dimanche 4 février 2018

ACJF (10) - Tomber la culotte ?

Prenant son courage à deux mains, Susène se lance, légèrement rougissante :

" J'avoue être assez troublée par ces échanges. J'éprouve parfois un sentiment de culpabilité devant certains de mes actes. A vous entendre, la fessée parentale pourrait être un excellent moyen de purger cette culpabilité, et pourquoi pas d'être reprises en main et mieux encadrée.



L'idée me séduit tout à fait, mais je ne suis toutefois pas certaine d'être prête, aujourd'hui, à franchir le pas. Je suis très pudique et il est donc hors de question que ce soit mon père qui me fesse. Même avec ma mère je crois que je serais extrêmement gênée de devoir lui montrer ma culotte. Alors l'idée d'être déculottée m'effraye totalement ! Est-ce vraiment obligatoire ? "



" Rien n'est obligatoire, Susène" lui répondit doucement Alix, "mais tout est bénéfique",

" Si déjà tu respectes l'autorité de tes parents, sans recevoir la fessée, c'est très bien et cela t'apportera beaucoup."



"Si tu acceptes seulement de recevoir la fessée sur ta jupe, mais sans être troussée, c'est encore un plus, dont tu bénéficieras."



"Si tu acceptes d'être troussée et fessée sur ta culotte, tu fais encore un magnifique pas en avant, qui t'apportera énormément."



Mais à mon sens, bien sûr, une fessée doit normalement être déculottée. Même si je n'en suis pas à ma première fessée, le déculottage reste toujours pour moi un instant magique.



"A chacun de ces stades, Susène, tu éprouveras bien sûr une gêne supplémentaire. Mais la fessée te seras aussi plus bénéfique. Rien n'est obligatoire et c'est à toi de faire le choix. Et d'évoluer dans ce choix si tu t'y sens prête. Est-ce que je t'ai rassurée ? "

"Oui" fit doucement Susène, souriant timidement.

A son tour Kim s'adressa à Susène :

"Susène, moi aussi j'ai eu du mal à sauter le pas. La peur de la gêne, et de la douleur, est à juste titre très forte. Mais si tu t'abandonnes entièrement entre les mains de la personne à qui tu auras donné autorité, les bénéfices peuvent être magnifiques.



Comme je commençais à l'expliquer tout à l'heure, la fessée peut t'apporter un extraordinaire sentiment d'humilité et de vulnérabilité ; qui une fois terminée se transformera en un délicieux sentiment de paix et de docilité.

Déjà tu te sentiras vulnérable lorsque ta mère te sermonnera. Ton adrénaline fera un bond lorsqu'elle t'annoncera que tu va être fessée et t'enverra dans la chambre.



Tu te sentira encore plus vulnérable au moment de basculer sur ses genoux, puis lorsqu'elle commencera à te fesser sur la jupe.



Tu seras peut-être désespérée lorsque ta mère saisira l'ourlet de ta jupe pour la retrousser.



Enfin tu seras peut-être terrifiée quand ta mère glissera ses doigts sous l'élastique de ta culotte, afin de te l'abaisser sur les cuisses, te laissant entièrement à sa merci pour la suite de ta punition.



Donc tu reste libre de décider ce pour quoi tu es prête. Dans tous les cas tu en tireras de grands bénéfices. Mais je t'invite à être forte, courageuse, et audacieuse ! "

"Oui. D'accord. Je vais y réfléchir. Et j'essaierai." fit Susène, qui paraissait rassérénée par ces bonnes paroles.



mercredi 24 janvier 2018

ACJF (9) - La question des dessous

Tiffany  : "Surtout si l'on porte un string : cela ne protège pas grand chose !"



Louise : "Pour ma part, je ne m'aviserais jamais de porter des strings, ou d'autres choses coquines ! Si ma mère découvrait cela dans le panier à linge ou dans mon tiroir, je crois que ce serait la déculottée immédiate ! En tout cas je passerais un mauvais quart d'heure."

T


Tiffany : "Oh ! Ta mère est drôlement stricte ! J'avoue que si j'étais sa fille je risquerais d'avoir quelques problèmes !"

rires dans la salle

Louise, riant : "Oui, pour ma mère c'est culotte blanche obligatoire !"

"Certainement ce nous portons toutes le plus souvent, au moins dans notre grande majorité." fit remarquer Anna


acquiescements dans la salle

"Non je plaisante !" repris Louise, "Mais attention ! La décence dois toujours être respectée. Je ne me risquerais pas à porter des dessous trop suggestifs. Il pourrait m'en coûter."

Alix : "En tout cas moi, surtout si je sais que je risque de recevoir une fessée, je mettrai naturellement une culotte classique. D'abord pour tenter de donner une bonne image de moi (autant qu'il est possible alors, puisque je dois justement être punie !) et surtout par pudeur et respect."

Valérie : "Sauf qu'il arrive que la fessée nous tombe dessus sans qu'on s'y attende. Et là on est très mal ! En plus on doit alors donner des explications supplémentaires, parfois très embarrassantes !



Ségolène intervient : "Ce qu'a dit Alix est juste et très important. Pour nous les filles, la réputation et l'image que nous donnons de nous même, à nos propres yeux comme à ceux des autres, est très importante. Je veille à m'habiller de manière correcte, féminine mais non provocante, en jupe, maquillée légèrement, etc. Et à mon sens, même si personne ne la voit sauf nous, la culotte blanche reste l'un de ces must have. Outre que cela simplifie le choix de nos dessous, elle est un symbole de vertu et, que l'on soit parfaitement sage ou non, un rappel du devoir de vertu, qui s'impose particulièrement à nous en tant que filles."


Kim intervient :
"Et particulièrement que jeunes filles catholiques. Nous devons veiller à tenir les promesses et engagements pris lorsque nous avons reçu le sacrement de confirmation.


Acquiescements dans la salle


dimanche 14 janvier 2018

Après Noël ( Bonnes résolutions )

RETROUVAILLES  A  LA  RENTREE


Tu en as parlé à tes parents ?

De quoi ?

Tu sais bien !

La fessée ?

Oui, bien sûr. De quoi est-ce que l’on parle depuis cette première réunion de l’aumônerie ?

Non. Je n’ai pas osé. Et toi ?

Oui, je l’ai fait. A ma mère. Ca n’a pas été facile mais je me suis lancée.



Raconte moi s’il te plaît. Ca me donnera peut-être le courage.

J’en ai parlé à ma mère la veile de Noël / le Jour de l’An. J’ai profité d’un moment où nous étions seules toutes les deux à la maison, en milieu d’après-midi. Je lui ai dit que je voulais lui faire une demande très spéciale, mais que j’avais du mal à le lui dire. 
Elle m’a parlé gentiment et m’a un peu rassurée. C’est sorti en une phrase, mais j’étais tellement gênée que je n’osais pas la regarder dans les yeux. 

Je te comprend ! Moi aussi j’aurais été morte de honte !

Je lui ai aussi donné la lettre que j’avais preparée, où j’expliquais bien tout.



J’ai commencé à préparer la mienne aussi. Et ensuite ?

Elle a bien pris son temps pour la lire. J’étais dans mes petits souliers. Puis elle m’a demandé si j’y était vraiment prête, si j’étais vraiment sûre de moi. Je lui ai répondu que oui. Elle m’alors annoncé que j’avais pris une très bonne décision. Elle m’a félicitée, m’a dit qu’elle était fière de moi, puis m’a demandé si j’étais prête. 

Alors ? Tu l’as reçue ?

Oui ! Et pas qu’un peu ! 

Elle t’a déculottée ?

Oui bien sûr. Une fessée pour moi, c’est une correction appliquée sur les fesses. J’y tenais beaucoup !

Aie !

Oui ! Je te confirme que ca fait mal. Heureusement ma mère y est allée progressivement. Cela m’a bien aidé à supporter la suite ! Elle a commencé sur ma robe. Une bonne vingtaine de claques. Là ca allait sans problème ! Puis elle m’a troussée et a continué sur ma culotte. Je n’ai pas compté, mais elle a du me mettre une bonne cinquantaine de claques je pense. Je n’étais plus à la fête ! D’autant que la culotte ne protège pas tout ! 

Oui, j’imagine ! On ne porte pas des culottes de grand-mères !

Elle a alors marqué une pause, et m’a annoncé que les choses sérieuses allaient commencer.

Mon Dieu !

Elle a saisi ma culotte, et l’a abaissée doucement sur le haut de mes cuisses. Mes fesses étaient maintenant sans aucune protection, entièrement à sa merci.

Oh ! Rien que d’y penser !

Son bras droit m’a fermement vérouillé la taille. Et elle m’a une dernière fois demandé si j’étais prête. J’ai murmuré un oui... et l’orage s’est abattu !

Ma pauvre !



Oui ! Là, j’ai vraiment compris ce qu’étais une fessée ! Ca a tout de suite chauffé très fort ! Ma mère a pris sa tâche au sérieux. Je peux te garantir que j’ai dégusté ! Je n’ai pu m’empêcher de me débattre, de crier. Mais ma mère continuait inlassablement à me claquer le derrière. Jusqu’à ce que j’implore pardon, à plusieurs reprises, et que je lui promette, désespérée, d’être sage à l’avenir.

Ca me rappelle un très vieux souvenir !

Après que je me suis calmée, elle m’a fait glisser par terre à ses genoux. Elle s’est penchée vers moi pour me server dans ses bras et me consoler. Elle m’a à nouveau félicitée, et répété qu’elle était très fière de moi. 

C’est beau quand même !

Je l’ai remercié pour ma fessée. Elle m’a embrassée, et m’a envoyer me rafraichir et me recomposer dans la salle de bain. J’ai regardé mes fesses : elles étaient toutes rouges. 
Le soir encore, lorsque je me suis couchée, elles étaient un peu rouges, et je sentais encore de la chaleur !



Tu as été bien servie !

Oui, on peut le dire ! Et ma mère m’a avertie qu’elle n’hésiterai pas à recommencer si nécessaire. Et qu’elle se réserve la possibilité d’utiliser la brosse s’il le faut, comme le faisait sa propre mère.

Mon Dieu !

Oui ! J’ai intérêt à me tenir à carreau. Ma mère m’a fait promettre d’être franche avec elle, et de ne rien lui cacher de grave. Je me sens bien, j’avais vraiment ce besoin d’être cadrée.

Je t’envie tu sais !

Oui, je suis vraiment heureuse ! Mais tu n’avais qu’à être plus courageuse. 

Je le ferai... un peu plus tard ! Rires !

Je te soutiendrai. Et je prierai pour toi !

Merci !


vendredi 5 janvier 2018

Prendre de bonnes résolutions

Mesdemoiselles,

Comme cette toute jeune fille que vous étiez il y a 10 ans déjà, ce début d'année peut être l'occasion de prendre de bonnes résolutions.

Vous abandonner à la fessée disciplinaire, que vous méritez ou dont vous rêvez, peut vous aider à devenir une personne encore meilleure, ou tout simplement à être plus heureuse et comblée.

Que ce soit sous la main de l'un de vos parents (réel ou fantasmé), d'un parrain, d'un confesseur ou de toute autre personne digne de confiance, une fessée ça fait mal (!) ... mais parfois beaucoup de bien.

Bonne et heureuse année à toutes




samedi 23 décembre 2017

Joyeuses fêtes de Noël !

A l'occasion des fêtes de fin d'années vous êtes nombreuses, Mesdemoiselles, à retourner chez vos parents fêter Noël en famille.


Vous avez peut-être pris votre envol depuis plusieurs années. Vous êtes majeures et indépendantes. Mais n'oubliez pas, lorsque vous rentrez chez vos parents, qu'ils sont maîtres chez eux, et qu'à leurs yeux vous êtes toujours leur petite fille, sur laquelle ils doivent veiller.


Il vous alors filer droit, oublier certaines de vos mauvaises habitudes, 


surveiller votre attitude, vos gestes et vos postures, en particulier si vous portez des jupes courtes


Surveiller également votre humeur,


ainsi que votre langage. En particulier quand vous vous adressez à vos parents, même s'il peut arriver qu'ils vous excèdent
  


Et peut-être aussi... ne pas tout leur raconter !



En effet, Noël ou pas, vos parents sont restés très vieux jeu. Selon eux, une jeune fille doit toujours être irréprochable en tous points. 

Si vous ne l'êtes pas, à leurs yeux, ils seront déçus. 

Vous risquerez alors qu'ils décident de remettre à l'honneur les bonnes vieilles méthodes Celles qui ont fait la preuve de leur efficacité dans l'éducation des filles.


avant de vous envoyer vous coucher dans votre chambre, toute sanglotante et les fesses en feu.



Mais si vous faites attention et êtes sage, 



votre joli derrière restera bien à l'abri, et vous passerez de joyeuses fêtes sans nuage !








samedi 16 décembre 2017

ACJF (8) - Par le père, ou la mère ?

Elisabeth :
"Tu es donc fessée toi aussi ! Et, si je peux me permettre une question indiscrète, est-ce par ton père ou ta mère ?"

Kim :
"En règle générale c'est par mon père, même s'il y a parfois des exceptions. Le père, le mari, incarne traditionnellement l'autorité dans la famille. Je préfère donc que ce soit mon père qui me punisse, même si c'est extrêmement gênant je te le concède ! "


"C'est un bon rappel du principe de l'autorité masculine,  que nous ne devrons pas perdre de vue quand nous prendrons notre envol et nous marierons. Je pense donc que c'est utile."


Sarah intervient :
"Pour ma part c'est toujours ma mère qui me fesse. Entre femmes je trouve cela moins gênant, ma pudeur reste ainsi mieux respectée. Même si la honte reste toujours présente, ce qui est d'ailleurs une bonne chose et fait partie de la thérapie comme le disait Ségolène."


Ségolène confirme à son tour :

"Chez nous c'est également généralement ma mère qui nous fesse, mes soeurs et moi. Mais cela reste un moment honteux, ce qui est nécessaire. Et quand, exceptionnellement, mon père s'en charge, il ne nous déculotte pas. Mais, même culottées, je peux vous garantir, les filles, qu'avec mon père cela chauffe encore plus !"



samedi 9 décembre 2017

ACJF (7) - Pour ou contre l'auto-fessée ?

Bérangère : "Pour cela je fais sans mes parents. Parfois, pour me punir, je pratique l'auto-fessée. Fesses nues, avec ma brosse de bain. "



"Bon, je me doute bien que ce n'est pas tout à fait équivalent à une vraie fessée : quand la douleur devient forte on a irrésistiblement tendance à claquer moins fort, ou à claquer là où ça fait moins mal, et à marquer des pauses..."




Kim, l'interrompant brusquement :

"Je te confirme que c'est très différent d'une vraie fessée ! Tu y perd énormément. Au début j'ai essayé l'auto-fessée moi aussi. Mais j'ai été déçue. Même si l'on a mal et les fesses rouges, ce n'est pas du tout pareil. "



"Lorsque tu reçois une fessée des mains d'une autre personne cela n'a rien à voir. Outre une fessée sans doute plus cuisante, tu perd réellement le contrôle et ressens un sentiment de vulnérabilité exacerbé. "



"La fessée est vraiment une expérience unique ! Pas agréable du tout sur le moment, je te l'accorde. Tu ressentiras de l'anxiété et de la crainte, un sentiment de honte, et la douleur bien sûr, qui caractérise une vraie fessée disciplinaire ou punitive. Mais ensuite tu te sens libérée et elle te permet, la punition achevée et la faute expiée, de rebondir légère et du bon pied, et plus motivée que jamais."



samedi 2 décembre 2017

ACJF (6) - "Croquer les oeufs avant Pâques"


Bérangère : "Et qu'est-ce que tu avais donc fait pour mériter une telle punition ?"

Lorraine, piquant un fard :
"Ce que font parfois les filles de notre âge. J'avais, comme on dit dans ma région, "croqué les oeufs avant Pâques". C'est parfois difficile de résister quand on a le béguin pour un garçon séduisant. Rien que de très classique. Un flirt de vacances, sur lequel je n'ai pas été assez prudente, et qui a été trop loin et trop vite. Malheureusement je me suis ensuite rendu compte de mon erreur, regrettant amèrement de m'être donnée si précipitamment !"
















Camille, l'air coquine et gêné en même temps :
" Je ne crois pas que tu sois la seule. Je pense qu'il y en a d'autres, ici même, qui mériteraient une bonne fessée ! "

Légers rires, et rougissements dans la salle



Camille, reprenant :
"On sait bien qu'on ne commet pas un crime. En même temps notre conscience nous tarabuste un peu, nous disant que ce n'est pas très bien. Nous avons toutes été élevées avec l'idée qu'une fille doit... disons, se préserver, attendre, bref, "être sage". J'avoue avoir parfois été tentée d'avouer certaines choses à ma mère... afin que, peut-être, elle m'administre une bonne fessée !


 suivie d'un câlin pour me consoler et que je me sente tout à fait pardonnée !"