mercredi 25 juillet 2018

ACJF 20 - Conférence sur la fessée disciplinaire - 2ème partie : les limites à respecter

Maintenant, chers parents, il convient de savoir comment donner la fessée. Quand ? Comment ? Quelle durée ? Quelle sévérité ? Et bien d'autres questions que je vous invite à me poser le cas échéant.



Tout d'abord, votre autorité est réelle mais n'est pas absolue : il convient de respecter les limites de vos filles. Elles y ont le droit et le méritent.

Tout d'abord leurs limites en matière de pudeur. La pudeur est une vertu essentielle chez les jeunes filles, et ne doit jamais être violée sans leur consentement.



Les vertus de la fessée traditionnelle, c'est à dire déculottée, ont été établies et reconnues. Certaines cependant  n'y sont pas encore prêtes.

Quelques-unes, rares, ne veulent même pas entendre parler d'être troussées. Même si la fessée peut perdre en efficacité, vous devez respecter cette limite.


Vous leur imposerez de porter un jupe ou une robe légère, et vous aiderez éventuellement d'une bonne brosse à cheveux en bois, assurance d'une fessée plus cuisante. C'est un instrument à acquérir absolument et qui vous sera d'une grande utilité. Que vous l'utilisiez effectivement ou comme simple menace il fera, je vous le garantis, le plus grand effet sur vos filles.



D'autres jeunes filles comprennent qu'il est essentiel d'être troussée, mais veulent absolument garder leur culotte, dernier rempart de leur pudeur outragée. Vous respecterez de même cette limite. Néanmoins vous veillerez à ce qu'elles ne portent pas de culotte trop épaisse ou trop couvrante, de sorte que la fessée reste parfaitement effective.



N'hésitez pas non plus à terminer la fessée à la brosse, en particulier vous Mesdames, qui avez généralement moins de force.



La plupart sont prêtes à assumer que, pour recevoir une bonne fessée avec le maximum de bénéfices, physiques et moraux, il importe de finir déculottée.



C'est certes extrêmement embarrassant pour une jeune fille majeure, mais c'est ainsi que fonctionne la fessée, par un mélange de douleur et d'humiliation, ou plutôt de soumission et d'acceptation de la punition.



Ensuite, il convient également de respecter leurs limites en matière de douleur, même si cela vous semble paradoxal.

Une fessée disciplinaire doit faire mal, c'est essentiel. Elles le savent, et l'acceptent pleinement. La perspective de recevoir une bonne fessée, voire une fessée exemplaire, doit provoquer une anxiété justifiée chez la jeune fautive.

Mais elle ne doit jamais devenir un acte de torture. Il importe donc de ne pas trop dépasser les limites du difficilement supportable par la jeune fille qui se livre à vous.



Tous ces principes liminaires, Messieurs, s'appliquent également aux maris avec leurs épouses. Le droit de correction dont ils disposent sur elles, doit toujours s'appliquer avec amour et humanité.


Comme l'a dit l'apôtre, la femme doit en toutes choses respecter son mari dans son rôle de chef, et le mari doit de son côté, en toutes circonstance "prendre soin" de sa femme, veiller sur elle, son confort et son bien-être

2 commentaires:

  1. On a d'autant plus d'autorité que l'on sait ne pas en abuser. Fervent adepte de la fessée déculottée je reconnais néanmoins le droit à la punie de refuser le déculottage voire le troussage de la jupe, au début.
    Toutefois il sera bon que progressivement elle se fasse à l'idée d'être déculottée. "c'est ainsi que fonctionne la fessée, par un mélange de douleur et d'humiliation, ou plutôt de soumission et d'acceptation de la punition" comme dit si bien Olivier

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  2. Je suis tout à fait d'accord. L'homme ne dois jamais être brutal mais toujours maître de lui et respectueux, et respecter les limites de celle qui se donne à lui.
    Ensuite c'est à la femme, se sachant en sécurité entre de bonnes mains, de savoir progresser dans la soumission ou au moins l'humilité.
    Donc pour moi, maintenant, c'est déculottage obligatoire et fesses rouges de rigueur. Sur le moment ce n'est pas drôle du tout, mais j'ai besoin de me sentir réellement punie. De temps en temps cela ne fait pas de mal. Je m'en porte très bien.
    Camille

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