RETROUVAILLES A LA RENTREE
Tu en as parlé à tes parents ?
De quoi ?
Tu sais bien !
La fessée ?
Oui, bien sûr. De quoi est-ce que l’on parle depuis cette première réunion de l’aumônerie ?
Non. Je n’ai pas osé. Et toi ?
Oui, je l’ai fait. A ma mère. Ca n’a pas été facile mais je me suis lancée.
Raconte moi s’il te plaît. Ca me donnera peut-être le courage.
J’en ai parlé à ma mère la veile de Noël / le Jour de l’An. J’ai profité d’un moment où nous étions seules toutes les deux à la maison, en milieu d’après-midi. Je lui ai dit que je voulais lui faire une demande très spéciale, mais que j’avais du mal à le lui dire.
Elle m’a parlé gentiment et m’a un peu rassurée. C’est sorti en une phrase, mais j’étais tellement gênée que je n’osais pas la regarder dans les yeux.
Je te comprend ! Moi aussi j’aurais été morte de honte !
Je lui ai aussi donné la lettre que j’avais preparée, où j’expliquais bien tout.
J’ai commencé à préparer la mienne aussi. Et ensuite ?
Elle a bien pris son temps pour la lire. J’étais dans mes petits souliers. Puis elle m’a demandé si j’y était vraiment prête, si j’étais vraiment sûre de moi. Je lui ai répondu que oui. Elle m’alors annoncé que j’avais pris une très bonne décision. Elle m’a félicitée, m’a dit qu’elle était fière de moi, puis m’a demandé si j’étais prête.
Alors ? Tu l’as reçue ?
Oui ! Et pas qu’un peu !
Elle t’a déculottée ?
Oui bien sûr. Une fessée pour moi, c’est une correction appliquée sur les fesses. J’y tenais beaucoup !
Aie !
Oui ! Je te confirme que ca fait mal. Heureusement ma mère y est allée progressivement. Cela m’a bien aidé à supporter la suite ! Elle a commencé sur ma robe. Une bonne vingtaine de claques. Là ca allait sans problème ! Puis elle m’a troussée et a continué sur ma culotte. Je n’ai pas compté, mais elle a du me mettre une bonne cinquantaine de claques je pense. Je n’étais plus à la fête ! D’autant que la culotte ne protège pas tout !
Oui, j’imagine ! On ne porte pas des culottes de grand-mères !
Elle a alors marqué une pause, et m’a annoncé que les choses sérieuses allaient commencer.
Mon Dieu !
Elle a saisi ma culotte, et l’a abaissée doucement sur le haut de mes cuisses. Mes fesses étaient maintenant sans aucune protection, entièrement à sa merci.
Oh ! Rien que d’y penser !
Son bras droit m’a fermement vérouillé la taille. Et elle m’a une dernière fois demandé si j’étais prête. J’ai murmuré un oui... et l’orage s’est abattu !
Ma pauvre !
Oui ! Là, j’ai vraiment compris ce qu’étais une fessée ! Ca a tout de suite chauffé très fort ! Ma mère a pris sa tâche au sérieux. Je peux te garantir que j’ai dégusté ! Je n’ai pu m’empêcher de me débattre, de crier. Mais ma mère continuait inlassablement à me claquer le derrière. Jusqu’à ce que j’implore pardon, à plusieurs reprises, et que je lui promette, désespérée, d’être sage à l’avenir.
Ca me rappelle un très vieux souvenir !
Après que je me suis calmée, elle m’a fait glisser par terre à ses genoux. Elle s’est penchée vers moi pour me server dans ses bras et me consoler. Elle m’a à nouveau félicitée, et répété qu’elle était très fière de moi.
C’est beau quand même !
Je l’ai remercié pour ma fessée. Elle m’a embrassée, et m’a envoyer me rafraichir et me recomposer dans la salle de bain. J’ai regardé mes fesses : elles étaient toutes rouges.
Le soir encore, lorsque je me suis couchée, elles étaient un peu rouges, et je sentais encore de la chaleur !
Tu as été bien servie !
Oui, on peut le dire ! Et ma mère m’a avertie qu’elle n’hésiterai pas à recommencer si nécessaire. Et qu’elle se réserve la possibilité d’utiliser la brosse s’il le faut, comme le faisait sa propre mère.
Mon Dieu !
Oui ! J’ai intérêt à me tenir à carreau. Ma mère m’a fait promettre d’être franche avec elle, et de ne rien lui cacher de grave. Je me sens bien, j’avais vraiment ce besoin d’être cadrée.
Je t’envie tu sais !
Oui, je suis vraiment heureuse ! Mais tu n’avais qu’à être plus courageuse.
Je le ferai... un peu plus tard ! Rires !
Je te soutiendrai. Et je prierai pour toi !
Merci !
Il y a chez vous un climat extrêmement original.
RépondreSupprimerMerci.
RépondreSupprimerC'est vrai. Le fantasme de la faute (sexuelle ou non), et de la rédemption par une bonne fessée, est courant dans nos histoires. Mais là j'explore à fond ce fantasme.
Je doute fort que de réelles jeunes filles d'aujourd'hui vivent cette situation (serait-ce d'ailleurs souhaitable ???) mais peut-être dans les années 1950-1960 ? Qui sait ?