samedi 23 décembre 2017

Joyeuses fêtes de Noël !

A l'occasion des fêtes de fin d'années vous êtes nombreuses, Mesdemoiselles, à retourner chez vos parents fêter Noël en famille.


Vous avez peut-être pris votre envol depuis plusieurs années. Vous êtes majeures et indépendantes. Mais n'oubliez pas, lorsque vous rentrez chez vos parents, qu'ils sont maîtres chez eux, et qu'à leurs yeux vous êtes toujours leur petite fille, sur laquelle ils doivent veiller.


Il vous alors filer droit, oublier certaines de vos mauvaises habitudes, 


surveiller votre attitude, vos gestes et vos postures, en particulier si vous portez des jupes courtes


Surveiller également votre humeur,


ainsi que votre langage. En particulier quand vous vous adressez à vos parents, même s'il peut arriver qu'ils vous excèdent
  


Et peut-être aussi... ne pas tout leur raconter !



En effet, Noël ou pas, vos parents sont restés très vieux jeu. Selon eux, une jeune fille doit toujours être irréprochable en tous points. 

Si vous ne l'êtes pas, à leurs yeux, ils seront déçus. 

Vous risquerez alors qu'ils décident de remettre à l'honneur les bonnes vieilles méthodes Celles qui ont fait la preuve de leur efficacité dans l'éducation des filles.


avant de vous envoyer vous coucher dans votre chambre, toute sanglotante et les fesses en feu.



Mais si vous faites attention et êtes sage, 



votre joli derrière restera bien à l'abri, et vous passerez de joyeuses fêtes sans nuage !








samedi 16 décembre 2017

ACJF (8) - Par le père, ou la mère ?

Elisabeth :
"Tu es donc fessée toi aussi ! Et, si je peux me permettre une question indiscrète, est-ce par ton père ou ta mère ?"

Kim :
"En règle générale c'est par mon père, même s'il y a parfois des exceptions. Le père, le mari, incarne traditionnellement l'autorité dans la famille. Je préfère donc que ce soit mon père qui me punisse, même si c'est extrêmement gênant je te le concède ! "


"C'est un bon rappel du principe de l'autorité masculine,  que nous ne devrons pas perdre de vue quand nous prendrons notre envol et nous marierons. Je pense donc que c'est utile."


Sarah intervient :
"Pour ma part c'est toujours ma mère qui me fesse. Entre femmes je trouve cela moins gênant, ma pudeur reste ainsi mieux respectée. Même si la honte reste toujours présente, ce qui est d'ailleurs une bonne chose et fait partie de la thérapie comme le disait Ségolène."


Ségolène confirme à son tour :

"Chez nous c'est également généralement ma mère qui nous fesse, mes soeurs et moi. Mais cela reste un moment honteux, ce qui est nécessaire. Et quand, exceptionnellement, mon père s'en charge, il ne nous déculotte pas. Mais, même culottées, je peux vous garantir, les filles, qu'avec mon père cela chauffe encore plus !"



samedi 9 décembre 2017

ACJF (7) - Pour ou contre l'auto-fessée ?

Bérangère : "Pour cela je fais sans mes parents. Parfois, pour me punir, je pratique l'auto-fessée. Fesses nues, avec ma brosse de bain. "



"Bon, je me doute bien que ce n'est pas tout à fait équivalent à une vraie fessée : quand la douleur devient forte on a irrésistiblement tendance à claquer moins fort, ou à claquer là où ça fait moins mal, et à marquer des pauses..."




Kim, l'interrompant brusquement :

"Je te confirme que c'est très différent d'une vraie fessée ! Tu y perd énormément. Au début j'ai essayé l'auto-fessée moi aussi. Mais j'ai été déçue. Même si l'on a mal et les fesses rouges, ce n'est pas du tout pareil. "



"Lorsque tu reçois une fessée des mains d'une autre personne cela n'a rien à voir. Outre une fessée sans doute plus cuisante, tu perd réellement le contrôle et ressens un sentiment de vulnérabilité exacerbé. "



"La fessée est vraiment une expérience unique ! Pas agréable du tout sur le moment, je te l'accorde. Tu ressentiras de l'anxiété et de la crainte, un sentiment de honte, et la douleur bien sûr, qui caractérise une vraie fessée disciplinaire ou punitive. Mais ensuite tu te sens libérée et elle te permet, la punition achevée et la faute expiée, de rebondir légère et du bon pied, et plus motivée que jamais."



samedi 2 décembre 2017

ACJF (6) - "Croquer les oeufs avant Pâques"


Bérangère : "Et qu'est-ce que tu avais donc fait pour mériter une telle punition ?"

Lorraine, piquant un fard :
"Ce que font parfois les filles de notre âge. J'avais, comme on dit dans ma région, "croqué les oeufs avant Pâques". C'est parfois difficile de résister quand on a le béguin pour un garçon séduisant. Rien que de très classique. Un flirt de vacances, sur lequel je n'ai pas été assez prudente, et qui a été trop loin et trop vite. Malheureusement je me suis ensuite rendu compte de mon erreur, regrettant amèrement de m'être donnée si précipitamment !"
















Camille, l'air coquine et gêné en même temps :
" Je ne crois pas que tu sois la seule. Je pense qu'il y en a d'autres, ici même, qui mériteraient une bonne fessée ! "

Légers rires, et rougissements dans la salle



Camille, reprenant :
"On sait bien qu'on ne commet pas un crime. En même temps notre conscience nous tarabuste un peu, nous disant que ce n'est pas très bien. Nous avons toutes été élevées avec l'idée qu'une fille doit... disons, se préserver, attendre, bref, "être sage". J'avoue avoir parfois été tentée d'avouer certaines choses à ma mère... afin que, peut-être, elle m'administre une bonne fessée !


 suivie d'un câlin pour me consoler et que je me sente tout à fait pardonnée !"