samedi 24 mars 2018

ACJF 15 - Conférence du Père Olivier (suite)


C'est là qu'interviennent deux remèdes.

L'un est universel, et doit donc être toujours respecté : c'est la confession des fautes



l'autre, non systématique mais souvent extrêmement bénéfique : c'est la fessée.



La confession des fautes peut prendre plusieurs formes, qui ne s'excluent pas.

Il s'agit bien sûr de sacrement de réconciliation, par lequel, au moins une fois par an, avant Pâques, vous confessez vos fautes au prêtre, qui vous donne ensuite, outre une éventuelle pénitence, l'absolution divine.



La confession des fautes peut ou doit également selon les cas, être pratiquée envers la personne offensée, qui pourra alors se sentir reconnu et accorder son pardon,



et la personne ayant autorité sur vous, qui pourra décider d'une punition...




Par ailleurs, dans toute société - la société en général, mais également l'Eglise, ainsi que la famille et le couple, pour aller du plus général au plus particulier - la désobéissance aux lois doit être punie.



La fessée est, dans le cadre familial, la punition par excellence adaptée aux jeunes filles et jeunes femmes.

Elle peut être sévère ou plus légère. Elle peut être administrée à la main ou, pour plus de sévérité, avec l'assistance d'un instrument, tel par exemple qu'une brosse à cheveux.



Elle peut être appliquée sur la jupe, mais également sur la culotte



ou, et c'est la forme la plus traditionnelle et la plus effective, directement sur la peau des fesses. C'est cette dernière méthode que je recommande.



La fessée, librement acceptée dans son principe, décidée et administrée ensuite souverainement par le père ou la mère pour les jeunes célibataires, et ensuite par le mari, ou toute autre personne à qui vous aurez librement consenti cette autorité et ce pouvoir, contribue à expier les fautes, à purger des sentiments de culpabilité, et à repartir du bon pied.



.../...

D'après les retours que j'ai, certaines d'entre vous en ont déjà parlé à leur parents, leur expliquant leurs besoin et leur demandant de raffermir leur autorité et resserre leur contrôle. Je les en félicite.

Des fessées ont d'ors et déjà été appliquées.



D'autres le seront prochainement : quand les parents et les filles se sentiront prêts ; ou quand les fautes seront confessées.




( fin de la deuxième partie )

dimanche 18 mars 2018

ACJF (14) - Conférence du Père Olivier (1ère partie)


Bonsoir Mesdemoiselles,

Je tiens tout d'abord à vous féliciter sincèrement, et à vous faire part de mon émotion et mon admiration.

Vos animatrices m'ont fait une synthèse de vos débats depuis la rentrée de septembre. Ils sont de haute tenue et extrêmement réconfortants. Vous démontrez avec éclat, Mesdemoiselles, que pouvez être à la fois des jeunes filles modernes, des étudiantes sérieuses ou des professionnelles consciencieuses, ayant l'ambition de réussir votre vie sous tous ses aspects, y compris professionnel, tout en restant des femmes vertueuses et de bonnes chrétiennes, fermement attachées aux valeurs et enseignements de l'Eglise.



Au delà de la légitimité et des bienfaits du combat et des conquêtes féministes, qui ont apporté aux femmes l'égalité des droits, une liberté et un respect inégalés, vous êtes conscientes, Mesdemoiselles, que la liberté doit être encadrée par des devoirs, auxquelles vous êtes très attachées.



Parmi ces valeurs figure une organisation traditionnelle et hiérarchique de la famille, dans laquelle les pères et mères de famille ont autorité sur leurs enfants, autorité qui ne s'efface pas d'un coup, ceci encore plus pour les filles, lorsque celles-ci atteignent l'âge de 18 ans, la majorité légale.



Comme vous le savez, ce n'est que par le mariage (ou à minima la vie commune) que vous échapperez à l'autorité de vos parents, à qui vous devrez néanmoins toujours le respect.


Vous passerez alors sous l'autorité de votre conjoint, qui doit être bienveillante et s'exercer pour le bénéfice du couple et de la famille, et non de manière égoïste ou capricieuse. L'égalité juridique que vous accorde le droit positif, Mesdemoiselles, ne vous libère pas de ce devoir de respect de l'autorité de votre mari, chef de famille instauré par la loi naturelle et le dessein divin.




Parmi ces valeurs figure également la chasteté. La chasteté s'adresse à tous, hommes et femmes, célibataires et époux. La chasteté ne se confond pas avec la virginité, et encore moins la pudibonderie. Mais elle implique la pudeur, une certaine tenue et retenue, le respect de soi et des autres.


Sur ce plan, historiquement et traditionnellement, la société est nettement plus exigeante envers les femmes et les jeunes filles. Les sociologues appelle cela le "double standard". Cela vous semble parfois peut-être injuste ; mais c'est ainsi. Il faut en être conscientes et s'y soumettre. L'accepter et,  avec la souplesse que permet notre monde et notre époque, et s'efforcer de le respecter.




En ce domaine les prescriptions et les attentes ne sont plus aussi strictes que par le passé ;  les fautes et les manquements sont moins lourdement sanctionnés ; mais le cadre s'imposant aux femmes n'ont pas fondamentalement changé.



Certes il n'est pas toujours aisé de concilier votre liberté avec la tradition. L'Eglise, par l'intermédiaire de ses pasteurs d'hier comme d'aujourd'hui, édicte des prescriptions ou recommandations, des commandements ou des interdictions. Mais nous ne sommes pas des anges, mais des êtres de chair et de sang.


Au final c'est la conscience individuelle de chacune, compte tenu également des contingences de la vie, qui prime et dirige vos actes et votre vie.



Les inévitables transgressions peuvent donc, et c'est salutaire, entrainer un sentiment de faute et de culpabilité. La honte, ces remords, peuvent être légers, ou plus lourds à porter.


( fin de la première partie )

dimanche 4 mars 2018

ACJF (13) - Une préparation au mariage (suite)

Virginie poursuivie :

"... Cela implique parfois, lorsqu'elle le mérite, ou qu'il sent qu'elle en a besoin, de la punir. 



"Personnellement, et compte tenu de l'intimité qui règne entre eux, je pense que le moyen le plus simple, le plus efficace et le plus naturel qu'ait un mari de punir sa femme est de lui donner la fessée. A condition qu'il ne le fasse pas trop durement, et certainement pas brutalement."



Je crois que, en tant que femme, une certaine soumission nous est naturelle lorsque nous nous sentons en confiance. Dans ces conditions, je crois que la fessée est un penchant naturel chez nombre d'entre nous. Recevoir une bonne fessée, même si sur le moment cela fait mal et on aimerairait y échapper, c'est au fond une situation rassurante et qui nous fait du bien."



"Si cela a été préalablement discuté entre eu et qu'elle a donné son accord il ne s'agit pas de violence conjugale, mais au contraire d'une des facettes de l'amour conjugal, et de la protection que l'homme doit à la femme qui s'est donnée à lui."




lundi 19 février 2018

ACJF (12) - Une préparation au mariage (1)


Aurélie leva alors la main, et expliqua son cas :

"Je comprend tout à fait Catherine. Mon fiancé m'a fait découvrir la fessée érotique, à une époque où je n'étais pas prête à passer... aux choses plus sérieuses.



Nous l'avons intégrée dans nos moments et pratiques intimes, avant même que je me donne pleinement à lui."



"En même temps, il lui est arrivé, par deux fois, de me fesser à titre de punition. Et je peux vous assurer que les ai alors reçues comme telle !



"Bon, je vous mentirais en niant avoir ressenti un peu d'excitation. Mais nous savions et sentions tous les deux, qu'à ces moments j'étais punie."



"Il y avait eu fautes, et la fessée en était l'expiation attendue, par lui comme par moi. Il a su faire preuve d'autorité, et c'est aussi ce que j'attend de mon futur mari. Notre projet est sérieux et nous devons intégrer nos places respectives."



Virginie ne put se retenir : "Mais c'est complètement macho tout ça ! Hou les filles ! Me dites pas que vous êtes d'accord avec ça !"



Aurélie répliqua fermement : "Non ! J'adhère pleinement à l'égalité de droits et de dignité entre l'homme et la femme. Mais dans un couple marié, il faut maintenir une certaine différence d'autorité entre l'homme et la femme. Rappelle toi que la Bible nous recommande d'être soumises à nos maris, et ceci en toutes choses..."



"... L'homme doit certes choyer et respecter sa femme. Mais il doit aussi parfois savoir la cadrer, et ne pas craindre d'exercer toutes ses responsabilités de chef de famille."



mercredi 14 février 2018

ACJF (11) - Et si nous trouvons la fessée... érotique ?

Catherine lève alors la main et intervient :

"Cette discussion m'intéresse beaucoup. Mais pour ma part j'ai un problème. Ou plutôt, à vrai dire, je n'ai pas de problème avec la fessée. J'espère que je ne vous choquerai pas, et que vous ne me jugerez pas mal. Voilà, en fait, l'idée de recevoir la fessée m'excite terriblement."


De nombreux yeux brillent, et quelques jeunes filles rougissent dans la salle

"J'aime imaginer que je la reçois. Quand je suis seule à la maison, je me met parfois en position, comme si je recevais une fessée. Je trouve cela infiniment troublant."





"Et parfois, il m'arrive de me fesser moi-même. Avec ma brosse à cheveux pour plus de réalisme."



"Dans ces conditions, comment imaginer que la fessée puisse, pour moi, être une punition ? Qui me permettrait d'expier mes fautes et de m'améliorer ? "



Ségolène : "Effectivement, je n'avais pas pensé à cela !"

Le silence régnant, Valentine tenta de relancer le débat :

"Je te remercie Catherine, pour ce témoignage et cette question extrêmement intéressante et que je n'avais pas anticipée.
Est-ce que d'autres personnes ici ressentent la même ambivalence au sujet de la fessée ? "



Quelques doigt se lèvent timidement. Mais aucune jeune fille n'ose prendre la parole.

Valentine reprend :

"Même si nous pensons qu'elle doit être canalisée et régulée, la sexualité est une chose naturelle et saine. Après tout, c'est ainsi que Dieu nous a créés, hommes comme femmes.


Est-ce que certaines parmi vous seraient parvenues à concilier cette ambivalence au sujet de la fessée. ? Entre d'un côté une pratique ou une pensée érotique, ce que nous pouvons tout à fait concevoir ;



et d'autre part ce qu'elle doit également rester, un outil d'autorité et une punition effective et efficace ? "










dimanche 4 février 2018

ACJF (10) - Tomber la culotte ?

Prenant son courage à deux mains, Susène se lance, légèrement rougissante :

" J'avoue être assez troublée par ces échanges. J'éprouve parfois un sentiment de culpabilité devant certains de mes actes. A vous entendre, la fessée parentale pourrait être un excellent moyen de purger cette culpabilité, et pourquoi pas d'être reprises en main et mieux encadrée.



L'idée me séduit tout à fait, mais je ne suis toutefois pas certaine d'être prête, aujourd'hui, à franchir le pas. Je suis très pudique et il est donc hors de question que ce soit mon père qui me fesse. Même avec ma mère je crois que je serais extrêmement gênée de devoir lui montrer ma culotte. Alors l'idée d'être déculottée m'effraye totalement ! Est-ce vraiment obligatoire ? "



" Rien n'est obligatoire, Susène" lui répondit doucement Alix, "mais tout est bénéfique",

" Si déjà tu respectes l'autorité de tes parents, sans recevoir la fessée, c'est très bien et cela t'apportera beaucoup."



"Si tu acceptes seulement de recevoir la fessée sur ta jupe, mais sans être troussée, c'est encore un plus, dont tu bénéficieras."



"Si tu acceptes d'être troussée et fessée sur ta culotte, tu fais encore un magnifique pas en avant, qui t'apportera énormément."



Mais à mon sens, bien sûr, une fessée doit normalement être déculottée. Même si je n'en suis pas à ma première fessée, le déculottage reste toujours pour moi un instant magique.



"A chacun de ces stades, Susène, tu éprouveras bien sûr une gêne supplémentaire. Mais la fessée te seras aussi plus bénéfique. Rien n'est obligatoire et c'est à toi de faire le choix. Et d'évoluer dans ce choix si tu t'y sens prête. Est-ce que je t'ai rassurée ? "

"Oui" fit doucement Susène, souriant timidement.

A son tour Kim s'adressa à Susène :

"Susène, moi aussi j'ai eu du mal à sauter le pas. La peur de la gêne, et de la douleur, est à juste titre très forte. Mais si tu t'abandonnes entièrement entre les mains de la personne à qui tu auras donné autorité, les bénéfices peuvent être magnifiques.



Comme je commençais à l'expliquer tout à l'heure, la fessée peut t'apporter un extraordinaire sentiment d'humilité et de vulnérabilité ; qui une fois terminée se transformera en un délicieux sentiment de paix et de docilité.

Déjà tu te sentiras vulnérable lorsque ta mère te sermonnera. Ton adrénaline fera un bond lorsqu'elle t'annoncera que tu va être fessée et t'enverra dans la chambre.



Tu te sentira encore plus vulnérable au moment de basculer sur ses genoux, puis lorsqu'elle commencera à te fesser sur la jupe.



Tu seras peut-être désespérée lorsque ta mère saisira l'ourlet de ta jupe pour la retrousser.



Enfin tu seras peut-être terrifiée quand ta mère glissera ses doigts sous l'élastique de ta culotte, afin de te l'abaisser sur les cuisses, te laissant entièrement à sa merci pour la suite de ta punition.



Donc tu reste libre de décider ce pour quoi tu es prête. Dans tous les cas tu en tireras de grands bénéfices. Mais je t'invite à être forte, courageuse, et audacieuse ! "

"Oui. D'accord. Je vais y réfléchir. Et j'essaierai." fit Susène, qui paraissait rassérénée par ces bonnes paroles.