jeudi 2 août 2018

ACJF 22 - Enfin rassurées

Bonjour les filles,

"Nous recevons à nouveau le père Olivier, qui va nous faire un retour suite à la conférence à laquelle ont été conviés nos parents la semaine dernière. Père, je vous laisse la parole"

"Merci Valentine ! Bonsoir les filles !"


"Mes chères demoiselles, je suis très heureux de vous annoncer de très bonnes nouvelles.

Vos parents sont tous venus à la réunion à laquelle je les avais invités de votre part. Ils se sont montrés extrêmement intéressés et attentifs, et ont posé de nombreuses questions auxquelles j'ai tenté de répondre de mon mieux...


Et le petit buffet dinatoire qui a suivi a été l'occasion de discussions passionnées entre eux. Entre parents novices, mais aussi entre novices et expérimentés...


Je suis certain qu'ils auront à coeur de ne pas vous décevoir. 

J'espère que, de votre côté, vous ne le regretterez pas. Comme vous le savez la fessée n'est pas un moment agréable. C'est une expérience physiquement éprouvante, au cours de laquelle vous aurez alors une pleine conscience de cette partie de votre corps. J'espère que cette expérience vous sera spirituellement bénéfique.


Pour terminer, je voudrais inviter celles d'entre vous qui ne l'auraient pas encore fait, à écrire une lettre à leurs parents. Vous pourrez y expliquer les raisons de votre choix, vos attentes en matière de discipline, les limites que vous acceptez ou posez. Cette lettre peut également être l'occasion d'avouer, même sans les détailler, des fautes que vous auriez commises, et pour lesquelles vous ressentiriez le besoin d'être punies. Chacune de vous est unique et chaque lettre sera donc unique."



Pendant que le Père leur confiait ces réjouissantes nouvelles, les jeunes filles écoutaient, heureuses.

Certaines, parmi les novices, paraissaient en même temps comme médusées. 


Maintenant en effet, l'auraient-elles voulu, il était trop tard pour faire machine arrière. Leurs parents étaient au courant ; ils avaient compris et accepté ce nouveau rôle. Les vacances se rapprochaient à grands pas. Vendredi en quinze, elles reprendraient le chemin de la maison familiale. Elles n'avaient maintenant plus aucun doute sur ce qui les y attendait,


et l'inquiétude se lisait sur certains visages.


Une fois que leur aumônier eut pris congé, les jeunes filles restées entre elles tentèrent, en plaisantant, de se rassurer mutuellement.


Avec l'aide d'un verre de vin certaines esquissèrent même un pas de danse... comme pour oublier une autre danse qui les attendait bientôt !


( à suivre )




mercredi 1 août 2018

ACJF 21 - Conférence sur la fessée disciplinaire - 3ème partie : Application

Mesdames et Messieurs, ces principes de sauvegarde étant posées - respect des limites de la fautive en matière de pudeur et de douleur - comment appliquer une fessée disciplinaire réellement efficace ?



Afin d'être pleinement bénéfique, une fessée disciplinaire doit être donnée à un rythme soutenue, durer longtemps, être suffisamment sévère pour mener la fautive à une REDDITION COMPLETE : supplications, implorations de pardon, promesses de bonne conduite pour l'avenir.



C'est absolument essentiel. Même si la perspective leur fait peur, vos filles le savent et c'est ce qu'elles attendent de vous. Elle ne s'attendent pas à passer un moment agréable, mais que vous exerciez votre autorité sur elles avec une grande fermeté.


Pour durer longtemps tout en étant sévère, une fessée doit impérativement être PRO-GRES-SIVE. C'est le secret d'une fessée suffisamment longue et féconde. Une fessée ce ne sont pas quelques claques appliquées sous le coup de la colère. Une fessée doit être donnée avec calme et amour, avec progressivité mais à un rythme soutenu.



Pour porter tous ses fruits elle doit également être longue et sévère, afin de s'imprimer profondément dans la peau et l'esprit de la fautive.



Avant la fessée, il y aura toujours LE SERMON. Il n'a pas forcément besoin d'être long. Il s'agit de rappeler à la jeune fille en quoi elle s'est conduite de manière inappropriée, qu'elle a contrevenu aux règles fixées, que ce n'est pas admissible, qu'elle va être punie pour cela et que ses fesses vont lui cuire.


Cette étape aidera votre fille à entrer dans sa fessée avec les meilleures dispositions d'esprit, favorisant repentance et soumission.



La fessée proprement dite, sera généralement d'une durée de cinq à dix minutes. Je ne recommande pas de descendre sous les trois minutes, qui me semble le minimum, ni d'aller au-delà de quinze minutes.

Vous commencerez donc toujours la fessée sur la jupe ou la robe. Environ une minute ou un peu moins. C'est une étape qu'il vaut mieux respecter. En principe elles ne sera pas réellement douloureuse, mais cet échauffement leur permettra de mieux supporter ce qui suivra, et qui sera autrement plus difficile.


Lorsque vous saisirez l'ourlet de sa jupe ou de sa robe afin de la trousser, la jeune fille a parfois un moment de panique et laisse échapper les premières supplications.


Naturellement, vous n'en tiendrez pas compte. Pour être bénéfique il est essentiel qu'une fessée aille jusqu'à son terme. Vous pourrez la sermonner un peu à nouveau, lui rappeler qu'elle l'a méritée, qu'il est maintenant trop tard pour échapper à sa punition, qu'elle va vivre un moment difficile et qui lui semblera long, l'appelant à être digne et courageuse.


Au cours de cette fessée sur la culotte, qui durera approximativement entre une et cinq minutes, votre fille commencera à se tortiller et gémir, au fur et à mesure que ses fesses rougiront de plus en plus vivement.


Si vous sentez que votre fille n'en peut vraiment plus et que le point de reddition est proche, il est temps d'abréger et de passer plus vite à l'étape suivante.

Vous pourrez alors procéder au déculottage, moment craint entre tous par les jeunes filles. Dernier rempart de leur pudeur, dernier rempart entre leur peau et votre main ou la brosse, leur culotte va être baissée.


Elles sont majeures, intelligentes, parfois déjà travaillent et sont indépendantes. Mais à ce moment elle redeviennent comme des petites filles. Maitresses d'elle-mêmes en temps normal, elles ne sont à cet instant même plus maitresse de leur culotte. Ce moment extrêmement gênant est donc essentiel dans le processus de punition et de repentance.

La culotte baissée, vous pourrez entreprendre de lisser la coloration en vous concentrant particulièrement sur les parties auparavant protégées, avant de traiter à nouveau les zones plus périphériques.


Il importe de poursuivre la fessée jusqu'à ce que survienne cette reddition totale dont je vous parlais. Si elle tarde trop, vous ferez au besoin usage d'une brosse à cheveux en bois, apte à venir à bout des résistances les plus farouches. De même vous pourrez étendre la fessée sur la zone plus sensible du bas des fesses, en vous rapprochant, avec précaution, de la jonction avec les cuisses.


Ce moment de reddition totale est en effet cathartique pour les jeunes filles. Il est extrêmement difficile à atteindre sans le secours d'une fessée longue et sévère, telle que celle que vous leur administrerez.


Elles en ont absolument besoin pour se sentir réellement punie et leurs fautes pleinement expiées. C'est donc pour leur bien que vous les y mènerez.







mercredi 25 juillet 2018

ACJF 20 - Conférence sur la fessée disciplinaire - 2ème partie : les limites à respecter

Maintenant, chers parents, il convient de savoir comment donner la fessée. Quand ? Comment ? Quelle durée ? Quelle sévérité ? Et bien d'autres questions que je vous invite à me poser le cas échéant.



Tout d'abord, votre autorité est réelle mais n'est pas absolue : il convient de respecter les limites de vos filles. Elles y ont le droit et le méritent.

Tout d'abord leurs limites en matière de pudeur. La pudeur est une vertu essentielle chez les jeunes filles, et ne doit jamais être violée sans leur consentement.



Les vertus de la fessée traditionnelle, c'est à dire déculottée, ont été établies et reconnues. Certaines cependant  n'y sont pas encore prêtes.

Quelques-unes, rares, ne veulent même pas entendre parler d'être troussées. Même si la fessée peut perdre en efficacité, vous devez respecter cette limite.


Vous leur imposerez de porter un jupe ou une robe légère, et vous aiderez éventuellement d'une bonne brosse à cheveux en bois, assurance d'une fessée plus cuisante. C'est un instrument à acquérir absolument et qui vous sera d'une grande utilité. Que vous l'utilisiez effectivement ou comme simple menace il fera, je vous le garantis, le plus grand effet sur vos filles.



D'autres jeunes filles comprennent qu'il est essentiel d'être troussée, mais veulent absolument garder leur culotte, dernier rempart de leur pudeur outragée. Vous respecterez de même cette limite. Néanmoins vous veillerez à ce qu'elles ne portent pas de culotte trop épaisse ou trop couvrante, de sorte que la fessée reste parfaitement effective.



N'hésitez pas non plus à terminer la fessée à la brosse, en particulier vous Mesdames, qui avez généralement moins de force.



La plupart sont prêtes à assumer que, pour recevoir une bonne fessée avec le maximum de bénéfices, physiques et moraux, il importe de finir déculottée.



C'est certes extrêmement embarrassant pour une jeune fille majeure, mais c'est ainsi que fonctionne la fessée, par un mélange de douleur et d'humiliation, ou plutôt de soumission et d'acceptation de la punition.



Ensuite, il convient également de respecter leurs limites en matière de douleur, même si cela vous semble paradoxal.

Une fessée disciplinaire doit faire mal, c'est essentiel. Elles le savent, et l'acceptent pleinement. La perspective de recevoir une bonne fessée, voire une fessée exemplaire, doit provoquer une anxiété justifiée chez la jeune fautive.

Mais elle ne doit jamais devenir un acte de torture. Il importe donc de ne pas trop dépasser les limites du difficilement supportable par la jeune fille qui se livre à vous.



Tous ces principes liminaires, Messieurs, s'appliquent également aux maris avec leurs épouses. Le droit de correction dont ils disposent sur elles, doit toujours s'appliquer avec amour et humanité.


Comme l'a dit l'apôtre, la femme doit en toutes choses respecter son mari dans son rôle de chef, et le mari doit de son côté, en toutes circonstance "prendre soin" de sa femme, veiller sur elle, son confort et son bien-être

samedi 21 juillet 2018

ACJF 19 - Conférence sur la fessée disciplinaire - 1ère partie : Pourquoi ?

Mesdames, Messieurs, chers parents, Bonsoir,

Au nom de vos filles, je vous remercie d'être venus si nombreux. Demander à ses parents d'exercer leur autorité, y compris en administrant la fessée, est toujours une démarche difficile et embarrassante pour une jeune fille. Elles sont nombreuses à y penser sans oser sauter le pas. Vous pouvez donc être fiers de vos filles.



Pourquoi la fessée intéresse-t-elle tant, encore au 21ème siècle ? A notre époque où l'on parle surtout de libertés en tous domaines, y compris dans la vie sexuelle et amoureuse, d'égalité entre les genres, d'indépendance et d'épanouissement des femmes, d'épanouissement personnel. Toutes ces évolutions, légales et sociétales, élargissent à l'infini le champs des possibles. Est-ce pour autant que les jeunes filles veulent vivre sans cadre ? Assurément non.


Vos filles ne sont pas n'importe qui. Elle sont issues de familles leur ayant transmises de bonnes valeurs. Elle apprécie peut-être l'égalité, mais ne veulent en aucun cas de l'anarchie. Elles sont conscientes que leur liberté comporte aussi des devoirs. En premier lieu celui de se comporter en toutes circonstances de manière honorable, telle qu'il sied à une jeune fille, et de faire ainsi la fierté de ses parents et de sa famille.


Oui elles sont libres, et elles ne sont plus soumises à la surveillance qui était le lot de leurs aînées. Mais parfois elles ont des tentations qu'elles ne peuvent approuver totalement. Elles usent de cette liberté d'une manière qui ne leur parait, après coup, pas tout à fait conforme à la dignité dont elles auraient du faire preuve.


Elle en éprouvent des remords, regrettant parfois cette époque lointaine où elles étaient beaucoup plus tenues. Elles regrettent, un peu ou beaucoup, et parfois se confessent. Mais, en plus de la confession, elles souhaiteraient avoir à assumer des conséquences pour leurs actes.


Notre thème de réflexion sur l'autorité parentale a donc libéré la parole. Elles apprécient leur émancipation de jeunes filles modernes, et en même temps rêvent de tradition et souhaiteraient souvent plus d'encadrement. Elles apprécie la complicité avec vous, leurs parents, mais en même temps rêvent de parents, et plus tard de maris, plus jupitériens. Elles attendent que vous incarniez l'autorité, y compris en posant des limites, et quand c'est nécessaire en les punissant.


A cet égard la fessée est un outil irremplaçable, et en outre une bonne préparation pour le mariage. Il s'agit d'une méthode corrective rapide et éclatante, incitant à la modestie et l'humilité, apte à amener rapidement la jeune fille la plus fière à une reddition et une repentance complète, claire et sans ambiguïté. Elles en ont besoin et le savent.




samedi 7 juillet 2018

ACJF 18 - Convocation des parents

Mesdames et Messieurs, chers parents,

A l'initiative de votre fille, qui m'a demandé d'effectuer cette démarche, je vous invite à assister prochainement, dans deux semaines, à une conférence-débat que j'aurai l'honneur et le plaisir d'animer.

A la dernière rentrée de septembre, vos filles ont choisi pour cette année leur thème de réflexion : l'AUTORITÉ PARENTALE.



Rassurez-vous, le principe ne fait nullement débat pour elles. C'est à leurs yeux une règle naturelle et parfaitement acceptée. Règle devant régir, tant qu'elles ne sont pas mariées, leurs relations avec leur parents, ainsi que la responsabilité de ces derniers.

Le débat a été plus vif, et au départ moins consensuel, sur les conséquences et les modalités pratiques d'exercice de cette autorité.

Certaines jeunes filles, peut-être la votre, ont reconnu devant leurs camarades qu'elles recevaient - encore, à nouveau, ou maintenant - LA FESSÉE.


Grâce aux témoignages de ces camarades, à leurs retours d'expérience, et à la réflexion de chacune, un consensus s'est finalement formé sur l'utilité et les bénéfices de cette méthode disciplinaire. Aujourd'hui, elles souhaitent toutes en bénéficier.

Pour ce, elles comptent naturellement en premier lieu sur vous, leurs parents.

Certes, sur le modèle de nombre de ses homologues d'Europe et des autres continents, l'Eglise de France a institué le Service Interdiocésain de la Pénitence (SIP, cf ACJF 16, sous l'éminente direction spirituelle et méthodologique de Monseigneur YVONA) dont je suis également responsable pour la région parisienne. A ce titre j'administre des fessées à des femmes, jeunes et moins jeunes, de tous statuts (célibataires, mariées...). Néanmoins, la fessée devrait rester, chaque fois qu'il est possible, dans la sphère familiale. C'est en premier lieu une responsabilité des père et mère, et ensuite celle du mari.

A ce titre votre fille vous a peut-être déjà parlé ou adressé une lettre, comme elle y a été invitée par ses responsables d'aumônerie, à moins que vous ne découvriez la chose à travers la présente invitation.

Vous êtes peut-être perplexes, voir désarçonnés, par cette demande, plus fréquente que l'on ne croit mais toujours inattendue.

Cette requête de votre fille pose en effet de nombreuses questions, parfois délicates à aborder :

Pourquoi la fessée ?
Pour quels motifs la fessée dit-elle être donnée ?
Quand procéder ? A votre initiative ou à la demande de votre fille ?
Comment procéder pour cette fessée : avant, pendant et après ?
Quelle durée, quel rythme, quelle sévérité pour la fessée de votre fille ?
Votre fille doit-elle être troussée, déculottée ?

Bref, comment administrer à votre fille les bonnes fessées disciplinaires dont elle a ou aura besoin.

Cette conférence-débat tentera d'apporter quelques réponses.

Découvrir la fessée, ou pour d'autres la redécouvrir, est une étape importante dans la vie de jeune fille de votre enfant.
Elle compte sur vous. Ne la décevez pas.

Votre bien dévoué

Père Olivier


dimanche 8 avril 2018

ACJF 17 - Fiche de contact (Service Interdiocésain de la Pénitence)

De nombreuses jeunes mains se tendirent avidement pour saisir le précieux formulaire, qui fut ensuite consciencieusement rempli avec un soin appliqué.


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Madame / Mademoiselle / autre : 
Nom :
Prénom :
Adresse :

Téléphone :
Courriel :

Je souhaite être préalablement contactée par :
  • un prêtre, afin de me confesser :
  • une sœur, afin d’être conseillée :

Afin de recevoir la discipline je souhaite être orientée vers :
  • un punisseur :
  • une punitrice :
  • autre (mes parents, etc) ou précision :

Je souhaite que mes parents (ou la personne désignée) soient invités à 
- une réunion collective d’information :
- un rendez-vous personnalisé :
Nom et téléphone de la personne à contacter :


Autres préférences ou informations utiles :


(en cas de manque de place, vous pouvez écrire au verso ou joindre une note)

Contactez-moi de préférence par téléphone / mail 
aux jours et heures suivantes :


À remettre à votre responsable d’aumônerie ou votre confesseur.euse
ou à renvoyer directement au :
SIP (Service Interdiocésain de la Pénitence)
Centre Oecuménique Jacques Serguine
Square Jean XXXIII
75001 PARIS