible juridiquement. Mais si tous les présidents de clubs équipent leurs joueuses de jupes, il peut y avoir un championnat en jupe", précise benoîtement Jean-Marie Sifre. Il n'est pas question, pour l'heure, d'imposer le kilt aux garçons.


Par Pierre Jaxel-Truer - M le magazine du Monde | 

mercredi 18 janvier 2012

Se sentir fille... en jupe

LES JUPES QUI TOURNENT...
(... font - elles tourner la tête des garçons?)



Le soleil se lève, moi aussi je me réveille, et alors je réalise, merveilleux, c’est l’été. Vous avez dû vous aussi faire cette découverte fabuleuse, qu’est profiter de la vie : l’été, les copains, la fête et tout le tralala. Quand vient l’été on a envie de vivre, et plus encore lorsque l’on est dans l’attente de résultats d’exams, ou bien déjà en vacances et alors on veut fêter tout ce bonheur, ou encore noyer de mauvais résultats dans l’ivresse de la fête.

Mais quand vient l’été se pose aussi une question cruciale (enfin pour les filles du moins) : comment est – ce que je vais m’habiller ? Certes vous avez dû remarquer que pour les mec, ou du moins une grande majorité d’entre eux, leur façon de s’habiller de change pas énormément selon les saisons. Mais pour les filles, toutes coquettes que nous sommes, c’est une autre histoire. Avec l’été s’ouvrent à nous de multiples possibilités. Il y a les robes, les débardeurs, les tuniques, les pantalons en lin, les pantacourts, les bikini, et… les jupes.


Invention fabuleuse qu’est la jupe. Pour ma part je crois en avoir toujours porté. Refusant obstinément de porter des shorts (je suis toujours aussi obstinée et je n’en porte toujours pas, et puis le mot même est laid « short ») il a bien fallu un substitut qui préserve ma condition féminine. Un short ne peut que laisser présager des chats perchés qui écorchent les jambes, une carrure de garçon, des randonnées en plein soleil, bref avec les shorts on se fait avoir, on n’est plus une vraie fille. Alors que les jupes…






Au départ il s’agit pourtant d’un vêtement aussi masculin, avec les pagnes puis plus tard le kilt. Mais il est désormais devenu l’apanage, et le privilège des filles. Paule je sais que tu rêves devant robes et jupes de créateurs, et sans aller jusque là, on peut passer des heures à chercher « la » jupe idéale, comme si notre vie en dépendait. Parfois les jupes, c’est comme la drogue, cela fascine mais l’on n’ose pas avouer qu’on en a (et pire ! qu’on en porte !) Et la jupe ne s’est pas toujours autorisée à être courte. Un vrai scandale que les collections de Dior qui ont osé dévoiler les jambes. Et c’était il y a à peine cinquante ans…


Certaines vous diraient que pour rien au monde elles n’en porteraient : elles n’aiment pas leurs jambes ou alors cela fait, justement, trop « fille ». Certes on a toutes eu nos passades « pas de jupes, seulement des pantalons ». Et puis une jupe c’est compliqué : il faut être épilée, mettre ses complexes à propos de ses mollets de côté.  Mais le mythe reste. Quel plaisir lorsqu’il fait chaud, de pouvoir en toute impunité profiter du moindre rayon de soleil sur nos gambettes ou, encore mieux, du petit vent d’été !





Et avec une jupe on se sent une vraie fille, on se sent séduisante. On peut aussi se sentir redevenir une petite fille. En ce moment fleurissent partout des jupons, des mini – jupes, bref partout, sur les filles comme dans les magasins, sur les podiums et dans les magazines, partout, des jupes ! Et particulièrement, partout, des jupes qui tournent. Merveilleux.

Et me voilà, à bientôt dix–huit ans, à répéter à ma Maman que je veux une jupe, mais pas n’importe quoi, une jupe qui tourne. Et alors on se sent petite fille, comme lorsque dans la cour de récré de l’école maternelle les garçons nous couraient après pour regarder sous nos jupes. Et invariablement ils finissaient au coin, et nous on pouvait chouiner en tout impunité parce que, en piaillant « Madaaame il a regardé ma culotte ! » on s’était rétamées en mettant la sandale dans l’ourlet de ladite jupe.






Car d’ailleurs, ce qui nous plaît tant dans les jupes, n’est - ce pas que, justement, les garçons aient envie de regarder en dessous ? N’est - ce pas que, bien plus que le jean qui, dévoilant toutes les formes, ne laisse plus rien à suggérer, la jupe elle laisse courir l’imagination ? J’ignore d’ailleurs si les garçons préfèrent les jupes, mais rien que pour le bonheur des jupes qui tournent, vive l’été !

Nathalie, 18 ans