dimanche 18 mars 2018

ACJF (14) - Conférence du Père Olivier (1ère partie)


Bonsoir Mesdemoiselles,

Je tiens tout d'abord à vous féliciter sincèrement, et à vous faire part de mon émotion et mon admiration.

Vos animatrices m'ont fait une synthèse de vos débats depuis la rentrée de septembre. Ils sont de haute tenue et extrêmement réconfortants. Vous démontrez avec éclat, Mesdemoiselles, que pouvez être à la fois des jeunes filles modernes, des étudiantes sérieuses ou des professionnelles consciencieuses, ayant l'ambition de réussir votre vie sous tous ses aspects, y compris professionnel, tout en restant des femmes vertueuses et de bonnes chrétiennes, fermement attachées aux valeurs et enseignements de l'Eglise.



Au delà de la légitimité et des bienfaits du combat et des conquêtes féministes, qui ont apporté aux femmes l'égalité des droits, une liberté et un respect inégalés, vous êtes conscientes, Mesdemoiselles, que la liberté doit être encadrée par des devoirs, auxquelles vous êtes très attachées.



Parmi ces valeurs figure une organisation traditionnelle et hiérarchique de la famille, dans laquelle les pères et mères de famille ont autorité sur leurs enfants, autorité qui ne s'efface pas d'un coup, ceci encore plus pour les filles, lorsque celles-ci atteignent l'âge de 18 ans, la majorité légale.



Comme vous le savez, ce n'est que par le mariage (ou à minima la vie commune) que vous échapperez à l'autorité de vos parents, à qui vous devrez néanmoins toujours le respect.


Vous passerez alors sous l'autorité de votre conjoint, qui doit être bienveillante et s'exercer pour le bénéfice du couple et de la famille, et non de manière égoïste ou capricieuse. L'égalité juridique que vous accorde le droit positif, Mesdemoiselles, ne vous libère pas de ce devoir de respect de l'autorité de votre mari, chef de famille instauré par la loi naturelle et le dessein divin.




Parmi ces valeurs figure également la chasteté. La chasteté s'adresse à tous, hommes et femmes, célibataires et époux. La chasteté ne se confond pas avec la virginité, et encore moins la pudibonderie. Mais elle implique la pudeur, une certaine tenue et retenue, le respect de soi et des autres.


Sur ce plan, historiquement et traditionnellement, la société est nettement plus exigeante envers les femmes et les jeunes filles. Les sociologues appelle cela le "double standard". Cela vous semble parfois peut-être injuste ; mais c'est ainsi. Il faut en être conscientes et s'y soumettre. L'accepter et,  avec la souplesse que permet notre monde et notre époque, et s'efforcer de le respecter.




En ce domaine les prescriptions et les attentes ne sont plus aussi strictes que par le passé ;  les fautes et les manquements sont moins lourdement sanctionnés ; mais le cadre s'imposant aux femmes n'ont pas fondamentalement changé.



Certes il n'est pas toujours aisé de concilier votre liberté avec la tradition. L'Eglise, par l'intermédiaire de ses pasteurs d'hier comme d'aujourd'hui, édicte des prescriptions ou recommandations, des commandements ou des interdictions. Mais nous ne sommes pas des anges, mais des êtres de chair et de sang.


Au final c'est la conscience individuelle de chacune, compte tenu également des contingences de la vie, qui prime et dirige vos actes et votre vie.



Les inévitables transgressions peuvent donc, et c'est salutaire, entrainer un sentiment de faute et de culpabilité. La honte, ces remords, peuvent être légers, ou plus lourds à porter.


( fin de la première partie )

dimanche 4 mars 2018

ACJF (13) - Une préparation au mariage (suite)

Virginie poursuivie :

"... Cela implique parfois, lorsqu'elle le mérite, ou qu'il sent qu'elle en a besoin, de la punir. 



"Personnellement, et compte tenu de l'intimité qui règne entre eux, je pense que le moyen le plus simple, le plus efficace et le plus naturel qu'ait un mari de punir sa femme est de lui donner la fessée. A condition qu'il ne le fasse pas trop durement, et certainement pas brutalement."



Je crois que, en tant que femme, une certaine soumission nous est naturelle lorsque nous nous sentons en confiance. Dans ces conditions, je crois que la fessée est un penchant naturel chez nombre d'entre nous. Recevoir une bonne fessée, même si sur le moment cela fait mal et on aimerairait y échapper, c'est au fond une situation rassurante et qui nous fait du bien."



"Si cela a été préalablement discuté entre eu et qu'elle a donné son accord il ne s'agit pas de violence conjugale, mais au contraire d'une des facettes de l'amour conjugal, et de la protection que l'homme doit à la femme qui s'est donnée à lui."




lundi 19 février 2018

ACJF (12) - Une préparation au mariage (1)


Aurélie leva alors la main, et expliqua son cas :

"Je comprend tout à fait Catherine. Mon fiancé m'a fait découvrir la fessée érotique, à une époque où je n'étais pas prête à passer... aux choses plus sérieuses.



Nous l'avons intégrée dans nos moments et pratiques intimes, avant même que je me donne pleinement à lui."



"En même temps, il lui est arrivé, par deux fois, de me fesser à titre de punition. Et je peux vous assurer que les ai alors reçues comme telle !



"Bon, je vous mentirais en niant avoir ressenti un peu d'excitation. Mais nous savions et sentions tous les deux, qu'à ces moments j'étais punie."



"Il y avait eu fautes, et la fessée en était l'expiation attendue, par lui comme par moi. Il a su faire preuve d'autorité, et c'est aussi ce que j'attend de mon futur mari. Notre projet est sérieux et nous devons intégrer nos places respectives."



Virginie ne put se retenir : "Mais c'est complètement macho tout ça ! Hou les filles ! Me dites pas que vous êtes d'accord avec ça !"



Aurélie répliqua fermement : "Non ! J'adhère pleinement à l'égalité de droits et de dignité entre l'homme et la femme. Mais dans un couple marié, il faut maintenir une certaine différence d'autorité entre l'homme et la femme. Rappelle toi que la Bible nous recommande d'être soumises à nos maris, et ceci en toutes choses..."



"... L'homme doit certes choyer et respecter sa femme. Mais il doit aussi parfois savoir la cadrer, et ne pas craindre d'exercer toutes ses responsabilités de chef de famille."



mercredi 14 février 2018

ACJF (11) - Et si nous trouvons la fessée... érotique ?

Catherine lève alors la main et intervient :

"Cette discussion m'intéresse beaucoup. Mais pour ma part j'ai un problème. Ou plutôt, à vrai dire, je n'ai pas de problème avec la fessée. J'espère que je ne vous choquerai pas, et que vous ne me jugerez pas mal. Voilà, en fait, l'idée de recevoir la fessée m'excite terriblement."


De nombreux yeux brillent, et quelques jeunes filles rougissent dans la salle

"J'aime imaginer que je la reçois. Quand je suis seule à la maison, je me met parfois en position, comme si je recevais une fessée. Je trouve cela infiniment troublant."





"Et parfois, il m'arrive de me fesser moi-même. Avec ma brosse à cheveux pour plus de réalisme."



"Dans ces conditions, comment imaginer que la fessée puisse, pour moi, être une punition ? Qui me permettrait d'expier mes fautes et de m'améliorer ? "



Ségolène : "Effectivement, je n'avais pas pensé à cela !"

Le silence régnant, Valentine tenta de relancer le débat :

"Je te remercie Catherine, pour ce témoignage et cette question extrêmement intéressante et que je n'avais pas anticipée.
Est-ce que d'autres personnes ici ressentent la même ambivalence au sujet de la fessée ? "



Quelques doigt se lèvent timidement. Mais aucune jeune fille n'ose prendre la parole.

Valentine reprend :

"Même si nous pensons qu'elle doit être canalisée et régulée, la sexualité est une chose naturelle et saine. Après tout, c'est ainsi que Dieu nous a créés, hommes comme femmes.


Est-ce que certaines parmi vous seraient parvenues à concilier cette ambivalence au sujet de la fessée. ? Entre d'un côté une pratique ou une pensée érotique, ce que nous pouvons tout à fait concevoir ;



et d'autre part ce qu'elle doit également rester, un outil d'autorité et une punition effective et efficace ? "










dimanche 4 février 2018

ACJF (10) - Tomber la culotte ?

Prenant son courage à deux mains, Susène se lance, légèrement rougissante :

" J'avoue être assez troublée par ces échanges. J'éprouve parfois un sentiment de culpabilité devant certains de mes actes. A vous entendre, la fessée parentale pourrait être un excellent moyen de purger cette culpabilité, et pourquoi pas d'être reprises en main et mieux encadrée.



L'idée me séduit tout à fait, mais je ne suis toutefois pas certaine d'être prête, aujourd'hui, à franchir le pas. Je suis très pudique et il est donc hors de question que ce soit mon père qui me fesse. Même avec ma mère je crois que je serais extrêmement gênée de devoir lui montrer ma culotte. Alors l'idée d'être déculottée m'effraye totalement ! Est-ce vraiment obligatoire ? "



" Rien n'est obligatoire, Susène" lui répondit doucement Alix, "mais tout est bénéfique",

" Si déjà tu respectes l'autorité de tes parents, sans recevoir la fessée, c'est très bien et cela t'apportera beaucoup."



"Si tu acceptes seulement de recevoir la fessée sur ta jupe, mais sans être troussée, c'est encore un plus, dont tu bénéficieras."



"Si tu acceptes d'être troussée et fessée sur ta culotte, tu fais encore un magnifique pas en avant, qui t'apportera énormément."



Mais à mon sens, bien sûr, une fessée doit normalement être déculottée. Même si je n'en suis pas à ma première fessée, le déculottage reste toujours pour moi un instant magique.



"A chacun de ces stades, Susène, tu éprouveras bien sûr une gêne supplémentaire. Mais la fessée te seras aussi plus bénéfique. Rien n'est obligatoire et c'est à toi de faire le choix. Et d'évoluer dans ce choix si tu t'y sens prête. Est-ce que je t'ai rassurée ? "

"Oui" fit doucement Susène, souriant timidement.

A son tour Kim s'adressa à Susène :

"Susène, moi aussi j'ai eu du mal à sauter le pas. La peur de la gêne, et de la douleur, est à juste titre très forte. Mais si tu t'abandonnes entièrement entre les mains de la personne à qui tu auras donné autorité, les bénéfices peuvent être magnifiques.



Comme je commençais à l'expliquer tout à l'heure, la fessée peut t'apporter un extraordinaire sentiment d'humilité et de vulnérabilité ; qui une fois terminée se transformera en un délicieux sentiment de paix et de docilité.

Déjà tu te sentiras vulnérable lorsque ta mère te sermonnera. Ton adrénaline fera un bond lorsqu'elle t'annoncera que tu va être fessée et t'enverra dans la chambre.



Tu te sentira encore plus vulnérable au moment de basculer sur ses genoux, puis lorsqu'elle commencera à te fesser sur la jupe.



Tu seras peut-être désespérée lorsque ta mère saisira l'ourlet de ta jupe pour la retrousser.



Enfin tu seras peut-être terrifiée quand ta mère glissera ses doigts sous l'élastique de ta culotte, afin de te l'abaisser sur les cuisses, te laissant entièrement à sa merci pour la suite de ta punition.



Donc tu reste libre de décider ce pour quoi tu es prête. Dans tous les cas tu en tireras de grands bénéfices. Mais je t'invite à être forte, courageuse, et audacieuse ! "

"Oui. D'accord. Je vais y réfléchir. Et j'essaierai." fit Susène, qui paraissait rassérénée par ces bonnes paroles.



mercredi 24 janvier 2018

ACJF (9) - La question des dessous

Tiffany  : "Surtout si l'on porte un string : cela ne protège pas grand chose !"



Louise : "Pour ma part, je ne m'aviserais jamais de porter des strings, ou d'autres choses coquines ! Si ma mère découvrait cela dans le panier à linge ou dans mon tiroir, je crois que ce serait la déculottée immédiate ! En tout cas je passerais un mauvais quart d'heure."

T


Tiffany : "Oh ! Ta mère est drôlement stricte ! J'avoue que si j'étais sa fille je risquerais d'avoir quelques problèmes !"

rires dans la salle

Louise, riant : "Oui, pour ma mère c'est culotte blanche obligatoire !"

"Certainement ce nous portons toutes le plus souvent, au moins dans notre grande majorité." fit remarquer Anna


acquiescements dans la salle

"Non je plaisante !" repris Louise, "Mais attention ! La décence dois toujours être respectée. Je ne me risquerais pas à porter des dessous trop suggestifs. Il pourrait m'en coûter."

Alix : "En tout cas moi, surtout si je sais que je risque de recevoir une fessée, je mettrai naturellement une culotte classique. D'abord pour tenter de donner une bonne image de moi (autant qu'il est possible alors, puisque je dois justement être punie !) et surtout par pudeur et respect."

Valérie : "Sauf qu'il arrive que la fessée nous tombe dessus sans qu'on s'y attende. Et là on est très mal ! En plus on doit alors donner des explications supplémentaires, parfois très embarrassantes !



Ségolène intervient : "Ce qu'a dit Alix est juste et très important. Pour nous les filles, la réputation et l'image que nous donnons de nous même, à nos propres yeux comme à ceux des autres, est très importante. Je veille à m'habiller de manière correcte, féminine mais non provocante, en jupe, maquillée légèrement, etc. Et à mon sens, même si personne ne la voit sauf nous, la culotte blanche reste l'un de ces must have. Outre que cela simplifie le choix de nos dessous, elle est un symbole de vertu et, que l'on soit parfaitement sage ou non, un rappel du devoir de vertu, qui s'impose particulièrement à nous en tant que filles."


Kim intervient :
"Et particulièrement que jeunes filles catholiques. Nous devons veiller à tenir les promesses et engagements pris lorsque nous avons reçu le sacrement de confirmation.


Acquiescements dans la salle


dimanche 14 janvier 2018

Après Noël ( Bonnes résolutions )

RETROUVAILLES  A  LA  RENTREE


Tu en as parlé à tes parents ?

De quoi ?

Tu sais bien !

La fessée ?

Oui, bien sûr. De quoi est-ce que l’on parle depuis cette première réunion de l’aumônerie ?

Non. Je n’ai pas osé. Et toi ?

Oui, je l’ai fait. A ma mère. Ca n’a pas été facile mais je me suis lancée.



Raconte moi s’il te plaît. Ca me donnera peut-être le courage.

J’en ai parlé à ma mère la veile de Noël / le Jour de l’An. J’ai profité d’un moment où nous étions seules toutes les deux à la maison, en milieu d’après-midi. Je lui ai dit que je voulais lui faire une demande très spéciale, mais que j’avais du mal à le lui dire. 
Elle m’a parlé gentiment et m’a un peu rassurée. C’est sorti en une phrase, mais j’étais tellement gênée que je n’osais pas la regarder dans les yeux. 

Je te comprend ! Moi aussi j’aurais été morte de honte !

Je lui ai aussi donné la lettre que j’avais preparée, où j’expliquais bien tout.



J’ai commencé à préparer la mienne aussi. Et ensuite ?

Elle a bien pris son temps pour la lire. J’étais dans mes petits souliers. Puis elle m’a demandé si j’y était vraiment prête, si j’étais vraiment sûre de moi. Je lui ai répondu que oui. Elle m’alors annoncé que j’avais pris une très bonne décision. Elle m’a félicitée, m’a dit qu’elle était fière de moi, puis m’a demandé si j’étais prête. 

Alors ? Tu l’as reçue ?

Oui ! Et pas qu’un peu ! 

Elle t’a déculottée ?

Oui bien sûr. Une fessée pour moi, c’est une correction appliquée sur les fesses. J’y tenais beaucoup !

Aie !

Oui ! Je te confirme que ca fait mal. Heureusement ma mère y est allée progressivement. Cela m’a bien aidé à supporter la suite ! Elle a commencé sur ma robe. Une bonne vingtaine de claques. Là ca allait sans problème ! Puis elle m’a troussée et a continué sur ma culotte. Je n’ai pas compté, mais elle a du me mettre une bonne cinquantaine de claques je pense. Je n’étais plus à la fête ! D’autant que la culotte ne protège pas tout ! 

Oui, j’imagine ! On ne porte pas des culottes de grand-mères !

Elle a alors marqué une pause, et m’a annoncé que les choses sérieuses allaient commencer.

Mon Dieu !

Elle a saisi ma culotte, et l’a abaissée doucement sur le haut de mes cuisses. Mes fesses étaient maintenant sans aucune protection, entièrement à sa merci.

Oh ! Rien que d’y penser !

Son bras droit m’a fermement vérouillé la taille. Et elle m’a une dernière fois demandé si j’étais prête. J’ai murmuré un oui... et l’orage s’est abattu !

Ma pauvre !



Oui ! Là, j’ai vraiment compris ce qu’étais une fessée ! Ca a tout de suite chauffé très fort ! Ma mère a pris sa tâche au sérieux. Je peux te garantir que j’ai dégusté ! Je n’ai pu m’empêcher de me débattre, de crier. Mais ma mère continuait inlassablement à me claquer le derrière. Jusqu’à ce que j’implore pardon, à plusieurs reprises, et que je lui promette, désespérée, d’être sage à l’avenir.

Ca me rappelle un très vieux souvenir !

Après que je me suis calmée, elle m’a fait glisser par terre à ses genoux. Elle s’est penchée vers moi pour me server dans ses bras et me consoler. Elle m’a à nouveau félicitée, et répété qu’elle était très fière de moi. 

C’est beau quand même !

Je l’ai remercié pour ma fessée. Elle m’a embrassée, et m’a envoyer me rafraichir et me recomposer dans la salle de bain. J’ai regardé mes fesses : elles étaient toutes rouges. 
Le soir encore, lorsque je me suis couchée, elles étaient un peu rouges, et je sentais encore de la chaleur !



Tu as été bien servie !

Oui, on peut le dire ! Et ma mère m’a avertie qu’elle n’hésiterai pas à recommencer si nécessaire. Et qu’elle se réserve la possibilité d’utiliser la brosse s’il le faut, comme le faisait sa propre mère.

Mon Dieu !

Oui ! J’ai intérêt à me tenir à carreau. Ma mère m’a fait promettre d’être franche avec elle, et de ne rien lui cacher de grave. Je me sens bien, j’avais vraiment ce besoin d’être cadrée.

Je t’envie tu sais !

Oui, je suis vraiment heureuse ! Mais tu n’avais qu’à être plus courageuse. 

Je le ferai... un peu plus tard ! Rires !

Je te soutiendrai. Et je prierai pour toi !

Merci !


vendredi 5 janvier 2018

Prendre de bonnes résolutions

Mesdemoiselles,

Comme cette toute jeune fille que vous étiez il y a 10 ans déjà, ce début d'année peut être l'occasion de prendre de bonnes résolutions.

Vous abandonner à la fessée disciplinaire, que vous méritez ou dont vous rêvez, peut vous aider à devenir une personne encore meilleure, ou tout simplement à être plus heureuse et comblée.

Que ce soit sous la main de l'un de vos parents (réel ou fantasmé), d'un parrain, d'un confesseur ou de toute autre personne digne de confiance, une fessée ça fait mal (!) ... mais parfois beaucoup de bien.

Bonne et heureuse année à toutes