mardi 12 avril 2011

Une demoiselle avertie en vaut deux

Jeunes filles, à l'occasion de la nouvelle année, je vous conseille de prendre de bonnes résolutions... et de vous y tenir !


J'adore ce dessin (hors les parties cachées, évoquant les fessées d'enfants) : charmante petite robe qui laisse entrevoir une culotte blanche toute sage... et un derrière tendrement rougi par une main bienveillante. La demoiselle court-vêtue n'est pas contente du tout. Elle vient visiblement de faire une bêtise et de se faire attraper. Elle est adorable, mais son attitude rebelle mériterait un nouveau rappel à l'ordre. Il faut lui apprendre à accepter l'autorité et à avoir bon caractère. Trop kawaï !
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dimanche 25 avril 2010

De petits films didactiques

Je viens de mettre en ligne à l'adresse suivante - http://www.wat.tv/oliverstrict - quelques petits films didactiques.

Selon votre cas, ils vous aideront à mieux exercer vos responsabilités au sein de votre foyer ou.... vous permettrons de savoir ce qui vous attend.

Si vous souhaitiez une démonstration pratique, contactez-moi par mail.

vendredi 19 février 2010

Préférez-vous les fessées érotiques ou punitives ?


"Les punitives, a priori, titillent plus mon imagination."
Mariecg77


"Erotico-punitives : je ne veux pas être réellement punie, c'est un jeu, mais c'est mieux s'il y a un prétexte."
Callipyge

"Punitives bien sur ! La fessée étant en elle-même hautement érotique. La punition n’en est que le prétexte, le détonateur..."
Praline

"Difficile question : on la motive par punition et on lui confère un érotisme délicieux…"
Calistane

"Mes fessées ont toutes pour but (ou tout du moins pour prétexte) de me punir pour une de mes inombrables bétises."
Laura coquine

"Les deux ! car à mon sens la fessée même érotique se base sur une idée punitive ! Et la fessée punitive a un zeste d’érotisme sinon elle n’est que torture."
Karine

"Une fessée punitive est érotique pour moi…"
Luneblanche

"Pour ma part, la fessée qui me plait est la fessée punition. Par contre, la punition est un jeu. Quand j'ai envie d'une fessée, alors je fais des bêtises. Mais jamais on ne perd de l'esprit que le but de la mise en scene est le plaisir des partenaires. Donc la punition n'est qu'un pretexte au plaisir sensuel (même si la sévérité est de rigueur). C'est un peu ambigu comme pratique, mais je pense que tout le plaisir vient de là. On fait comme si on était vraiment punie, mais pour le plaisir."
Sweety

"Plutôt les fessées érotiques, parce que les fessées vraiment punitives me font un peu peur. Même si dans l’absolu, j’ai besoin d’avoir un sentiment de culpabilité afin de mieux profiter de ce moment cuisant."
Cheyenne

"Punitives!! mais c'est très érotique..."
Alice

lundi 28 décembre 2009

Après lui avoir donné la fessée, faut-il envoyer la jeune fille au coin ?

"Pourquoi pas...très troublant de se sentir observée"
Marinella

"Pour que le rouge de mes joues se mêlent aux rouges de mes fesses"
mariloudelanuy

"Je ne sais pas s'il le faut, mais ca ajoute quelque chose à ma fessée, et puis ca permet de pouvoir recommencer assez vite, de faire des pauses..."
Sweety

"Quelle extrême confusion que de sentir des regards moqueurs loucher sur des fesses bien rouges ... Alors oui, mais seulement de temps en temps..."
Praline

"Oui car le panorama est parait il le plus beau qu'il est donne d'offrir à un fesseur en plus cela permet de réfléchir et de revivre en kaléidoscope ce merveilleux moment"
Melusine


"Ben oui, si elle a été vilaine... Agenouillée si elle a été très vilaine... Se sentir comme une vilaine fille pas sage qui doit être sévèrement punie, ça c'est vraiment bon..... Ce désir profond d'être punie et de laisser l'homme prendre le contrôle..." 
Alice



dimanche 27 décembre 2009

Préférez-vous les fessées prévues à l'avance, ou les fessées improvisées ?


"L’attente de la fessée est un puissant aphrodisiaque, je suis bien placée pour le savoir depuis le temps que j’attends ma première fessée, mais c’est une improvisation que j’accepterais volontiers"
F.



"Je dirais que la surprise que provoque 1 fessée improvisée me plait beaucoup, mais que le fait d’être prévenu est délicieusement angoissant."
Cheyenne




"Les deux !!! C'est très excitant d'avoir été menacée à l'avance, d'avoir le temps d'y penser, d'appréhender un peu... (surtout si le partenaire sait bien annoncer les choses...). Mais c'est également très excitant de voir le partenaire réagir sur le vif et de se retrouver en facheuse posture sans avoir le temps de comprendre ce qui se passe ! "
Alice


Avez-vous déjà reçu une fessée en public ?


"Non, pas envie, manque d'intimité....quoique peut-être une fois....mais je garde ma culotte, hein ??"
Karine




"Euh non, mais bientot en tout cas. Je fantasme grave depuis que j'y pense, je fonds littérallement." Melusine



Conclusion idéale d'une bonne fessée ?


"Une main qui glisse délicatement dans l'entrejambe ou s'insinue dans les replis sacrés... (néanmoins) la fessée pour moi doit etre obligatoirement distinguée de la relation amoureuse, meme si apres chaque fessée je supplie mon fesseur de s'occuper de mon puit d'amour. Mais à chaque fois je le remercie après aussi de ne pas m'avoir écoutée, et de ne pas avoir profité de la situation."
Melusine

"Un tendre calin dans les bras ou sur les genoux mais à l'endroit cette fois."
Sweety

"Je flotte sur mon petit nuage rose, apaisée, bien au chaud dans les bras du monsieur… "
Karine

"Calin sur les genoux, et plus si affinitées"
Aquarelle83

"Passer un long moment de détente dans les bras de celui que j’aime, à être dorlotée, cajolée, et bien plus encore…"
Cheyenne

"Un énooooorme calin"
Sophiep06


"D'autres jeux encore plus intimes ..."
Laura coquine



Quelle place occupe la fessée dans votre vie ?


"Je dirais qu'elle est le ciment de mon couple. Je me repose entièrement sur mon ami pour prendre les décisions, pour s'assurer de notre bonheur commun (et c'est parfois une lourde tache !), et lui en échange a le droit de me donner la fessée dés qu'il estime que je ne me conduis pas bien (ce qui m'arrive, je dois l'admettre, assez souvent)"
Laura coquine




"C’est important, je crois que ça me fait du bien et que ça me rend encore plus amoureuse de lui"
emilly

Tenue idéale de la jeune fille ?


"Jupe et culotte blanche"
Sandrine




"Jupe courte et culotte blanche, parce que le blanc, c'est l'innocence."
Sweety



"Chemisier transparent, petite jupe plissée, culotte blanche et seyante. Et pourquoi pas bas et porte jaretelle, mais la c'est un peu abuser !"
Melusine


Qu'est-ce qui vous attire le moins dans la fessée ?


"Ma conscience qui carillonne en me tarabustant, me disant que je suis une petite dévergondée"
Melusine

Taming of the Shrew

Extrait du grand classique de William Shakespeare : LA MÉGÈRE APPRIVOISÉE


Thy husband is thy Lord, thy life, thy keeper,
Thy head, thy sovereign:
One that cares for thee,
And for thy maintenance.
Commits his body
To painful labour, both by sea and land:
To watch the night in storms, the day in cold,
Whilst thou liest warm at home, secure and safe,
And craves no other tribute at thy hands,
But love, faire looks, and true obedience;
Too little payment for so great a debt.


Such duty as the subject owes the Prince,
Even such a woman oweth to her husband:
And when she is forward, peevish, sullen, sour,
And not obedient to his honest will,
What is she but a foul contending Rebel,
And graceless Traitor to her loving Lord?
I am ashamed that women are so simple,
To offer war, where they should kneel for peace:
Or seek for rule, supremacy, and sway,
When they are bound to serve, love, and obey.



Why are our bodies soft, and weak, and smooth,
Unapt to toil and trouble in the world,
But that our soft conditions, and our hearts,
Should well agree with our external parts?
Come, come, you forward and unable worms,
My mind hath bin as big as one of yours,
My heart as great, my reason happily more,
To bandy word for word, and frown for frown;
But now I see our Lances are but straws:
Our strength as weak, our weakness past compare,
That seeming to be most, which we indeed least are.


Then vale your stomachs, for it is no boot,
And place your hands below your husband's foot:
In token of which duty, if he please,
My hand is ready, may it do him ease.


William Shakespeare





Mais, qu'en dit l'Eglise ?

L'ENSEIGNEMENT DE NOTRE TRES SAINTE MERE L'EGLISE

Vénérables frères et sœurs,



Concernant le sujet qui nous intéresse, un grand principe se retrouve tout au long de l'enseignement de notre sainte mère l'Eglise : la soumission de l'épouse à son mari.
Hélas, pour des raisons de marketing bien compréhensibles, le magistère a aujourd'hui tendance à passer pudiquement ce point sous silence.


Pour les couples désireux de faire de leur union un vrai mariage chrétien, voici donc ici réunis pour la première fois les grands classiques indispensables.





Première épître de Pierre 3.1-6


Vous, femmes soyez de même soumises chacune à votre mari, afin que si quelques uns n'obéissent pas à la Parole, ils soient conquis sans discours, par la conduite de leurs épouses, en voyant votre manière de vivre chaste et respectueuse.


Ne privilégiez pas la parure extérieure ; cheveux, bijoux et toilettes ; mais la parure intérieure et cachée du cœur, la pureté incorruptible d'un esprit doux et paisible. Voilà ce qui est précieux au regard de Dieu.


Ainsi se rendaient belles autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, soumises à leurs maris, telle Sara qui obéissait à Abraham et l'appelait son Seigneur. C'est d'elles que vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien, sans vous laisser troubler par aucune crainte.





Epître de Paul aux Ephésiens 5.22-33


Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur ; Car le mari est le chef de la femme, comme le Christ est le chef de l'Eglise, qui est son corps, et dont il est le sauveur. Or, de même que l'Eglise est soumise au Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses.


Maris, aimez vos femmes, comme le Christ a aimé l'Eglise, et s'est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, afin de faire paraître devant lui cette Eglise glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irréprochable.


C'est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leur propre corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. Car jamais personne n'a haï sa propre chair ; mais il la nourrit et en prend soin, comme le Christ le fait pour l'Eglise, parce que nous sommes membres de son corps. C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. Ce mystère est grand ; je dis cela par rapport au Christ et à l'Eglise.


Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari.





Encyclique "Castii conubi" sur le mariage chrétien,
de Sa Sainteté le Pape Pie XI, 31/12/1930 (extraits)

…/..


I - Les biens du mariage véritable d'après saint Augustin…/..
§2 - La foi conjugale…/..


L'"ordre de l'amour"


Enfin, la société domestique ayant été bien affermie par le lien de cette charité, il est nécessaire d’y faire fleurir ce que saint Augustin appelle l’ordre de l’amour.


Cet ordre implique et la primauté du mari sur sa femme et ses enfants, et la soumission empressée de la femme ainsi que son obéissance spontanée, ce que l’Apôtre recommande en ces termes : “Que les femmes soient soumises à leurs maris comme au Seigneur ; parce que l’homme est le chef de la femme comme le Christ est le chef de l'Eglise.”






Cette soumission, d’ailleurs, ne nie pas, elle n’abolie pas la liberté qui revient de plein droit à la femme, tant à raison de ses prérogatives comme personne humaine, qu’à raison de ses fonctions si nobles d’épouse, de mère et de compagne ; elle ne lui commande pas de se plier à tous les désirs de son mari, quels qu’ils soient, même à ceux qui pourraient être peu conformes à la raison ou bien à la dignité de l’épouse ; elle n’enseigne pas que la femme doive être assimilée aux personnes que dans le langage du droit on appelle des “mineurs”, et auxquelles, à cause de leur jugement insuffisamment formé, ou de leur impéritie dans les choses humaines, on refuse d’ordinaire le libre exercice de leurs droits, mais elle interdit cette licence exagérée qui néglige le bien de la famille ; elle ne veut pas que, dans le corps moral qu’est la famille, le coeur soit séparé de la tête, au très grand détriment du corps entier et au péril - péril très proche - de la ruine. Si, en effet, le mari est la tête, la femme est le coeur, et, comme le premier possède la primauté du gouvernement, celle-ci peut et doit revendiquer comme sienne cette primauté de l’amour.

Au surplus, la soumission de la femme à son mari peut varier de degré, elle peut varier dans ses modalités, suivant les conditions diverses des personnes, des lieux et des temps ; bien plus, si le mari manque à son devoir, il appartient à la femme de le suppléer dans la direction de la famille. Mais, pour ce qui regarde la structure même de la famille et sa loi fondamentale, établie et fixée par Dieu, il n’est jamais ni nulle part permis de les bouleverser ou d’y porter atteinte.


Sur cet ordre qui doit être observé entre la femme et son mari, Notre prédécesseur d’heureuse mémoire, Léon XIII, donne, dans l’Encyclique sur le mariage chrétien, que Nous avons rappelé, ces très sages enseignements : “L’homme est le prince de la famille et le chef de la femme ; celle-ci, toutefois, parce qu’elle est, par rapport à lui, la chair de sa chair et l’os de ses os, sera soumise, elle obéira à son mari, non point à la façon d’une servante, mais comme une associée ; et ainsi, son obéissance ne manquera ni de beauté ni de dignité. Dans celui qui commande et dans celle qui obéit - parce que le premier reproduit l’image du Christ, et la seconde l’image de l’Eglise, - la charité divine ne devra jamais cesser d’être la régulatrice de leur devoir respectif.”


Le bien de la fidélité conjugale comprend donc : l’unité, la chasteté, une digne et noble obéissance ; autant de vocables qui formulent les bienfaits de l’union conjugale, qui ont pour effet de garantir et de promouvoir la paix, la dignité et le bonheur du mariage. Aussi n’est-il pas étonnant que cette fidélitéait toujours été rangée parmi les biens excellents et propres du mariage.
…/..




Et la fessée dans tout ça ?


Concernant les épouses rétives à ces sains principes, ou simplement prises en faute, l'Eglise n'a officiellement jamais conseillé d'user de chatiments corporels. Elle n'a recommandé que la "réprimande affectueuse".


Cependant, ne pourait-on pas considérer comme telle un fessée, donnée avec amour, et librement acceptée dans son principe ?


Combien d'hommes alors ne trouveraient pas délicieux de réprimander ainsi leur tendre moitié, si pure ou si polissonne ? Combien de femmes, sages ou coquines, ne seraient pas troublées d'être si tendrement et fermement reprises en main par leur époux, et de sentir ainsi jusque dans leur chair la chaleur de l'autorité maritale ?




PS : le Bienheureux Abbé MOYE, dans son INSTRUCTION POUR LES HOMMES (partie : Devoirs des maris envers leurs femmes), recommande sagement :
"Les maris doivent sans doute, comme chefs, corriger leurs femmes si elles tombent dans le désordre, mais ils doivent aussi écouter et recevoir avec reconnaissance les sages remontrances que leurs femmes leur donnent..."
(ainsi le couple est-il une association librement décidée entre deux personnes d'égale dignité. Chacun donne et reçoit, y enseigne et apprend de l'autre. Mais toujours en veillant bien à respecter scrupuleusement les droits et devoirs de son sexe et de son état, sans tomber dans les errements de l'anarchie ou de l'indifférenciation)